MaisBienSur a écrit :La majorité de mes rapports se finissent sans ma jouissance (si on entend par là "éjaculation"), et ce depuis au moins mes trente ans ! Et personnellement, j'ai de plus grands plaisirs hors éjaculation ! (et je parle pendant une pénétration).
Mais j'ai travaillé sur ça, c'est à dire que j'ai appris a contrôler et retarder ou éviter ce plaisir "ultime", parce que ultime signifie également "fin"...
Oui, mais je parlais du fait qu'il est moins plaisant de bander moue, ce qui est différent. Je ne vois donc pas le rapport avec le sujet. Par contre, je partage tes propos, car j'ai l'impression de m'entendre parler (quand je parle du sujet avec des ami(e)s). J'ai aussi « évolué » depuis mes premières expériences où, comme plusieurs hommes, j'atteignais l'orgasme trop rapidement. Et sinon, moi aussi, vers la trentaine, j'ai commencé à préférer « le parcours » plutôt que la « destination finale ».
Greem a écrit :...il m'est arrivé d'être si stressé que j'en avais parfois du mal à bander, ce qui est plutôt gênant quand vous êtes en présence d'une fille déterminé à vous faire une fellation un soir d'été, sur une page à l'abri des regards derrière un buisson, et qui finit par se demander ce qui cloche.
J'pense que ce genre de situation nous est tous déjà arrivé, c'est juste que certains hommes sont gênés d'en parler. Moi ça m'est arrivé un soir où, en sortant de la salle de bain, j'ai vu mes 2 amies qui étaient en train de se rouler une pelle tout en me lancent un regard des plus malicieux

(le rêve j'te dis pas!!!!

). Je ne m'y attendais pas du tout (et j'avais presque pas dormi la veille, putain de merde

). Ça, c'est d'là putain pression mec!

Mais j'suis un « grand sensible », tout comme toi, alors j'ai mis du temps « à assurer » (assez pour me sentir gêné

), mais bon, au lieu d'm'excuser et de m'apitoyer (ce qui aurait empiré mon malaise), j'ai fait « autre chose » qu'utiliser mon engin en entendant que ce dernier se réveille.
Si j'avais su et si j'avais pu prendre une « pilule magique » qui m'aurait assuré d'être fin prêt dès le début, est-ce que je l'aurais prise? Bien sûr!

Mais d'un autre côté, si j'avais pu prendre une pilule magique à chaque fois que j'ai ressenti du stress, de la nervosité et de la pression dans ma vie, ben peut-être que j'aurai encore du mal à faire ce qui me rendait stressé et nerveux quand j'étais plus jeune. À moins d'avoir un trouble sérieux, il y a tjrs un revers de médaille à consommer une substance qui nous procure « l'aide » dont on a besoin. ...on risque d'en devenir dépendant! ...et de ne jamais acquérir par soi-même ce qu'elle nous procure. Mais t'inquiètes Greem, j'suis pas meilleur que n'importe qui même si j'ai des principes. Je l'aurai prise cette foutue pilule (et à une époque, j'ai consommé bien d'autres choses!).
