

D'accord, je m'en rappellerai.Lulu Cypher a écrit :Appelle moi Lulu
Je pensais que tu me répondais (donc je t'ai écrit que c'était un peu hors sujet), alors qu'au début, moi, je répondais à 25 décembre, qui semble avoir beaucoup de préjugés dans la matière.Nicolas78 a écrit :Mais...c'est encore plus HS que ma question![]()
Et puis m'en "fiche" de savoir si il y à fragilité ou pas...on dit quoi ? Malade ? Si tu veut.
Mais ça peut expliquer parfois des choses non ?
Un cancéreux qui n'est "pas fragile" mais qui n'arrive pas à se lever, on va pas lui demander de faire un marathon et lui en vouloir de refuser l'offre...
C'est le meilleur de tes arguments et je suis d'accord avec toi à 95%. Je ne parlerai pas des 5% d'exceptions pour ne pas déplaire à quelqu'un qui n'aime pas voir les exceptions.Loupa » 07 déc. 2016, 14:26
Si une femme ne peut prendre de décision déjà il faudrait qu'elle se fasse avorter. Sinon l'enfant ira à l'orphelinat. On fera souffrir une femme pour rien en la faisant poursuivre une grossesse.
À Loutre de mer je répond : Et donc la décision revient aux personnes qui sont impliqués et ce choix sera fait selon leur morale à chacun. Après l'avortement je féliciterai les conjoints pour leur choix, ou bien, je le leur dirai que ce qu'ils ont fait est immoral selon ma moralité.LoutredeMer » 07 déc. 2016, 13:10
25 décembre a écrit :
Oui ou non à l'avortement est une question piège puisqu'il y a cent raisons ou motifs pour dire oui et cent solutions pour l'éviter et dire non.
Je suis POUR l'avortement dans certains cas et CONTRE dans certains autres cas c'est la morale que je possède qui va guider mes choix.
Et donc? Qui va décider? Et selon quels critères? Y aura-t-il un jury et un banc d'accusé?
25 déc disait: dans certaines situations particulières je ne suis plus moi à 100% et dans ces moments là j'ai de la difficulté à voir la réalité.Nicolas78 » 06 déc. 2016, 12:09
Je demandait à 25D, qui disait avoir dans certaines situation des états psychologiques différents de l’habituel, si il souffrait de déréalisation.
C'est un effet dissociatif en psychologie.
Les statistiques et les sciences humaines sont des sciences de l'incertitude.Loupa: À moins que pour lui, les statistiques et les sciences humaines, qui permettent de rendre compte des conséquences positives ou non de l'avortement, ne sont pas des sciences ?
Sacré LucienLulu Cypher a écrit :Appelle moi Lulu
25 décembre a écrit :
C'est rare de rigoler autant en discutant de l'avortement merci Spinup de ton commentaire.
Pour être bref je vais répondre aux quatre questions en une phrase.
1- Tout dépend des circonstances.
D'une façon générale personne ne peut imposer quoi que ce soit à une autre, surtout que après la conception, c'est la femme seule qui porte l'enfant.
Euh... pour l'instant, il n'y a que ma concentration qui est touchée et ma maladie peut être contrôlée. Il est même possible de ne pas prendre de médication pour la contrôler et d'être correct, mais cela frôle le taux de réussite de 50 %. J'aime mieux pas essayer.25 décembre a écrit :Si Loupa vit un stress ou bien souffre d'anxiété ou d'une maladie qui fait en sorte que son raisonnement et/ou son affectif n'est pas normal, il devient difficile de prendre une bonne décision même si pour elle elle semble valable sur le coup.
Tu sais c'est quoi des nuances ? Les sciences humaines ont leur défaut, mais elles permettent de comprendre la complexité du monde de toutes façons.25 décembre a écrit :Les statistiques et les sciences humaines sont des sciences de l'incertitude.Loupa: À moins que pour lui, les statistiques et les sciences humaines, qui permettent de rendre compte des conséquences positives ou non de l'avortement, ne sont pas des sciences ?
Si en physique je parle de gravité il y a une loi pour bien la connaître. Si en psychologie je parle de la gravité de la maladie c'est très approximatif et relatif. Il n'y as pas d'échelle précise applicable pour tous car chaque patient est différent d'un autre.
Un argument très bien structuré et très à-propos.ender a écrit :25 décembre a écrit :
C'est rare de rigoler autant en discutant de l'avortement merci Spinup de ton commentaire.
Pour être bref je vais répondre aux quatre questions en une phrase.
1- Tout dépend des circonstances.
D'une façon générale personne ne peut imposer quoi que ce soit à une autre, surtout que après la conception, c'est la femme seule qui porte l'enfant.
Bonjour, je me permet d'intervenir (pour la première fois) dans cette discussion bien intéressante. J'avoue n'avoir lu que les 5 premieres et derniers pages mais je trouve que terminer 95 pages de débats argumentés par "ça dépend" me parait un peu facile.
Sauf à avoir une position relativiste "chacun agit comme il le juge bon et il n'y a rien à y redire", argument dont on peut montrer le caractère fallacieux mais qui surtout abolit toute discussion, il s'agit précisément d'expliciter en fonction de quoi l'on juge . Si je jette un caillou vers un arbre et qu'on me demande si je vais le toucher, il est évident que "ça dépend", mais si on s'interresse à ce sujet on va justement trouver de quoi ça dépend
Lulu Cypher a écrit :qu'un homme a le droit d'imposer à une femme de porter son bébé ?
Considères-tu qu'un homme a le droit d'imposer à une femme d'avorter ?
Considères-tu qu'une femme a le droit de porter son bébé contre l'avis du père ?
Considères-tu qu'une femme a le droit d'avorter contre l'avis du père ?
25 décembre a écrit : Pour être bref je vais répondre aux quatre questions en une phrase.
1- Tout dépend des circonstances.
D'une façon générale personne ne peut imposer quoi que ce soit à une autre, surtout que après la conception, c'est la femme seule qui porte l'enfant.
Lulu Cypher a écrit :Je suis désolé mais ca ne fait pas trop de sens à mes yeux .... dire "ça dépend" implqiue qu'il existe donc des cas qui pour toi autorisent le fait d'imposer sa volonté à l'autre ... ce qui est un peu contradictoire avec ta proposition de ne rien imposer à quiconque ?!?
Ton exemple n'est pas seulement extrême, il est sans rapport avec la question.25 décembre a écrit :As-tu signé ton mandat d'inaptitude? Il peut arriver à chacun d'être incapable de prendre une décision: coma, maladie mentale, alzeimer ou en d'autres circonstances. Alors habituellement la personne désignée pour répondre à la place de l'autre, c'est le conjoint.
Moi perso, je ne peux pas en dire un seul.Cogite Stibon a écrit :On parle de cas où l'homme et la femme on des volontés différentes, et toi tu cites un cas où la femme n'a pas de volonté.
Peux-tu citer un cas ou, selon toi, une femme n'aurait pas le droit d'avorter contre l'avis du père ?
Je suis d'accord avec toi. C'est pour ça que je veux entendre l'opinion de 25D.Loupa a écrit :Moi perso, je ne peux pas en dire un seul.
De plus, les hommes, s'ils s'entendent bien avec leur conjointe, trouveront bien un compromis (comme par exemple, retarder la venue d'un enfant de plusieurs années.)
Ce n'est pas une question de droit sauf dans des cas prévus par une loi.Cogite Stibon » 08 déc. 2016, 12:10
Ton exemple n'est pas seulement extrême, il est sans rapport avec la question.25 décembre a écrit :
D'une façon générale personne ne peut imposer quoi que ce soit à une autre, surtout que après la conception, c'est la femme seule qui porte l'enfant.
25 décembre a écrit :
As-tu signé ton mandat d'inaptitude? Il peut arriver à chacun d'être incapable de prendre une décision: coma, maladie mentale, alzeimer ou en d'autres circonstances. Alors habituellement la personne désignée pour répondre à la place de l'autre, c'est le conjoint.
On parle de cas où l'homme et la femme on des volontés différentes, et toi tu cites un cas où la femme n'a pas de volonté.
Peux-tu citer un cas ou, selon toi, une femme n'aurait pas le droit d'avorter contre l'avis du père ?
Bravo quel progrès par rapport à Loupa du 04 déc. 2016, 13:06 page 92Loupa » 08 déc. 2016, 12:19
De plus, les hommes, s'ils s'entendent bien avec leur conjointe, trouveront bien un compromis (comme par exemple, retarder la venue d'un enfant de plusieurs années.)
On peut faire ça ? ça pose pas de problème au fœtus de rester plusieurs années dans le ventre de sa mère ???Loupa a écrit :(comme par exemple, retarder la venue d'un enfant de plusieurs années.)
Moi choix est de ne pas avoir d'enfants JAMAIS. Cela ne change rien à ce que JE veux.25 décembre a écrit :Bravo quel progrès par rapport à Loupa du 04 déc. 2016, 13:06 page 92Loupa » 08 déc. 2016, 12:19
De plus, les hommes, s'ils s'entendent bien avec leur conjointe, trouveront bien un compromis (comme par exemple, retarder la venue d'un enfant de plusieurs années.)
"Je devrais avoir le choix de faire comme bon me semble au niveau sexuel," maintenant tu sais qu'il y a des compromis que tu dois accepter.
Hein ? On a parlé de jurançon ??Inso a écrit :... vais aller me resservir un verre de jurançon ...
Comme tu l'auras certainement compris, j'envisage la solution avortement pour l'enfant qui est déjà dans le ventre de la mère, car il est trop tôt pour qu'elle ait un enfant selon l'avis de la mère et du père.Inso a écrit :On peut faire ça ? ça pose pas de problème au fœtus de rester plusieurs années dans le ventre de sa mère ???Loupa a écrit :(comme par exemple, retarder la venue d'un enfant de plusieurs années.)
...
ok, je sors...
Désolé Loupa, mais j'avais vraiment lu cette phrase comme ça ...
Je dois être un peu fatigué, vais aller me resservir un verre de jurançon ...
Mmmh... pour poursuivre mon autre message, je peux avoir des relations sexuelles avec un homme sans vouloir d'enfants et avorter si par malchance je tombe enceinte.25 décembre a écrit :Bravo quel progrès par rapport à Loupa du 04 déc. 2016, 13:06 page 92
"Je devrais avoir le choix de faire comme bon me semble au niveau sexuel," maintenant tu sais qu'il y a des compromis que tu dois accepter.
Tiens, on a justement Socrate 11. Il n'a que 70 ans, il aime communiquer, c'est un poète et ça m'étonnerait qu'il veuille encore des enfants... voilà quelqu'un en conséquence. Ca devrait coller entre vous ?Loupa a écrit : Moi choix est de ne pas avoir d'enfants JAMAIS. Cela ne change rien à ce que JE veux.
Je choisirai quelqu'un en conséquence.
Ah zut, elle est videLulu Cypher a écrit :Hein ? On a parlé de jurançon ??
Oui, et je suis bien en phase avec toiLoupa a écrit :Comme tu l'auras certainement compris, j'envisage la solution avortement pour l'enfant qui est déjà dans le ventre de la mère, car il est trop tôt pour qu'elle ait un enfant selon l'avis de la mère et du père.
Gros troll. Merci, j'ai bien ri.Dany a écrit :Tiens, on a justement Socrate 11. Il n'a que 70 ans, il aime communiquer, c'est un poète et ça m'étonnerait qu'il veuille encore des enfants... voilà quelqu'un en conséquence. Ca devrait coller entre vous ?Loupa a écrit : Moi choix est de ne pas avoir d'enfants JAMAIS. Cela ne change rien à ce que JE veux.
Je choisirai quelqu'un en conséquence.
EDIT
Ah, dommage, il est mort !
Je suis patient (auto motivation).Loupa » 08 déc. 2016, 18:41Mmmh... pour poursuivre mon autre message, je peux avoir des relations sexuelles avec un homme sans vouloir d'enfants et avorter si par malchance je tombe enceinte.25 décembre a écrit :
Bravo quel progrès par rapport à Loupa du 04 déc. 2016, 13:06 page 92
"Je devrais avoir le choix de faire comme bon me semble au niveau sexuel," maintenant tu sais qu'il y a des compromis que tu dois accepter.
Ce n'est pas une obligation d'avoir des enfants.
Donc si je suis ton argumentaire, relations sexuelles = enfants ?
Toi, tu vois des idées préconçues partout dans ce que j'ai dit précédemment (alors que fait à noter, je distinguais les faits qui me concernent seulement ou qui me concernent, moi, et les autres femmes.) alors qu'en fait, c'est toi qui en as.
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