Pardalis a écrit : Le but de la vie d'une mère homo sapiens est de survivre assez longtemps pou reproduire ses gènes.
Juste en chuchotant Pardalis, parlez d'une "capacité" (parmi d'autres, d'on la simple survie ego-centrée), et non de but (enfin, si vous voulez...je dit ca car il est certain qu'on va vous tomber dessus avec ce mot, ce que je fait

dsl).
La reproduction permet la duplication des gènes oui, mais c'est une fatalité en quelque sorte. En fait, il est surement plus juste de dire que seul la reproduction des gènes permet la reproduction, et qu'elle est partielle (l'homo sapiens qui né n'est pas la mère et n'est pas le père). Faire attention à ne pas faire passer le "but" comme une volonté (mais c'est pas ce que vous vouliez dire je pense, sauf que votre phrase est ambigus sur ce point). C'est plus une remarque sur la forme des mots que le fond. Mais pris au premier sens, votre phrase n'est pas "correcte".
Aussi, une homo sapiens n'a pas forcement envie de se reproduire, aucun but de reproduction chez elle donc...mais on en à déjà parlé hier et il me semble qu'on est en accord (sur les autres apports) (?).
Donc les deux sont en compétition pour les ressources qui leur permettrons de survivre assez longtemps pour reproduire leur gènes respectifs.
C'est une vision à la limite du darwinisme sociale...la compétition est observée par l'humain mais n'a aucun but ni volonté (du moins chez le parasite), c'est encore une fois une fatalité et/ou une capacité utilisé "fatalement".
Le bébé est en partie une copie génétique de sa mère, donc le but de la vie d'un bébé homo sapiens est de survivre assez longtemps pour pouvoir un jour reproduire ses gènes, qui sont aussi ceux de la mère.
Je copie-colle une description du livre de Dawkins que vous m'avez donnez :
En décrivant les gènes comme étant « égoïstes », l'auteur n'entend pas par là (comme il l'affirme sans équivoque dans le livre) qu'ils sont munis d'une volonté ou d'une intention propre, mais que leurs effets peuvent être décrits comme si ils l'étaient
Sa thèse est que les gènes qui se sont imposés dans les populations sont ceux qui provoquent des effets qui servent leurs intérêts propres (c'est-à-dire de continuer à se reproduire [ajout perso : il parle des gènes en eux même]), et pas forcément les intérêts de l'individu ni même dans certains cas de son espèce
Etes vous certain de bien avoir compris le livre de Dawkins ? (qui même si il parle d’intérêt individuel, n'entre en aucun cas en conflit avec le fait que le gène n'est pas forcement un intérêt pour l'espèce, encore moins l'individus, ni forcement pour aucun des deux...).
Ou c'est peut-être moi ? (je vais essayer d'en savoir plus sur ce qu'il veut dire)
