Lulu Cypher a écrit :...
Pour trouver un semblant de début de ressemblance de comportement avec l'humain, le sceptique du Q aura convoqué bientôt ni plus ni moins que l'arche de Noé.
Nous avons eu droit à Koko le gorille, au chat, chien, babouin, tænia, corbeau, fourmi, renard, coccinelle, puceron... c'est le bestiaire de l'improbable et nous sommes là encore dans les dérives de la posture réductionniste qui, divisant le monde en partie infimes pour l'expliquer, fait d'une exception la généralité.
A supposer que le babouin présente une qualité/compétence que vous jugez similaire à une qualité/compétence humaine, voyez-vous pourtant le babouin égal de l'humain sur l'ensemble de ses qualités/compétences (de survie, physiques, intellectuelles, sensibles, morales, mentales...) ?
Denis a écrit :
...
Tu devrais faire comme moi et viser le juste milieu plutôt que te braquer à un extrême...
La feinte rhétorique est un peu grossière. Confondre dresser et enseigner, dire que votre chat est aussi capable qu'un enfant de un an, prétendre que le chat aurait apprivoisé l'humain, c'est tout sauf un juste milieu ou alors il faudrait nous fournir un schéma de votre géométrie de pensée.
D'ailleurs, vous qui aimez toujours quantifier les choses, vous n'avez toujours pas pris le temps de développer votre assertion concernant votre chat.
Reprenons : si vous estimez que votre chat fait preuve des mêmes qualités intellectuelles (vous dites danse des idées) qu'un enfant de un an, à combien "d'équivalents-chats" évaluez-vous alors l'intelligence et la complexité cérébrale d'un humain d'une soixantaine d'années ayant fait des études supérieures et ayant continuellement enrichi ses connaissances ? 60 ? 150 ? 300 ? Moins ? Plus ?
Sachant que vous êtes capable de réaliser une évaluation à un instant T, vous devriez être capable de réaliser la même évaluation à un instant T + 59...Non ?