Oui, il y a eu d'autres espèces vivantes avant l'homme sur la terre et je suis assez confiant qu'il y en aura encore quand celui-ci aura entièrement disparu.thierry a écrit : 26 janv. 2018, 00:24
c'est pas pour relancer le bon vieux débat, mais t'es bien sûr que l'homme n'a pas quelques petits trucs de plus que les autres espèces vivantes ?
La vie dans l'univers.
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Re: La vie dans l'univers.
Et la marmotte, elle met le chocolat dans le papier d'alu.
Avant, j'étais indécis, maintenant je n'en suis plus très sûr...
Les marmottes qui pissent au lit passent un sale hiver (Philippe Vuillemin)
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Re: La vie dans l'univers.
J'avais jugé le smiley inutile après une telle affirmationLePsychoSophe a écrit : 26 janv. 2018, 09:46 J'avoue avoir eu peur de cette phrase... Espérons que nous avons eu un biais cognitif de surinterprétation (frange psychotique chez le névrosé de base?).

Et la marmotte, elle met le chocolat dans le papier d'alu.
Avant, j'étais indécis, maintenant je n'en suis plus très sûr...
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Re: La vie dans l'univers.
Qu'est ce que vous avez tous, aujourd'hui, à parler de la fin de l'humanité ?
Serait ce dû au fait que l'horloge de l'apocalypse a été avancée vers la fin du monde ? :
L'horloge de l'apocalypse désormais à 2 minutes de la fin du monde
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Re: La vie dans l'univers.
Ce qu'on ne connait pas, c'est l’espérance de vie d'une forme de vie dont une propriété émergente est de pouvoir transformer profondément son cadre de vie et d'échapper ainsi en grande partie à la Théorie de l’Évolution. Le fait de pouvoir adapter son environnement et non plus être sélectionné par lui change tout.
En raison d'une très grande difficulté voire une impossibilité à concilier l'intérêt collectif à long terme et intérêt individuel à court terme, cette forme de vie (apparemment hautement adaptable) peut modifier son environnement au point qu'elle devienne incapable de s'y adapter et soit obligée, bien malgré elle, de rendre la main à la sélection naturelle qui laissera la place à de nouvelles espèces moins performantes pour modifier cet environnement. Peut-être en sélectionnant les plus cons d'entre eux !
J'ai la mauvaise impression que cette forme de vie est non viable à moyen terme, les pulsions qui animent ses individus, puissantes et immédiates prenant le pas sur le maintien raisonnable mais plus lointain et flou d'un environnement qui ne la détruise pas.
En bref : l"Humanité, no future !
C'est de la Science-Fiction. J'espère me tromper mais je suis pessimiste : le rapport de force entre les pulsions individueles, sélectionnées naturellement pour le maintenir en vie et celles, beaucoup plus faibles et d'une nature différente, qu'il peut avoir pour ne pas détruire son environnement paraissant disproportionné.
En raison d'une très grande difficulté voire une impossibilité à concilier l'intérêt collectif à long terme et intérêt individuel à court terme, cette forme de vie (apparemment hautement adaptable) peut modifier son environnement au point qu'elle devienne incapable de s'y adapter et soit obligée, bien malgré elle, de rendre la main à la sélection naturelle qui laissera la place à de nouvelles espèces moins performantes pour modifier cet environnement. Peut-être en sélectionnant les plus cons d'entre eux !

J'ai la mauvaise impression que cette forme de vie est non viable à moyen terme, les pulsions qui animent ses individus, puissantes et immédiates prenant le pas sur le maintien raisonnable mais plus lointain et flou d'un environnement qui ne la détruise pas.
En bref : l"Humanité, no future !
C'est de la Science-Fiction. J'espère me tromper mais je suis pessimiste : le rapport de force entre les pulsions individueles, sélectionnées naturellement pour le maintenir en vie et celles, beaucoup plus faibles et d'une nature différente, qu'il peut avoir pour ne pas détruire son environnement paraissant disproportionné.
Les faits ne pénètrent pas dans le monde où vivent nos croyances. Marcel Proust
Gloire à qui n'ayant pas d'idéal sacro-saint
Se borne à ne pas trop emmerder ses voisins ! Georges Brassens
Mon Dieu ! Mon Dieu ! Pourquoi m'as-tu abandonné ? Dieu
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Re: La vie dans l'univers.
On dérape des le début. La probabilité n'est pas "bonne". La probabilité n'est pas calculable lorsqu'on ne dispose que d'un cas avéré (notre planète). Les équations ayant été pondues par Drake et d'autres depuis plus d'un demi siècle ne sont que des conjectures et des exercices de pensée.carboxx a écrit : 25 janv. 2018, 15:13La question n'est pas de savoir s'il existe de la vie extraterrestre dans l'univers, la probabilité est bonne.
Re: La vie dans l'univers.
je sais pas trop... on peut prédire statistiquement l'espérance de vie d'un individu, mais pour une espèce ça me semble plus compliqué.Wooden Ali a écrit : 26 janv. 2018, 10:51 Ce qu'on ne connait pas, c'est l’espérance de vie d'une forme de vie dont une propriété émergente est de pouvoir transformer profondément son cadre de vie et d'échapper ainsi en grande partie à la Théorie de l’Évolution. Le fait de pouvoir adapter son environnement et non plus être sélectionné par lui change tout.
Comment concilier l'intérêt individuel et collectif selon vous ?Wooden Ali a écrit : 26 janv. 2018, 10:51 En raison d'une très grande difficulté voire une impossibilité à concilier l'intérêt collectif à long terme et intérêt individuel à court terme, cette forme de vie (apparemment hautement adaptable) peut modifier son environnement au point qu'elle devienne incapable de s'y adapter et soit obligée, bien malgré elle, de rendre la main à la sélection naturelle qui laissera la place à de nouvelles espèces moins performantes pour modifier cet environnement. Peut-être en sélectionnant les plus cons d'entre eux !![]()
Je vois pas trop en quoi les modifications que l'homme apporte à son environnement, l’empêcheront de prospérer ?
J'ai plutôt l'impression que c'est le contraire et que le problème réside plutôt que ces modifications et cette domestication de la nature se font au détriment des autres espèces. Pas toutes, car certaines prospèrent aussi dans notre sillage, comme les rats qui nous suivent depuis le développement de l’agriculture en Mésopotamie.
Je ne partage pas cette vision nihiliste !Wooden Ali a écrit : 26 janv. 2018, 10:51 J'ai la mauvaise impression que cette forme de vie est non viable à moyen terme, les pulsions qui animent ses individus, puissantes et immédiates prenant le pas sur le maintien raisonnable mais plus lointain et flou d'un environnement qui ne la détruise pas.
En bref : l"Humanité, no future !
C'est de la Science-Fiction. J'espère me tromper mais je suis pessimiste : le rapport de force entre les pulsions individueles, sélectionnées naturellement pour le maintenir en vie et celles, beaucoup plus faibles et d'une nature différente, qu'il peut avoir pour ne pas détruire son environnement paraissant disproportionné.

Au contraire je vois l'humanité prospérer, non sans problèmes c'est certains mais jusqu'ici on les a surmonté.
Même la chine pays le plus peuplé au monde ne connait plus de famine depuis un moment il me semble, mais bon comme l'info a du mal a sorti de chine sur ce genre de sujet, je prend des pincettes.
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Re: La vie dans l'univers.
Tout dépend aussi de quelle vie on parle et à quel moment. Il est possible qu'il y ait eu et/ou qu'il y aura d'autres formes primitives de vie ailleurs. Les chances qu'il y ait une forme de vie intelligente ailleurs à notre époque est beaucoup plus hypothétique.Vathar a écrit : 26 janv. 2018, 11:07 On dérape des le début. La probabilité n'est pas "bonne". La probabilité n'est pas calculable lorsqu'on ne dispose que d'un cas avéré (notre planète). Les équations ayant été pondues par Drake et d'autres depuis plus d'un demi siècle ne sont que des conjectures et des exercices de pensée.
Un siècle c'est un instant dans la vie de l'univers.
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Re: La vie dans l'univers.
Qu'on parle de vie intelligente ou non ne change rien au problème en fait. On reste sur un échantillon connu de taille 1 (nous). Par simple définition des ensembles, on peut établir que la probabilité d'une vie intelligente est plus faible que celle d'une vie quelconque, et une vie intelligente contemporaine plus faible encore, mais comme on ne peut quantifier aucune de ces probabilités au delà de l'expérience de pensée, ca ne nous avance guère.Lambert85 a écrit : 26 janv. 2018, 12:35Tout dépend aussi de quelle vie on parle et à quel moment. Il est possible qu'il y ait eu et/ou qu'il y aura d'autres formes primitives de vie ailleurs. Les chances qu'il y ait une forme de vie intelligente ailleurs à notre époque est beaucoup plus hypothétique.
Un siècle c'est un instant dans la vie de l'univers.
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Re: La vie dans l'univers.
Mon point est que ce qui fait le succès de l'espèce humaine (maîtrise de son environnement) peut très bien en faire la ruine (destruction de son environnement, épuisement de ses ressources). De là à penser que ses immenses atouts cognitifs et technologiques puissent venir à bout de n'importe quel problème, il y a un pas que j'ai du mal à franchir.eatsalad a écrit :Je vois pas trop en quoi les modifications que l'homme apporte à son environnement, l’empêcheront de prospérer ?
Quand j'étais plus jeune, je pensais comme toi que les lendemains chanteraient. L'expérience que j'ai acquise m'en rend beaucoup moins sûr.
C'est une opinion, bien sur, qui ne vaut pas grand chose en soi mais au moins autant que ton optimisme résolu.
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Re: La vie dans l'univers.
Que l'homme modifie ou non son environnement, il finira quand même par ne plus pouvoir prospérer. En effet, la Lune s'éloigne graduellement de la Terre. Et au fur et à mesure qu'elle s'éloignera, l'axe de la Terre se mettra à osciller de plus en plus dans tous les sens, provoquant une instabilité climatique de plus en plus grande. À terme (dans deux milliards d'années), la vie telle qu'on la connait ne sera plus du tout possible (mais ce n'est pas dans deux minutes).eatsalad a écrit : 26 janv. 2018, 11:09Je vois pas trop en quoi les modifications que l'homme apporte à son environnement, l’empêcheront de prospérer ?
Ceci étant dit, j'me demande quand même (puisque ce phénomène se fera sentir graduellement) dans quelle mesure nos efforts pour ne pas provoquer des changements climatiques sont utiles?
Re: La vie dans l'univers.
Vous posez vous la question de porter un casque sur un chantier, parce qu'une météorites destructrice pourra tomber sur terre?Igor a écrit : 26 janv. 2018, 19:15 Ceci étant dit, j'me demande quand même (puisque ce phénomène se fera sentir graduellement) dans quelle mesure nos efforts pour ne pas provoquer des changements climatiques sont utiles?
"Quand elle devient « pure » de toute expérience sensorielle, la raison déraisonne. Elle prétend prouver l’existence de Dieu et l’immortalité de l’âme. Cette folie s’appelle métaphysique. Le métaphysicien est un savant fou. Il veut tout prouver, il ne montre que son insanité." Jean-Baptiste Botul
Re: La vie dans l'univers.
Pour certains, le processus aurait déjà commencé : Baisse vertigineuse du QI moyen en Occident : des études tirent la sonnette d'alarmeWooden Ali a écrit : 26 janv. 2018, 10:51la sélection naturelle (…) laissera la place à de nouvelles espèces moins performantes pour modifier cet environnement. Peut-être en sélectionnant les plus cons d'entre eux !
Cela ne concerne pour l'instant que l'occident. Et, bien sûr, il se trouve des voix pour relativiser ces résultats : Notre QI est-il vraiment en train de baisser ?
Et puis QI ne signifie pas forcément intelligence.
Ce qui, pour autant, qui n'est pas forcément rassurant. Pour James Flynn, en effet, l'homme qui a démontré la hausse du QI depuis 1945 « Nos enfants sont plus bêtes que nous, et les leurs risquent bien d’être encore plus stupides. » pour des raisons n'ayant rien à voir avec le quotient intellectuel, mais plutôt en rapport avec l'indigence culturelle croissante (le Monde).

En tout cas, si ce qui affecte l'Ouest est une réalité, rien n'empêche que l'Est soit un jour ou l'autre touché. Mais alors la vraie question est peut-être : cette connerie croissante précipitera-t-elle notre chute ou nous sauvera-t-elle ?
Peut-être les deux… Pour extrapoler le titre du film d'Arte : demain, tous crétins, tous Chinois… ou tous morts ?
Peut-être tous sauvés, finalement.
Enfin… les cons…
De toutes façon, cette planète n'a-t-elle pas toujours été la leur ?
The negative Flynn Effect: A systematic literature review
« On peut rire de tout, mais pas avec tout le monde » (Pierre Desproges) La vidéo
Re: La vie dans l'univers.
Comme je le disais, ce phénomène se fera sentir graduellement (et pas simplement tout d'un coup dans 2 milliards d'années). Cependant, j'avoue que je ne sais pas jusqu'à quel point malgré que dans les systèmes complexes, une petite différence peut faire toute une différence. Je me posais seulement la question.unptitgab a écrit : 26 janv. 2018, 20:30Vous posez vous la question de porter un casque sur un chantier, parce qu'une météorites destructrice pourra tomber sur terre?Igor a écrit : 26 janv. 2018, 19:15 Ceci étant dit, j'me demande quand même (puisque ce phénomène se fera sentir graduellement) dans quelle mesure nos efforts pour ne pas provoquer des changements climatiques sont utiles?
Mais il y a d'autres catastrophes qui peuvent survenir, et assez rapidement. L'Éruption du Yellowstone par exemple. http://www.francesoir.fr/societe-scienc ... lus-proche
Comprenez-moi bien, je ne remets pas en question les changements climatiques, ni même qu'ils sont en grande partie causés par l'homme. J'ai d'ailleurs visionné quelques documentaires là-dessus (comme La Onzième Heure). https://www.youtube.com/watch?v=efFM0EZFy2I
Ceci dit, et s'il s'avérait qu'on fonce tout droit sur un iceberg de toute façon, serait-il raisonnable d'entreprendre de repeindre le Titanic?!
Re: La vie dans l'univers.
Avant de s'inquiéter pour ce qui arrivera assurément dans quelques millions/milliards d'années, on devrait s'inquiéter pour ce qui risque d'arriver de notre vivant ou pour nos enfants/petits-enfants.Igor a écrit : 26 janv. 2018, 19:15Ceci étant dit, j'me demande quand même (puisque ce phénomène se fera sentir graduellement) dans quelle mesure nos efforts pour ne pas provoquer des changements climatiques sont utiles?
Re: La vie dans l'univers.
Bien sûr, je ne dis pas le contraire non plus. Mais il ne faut pas penser qu'il suffit de faire attention à l'environnement pour que la survie de l'humanité soit assurée de ce point de vue. J'veux dire, la nature peut très bien nous détruire quand même, et plus rapidement qu'on le pense.Raphaël a écrit : 27 janv. 2018, 06:14Avant de s'inquiéter pour ce qui arrivera assurément dans quelques millions/milliards d'années, on devrait s'inquiéter pour ce qui risque d'arriver de notre vivant ou pour nos enfants/petits-enfants.
J'pense qu'il faudrait faire plus en fait, et coloniser d'autres planètes. Parce que sinon, ça peut être décourageant de penser qu'on doit faire des efforts pour lutter contre les changements climatiques tout en sachant qu'on est condamnés quand même à plus ou moins long terme. Si l'humanité veut vraiment survivre, elle devrait établir des colonies sur Mars et la Lune par exemple.
J'pense que cela sera éventuellement le cas. J'pense qu'il y aura éventuellement des villes sous la surface de ces astres et que les chances de survie de notre espèce sera bien mieux assurée d'ici quelques centaines ou milliers d'années. Surtout avec les développements de l'intelligence artificielle, des robots feront tout le travail et il nous suffira de nous y installer. Je ne dis pas qu'il faudra quitter la Terre par contre, mais qu'éventuellement, il faudra apprendre à vivre sous terre (peu importe qu'on ait fait attention ou pas à l'environnement).
En fait, moi j'suis plutôt optimiste pour l'humanité, j'pense qu'elle a un futur (sauf qu'il faudra apprendre à cohabiter pacifiquement par contre).
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Re: La vie dans l'univers.
... Et une fois que l'homme aura gâché son environnement sur la lune et mars comme il le fait actuellement pour la terre, il colonisera de nouvelles planètes et ainsi de suite... Déplacer un problème ce n'est pas le supprimer.Igor a écrit : 27 janv. 2018, 07:12 il ne faut pas penser qu'il suffit de faire attention à l'environnement pour que la survie de l'humanité soit assurée de ce point de vue.[...] J'pense qu'il faudrait faire plus en fait, et coloniser d'autres planètes
Et pour les financements, ça se passera comment?Surtout avec les développements de l'intelligence artificielle, des robots feront tout le travail et il nous suffira de nous y installer.
La belle vie... Je préfère : "Il faudrait apprendre à vivre sur terre".il faudra apprendre à vivre sous terre
"Par le saumon qui se meut!.. I want my food!.. Slice me tender"..
Re: La vie dans l'univers.
Bjr Vathar,
J’ai tjrs cru que les probabilités n’étaient que de simples questions... ...de probabilités « mathématique ».
Pourquoi le nombre de cas avérés aurait une quelconque incidence sur les calculs? Lorsqu’on crée une nouvelle loto, P. Ex., il est tout à fait possible de calculer les probabilités avant même d’avoir le « cas avéré » du premier gagnant, non?
Du coup, avec nos connaissances actuelles concernant la composition de l’univers et de ses éléments, du nombre potentiel d’étoiles et de planètes ayant des configurations et paramètres semblables au nôtre, en quoi le fait de pouvoir calculer les probabilités qu’une forme de vie quelconque ait pu se développé ailleurs que sur la terre relèverait d’une « expérience de pensée » ayant moins de valeurs que n’importe quel autre calcul de probabilité?
Cogite, vous en pensez quoi, vous?
Les calculs de probabilité concernant le fait qu'il puisse y avoir une forme de vie — quelconque — ailleurs dans l'univers, ça ne vaut pas plus qu'une expérience de pensée? Ça vaut moins que tout autre calcul de probabilité avec « inconnue »? On ne pourrait même pas la qualifier de bonne ou mauvaise?
Euh, n’est-ce pas un peu exagéré comme affirmation?Vathar a écrit : 26 janv. 2018, 11:07 La probabilité n'est pas "bonne". La probabilité n'est pas calculable lorsqu'on ne dispose que d'un cas avéré (notre planète). Les équations ayant été pondues par Drake et d'autres depuis plus d'un demi siècle ne sont que des conjectures et des exercices de pensée.

J’ai tjrs cru que les probabilités n’étaient que de simples questions... ...de probabilités « mathématique ».
Pourquoi le nombre de cas avérés aurait une quelconque incidence sur les calculs? Lorsqu’on crée une nouvelle loto, P. Ex., il est tout à fait possible de calculer les probabilités avant même d’avoir le « cas avéré » du premier gagnant, non?
Du coup, avec nos connaissances actuelles concernant la composition de l’univers et de ses éléments, du nombre potentiel d’étoiles et de planètes ayant des configurations et paramètres semblables au nôtre, en quoi le fait de pouvoir calculer les probabilités qu’une forme de vie quelconque ait pu se développé ailleurs que sur la terre relèverait d’une « expérience de pensée » ayant moins de valeurs que n’importe quel autre calcul de probabilité?
Cogite, vous en pensez quoi, vous?
Les calculs de probabilité concernant le fait qu'il puisse y avoir une forme de vie — quelconque — ailleurs dans l'univers, ça ne vaut pas plus qu'une expérience de pensée? Ça vaut moins que tout autre calcul de probabilité avec « inconnue »? On ne pourrait même pas la qualifier de bonne ou mauvaise?
Penser savoir est une chose, savoir penser en est une autre !
Re: La vie dans l'univers.
@ dash, à la différence du loto, où les conditions de réussite sont connues, ce qui permet de calculer la probabilité de réussite, les conditions nécessaires à l'apparition du vivant ne le sont pas.
"Quand elle devient « pure » de toute expérience sensorielle, la raison déraisonne. Elle prétend prouver l’existence de Dieu et l’immortalité de l’âme. Cette folie s’appelle métaphysique. Le métaphysicien est un savant fou. Il veut tout prouver, il ne montre que son insanité." Jean-Baptiste Botul
Re: La vie dans l'univers.
Notez bien que je n'ai pas envie de voler dans les plumes de Drake, dont j'ai pris l'équation comme un exemple. Il semble en outre admis qu'il l'avait bel et bien conçue comme un exercice de pensée destiné à stimuler la curiosité.
Le problème est qu'on ignore tout d'une moitié de l'équation. Meme si l'on réussit à quantifier un nombre d'environnements propices à la vie telle qu'on la connait, on est dans le flou total en ce qui concerne les probabilités d'apparition de la vie dans ces environnements.
Dans la mesure ou l'on dispose d'un cas connu dans l'univers observable, je serais tenté de dire qu'à minima, la probabilité est supérieure à zéro, mais c'est à peu pres tout
Re: La vie dans l'univers.
Je ne sais pas si j'ai raté quelque chose depuis 2 ans, mais je croyais que les (du moins, les principales) conditions nécessaires à l'apparition du vivant étaient parfaitement connues. Température, air, eau, etc., etc.unptitgab a écrit : 27 janv. 2018, 12:42 @ dash, à la différence du loto, où les conditions de réussite sont connues, ce qui permet de calculer la probabilité de réussite, les conditions nécessaires à l'apparition du vivant ne le sont pas.
Suis-je redevenu zozo sans m'en apercevoir?

Penser savoir est une chose, savoir penser en est une autre !
Re: La vie dans l'univers.
À ce point? Bon, si d'autres confirment, il était manifestement temps que je revienne m'instruire sur ce forum!Vathar a écrit : 27 janv. 2018, 12:58 ...on est dans le flou total en ce qui concerne les probabilités d'apparition de la vie dans ces environnements.

Donc, dans des environnements adéquats, personne n'a encore réussi à recréer la vie en laboratoire?
Penser savoir est une chose, savoir penser en est une autre !
Re: La vie dans l'univers.
Jean-Francois en saura certainement plus que moi en matière d’abiogenèse, mais il me semble bien que non.Dash a écrit : 27 janv. 2018, 13:17Donc, dans des environnements adéquats, personne n'a encore réussi à recréer la vie en laboratoire?
Re: La vie dans l'univers.
Il me semble que l’on n’a jamais reussit à recréer la vie non.
En revanche on a créé des acides aminés, mais dans des conditions qui restent sujettes a débat.
Ca demeure tout de meme énorme d’avoir réussit à former de telles composants a partir de matière minerale.
https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Expérie ... iller-Urey
Apres ya toujour des histoires de rigeure autour de l´expérience.
C’etait ya déja un bon moment en plus.
Et on entend plus trop parler de ce genre d’experience.
En revanche on a créé des acides aminés, mais dans des conditions qui restent sujettes a débat.
Ca demeure tout de meme énorme d’avoir réussit à former de telles composants a partir de matière minerale.
https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Expérie ... iller-Urey
Apres ya toujour des histoires de rigeure autour de l´expérience.
C’etait ya déja un bon moment en plus.
Et on entend plus trop parler de ce genre d’experience.
Re: La vie dans l'univers.
Thx pour la source Nico! 

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Re: La vie dans l'univers.
L'environnement est déjà gâché sur la Lune et sur Mars puisque la vie y est impossible. Je pense seulement qu'on devrait coloniser les planètes et lunes de notre système solaire pour assurer encore plus la survie de notre espèce.LoutredeMer a écrit : 27 janv. 2018, 11:49 ... Et une fois que l'homme aura gâché son environnement sur la lune et mars comme il le fait actuellement pour la terre, il colonisera de nouvelles planètes et ainsi de suite... Déplacer un problème ce n'est pas le supprimer.
J'vois pas le problème.

Sous terre ou sous les océans, mais oui, c'est inévitable à long terme.LoutredeMer a écrit : 27 janv. 2018, 11:49La belle vie... Je préfère : "Il faudrait apprendre à vivre sur terre".
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