Souris a écrit :Je ne sais pas ce que tu tentes de dire mais dit toi bien qu’un objet comme un outil, les deux sont jetables. De cet angle, ta nuance est d’aucune utilité.
Si c'est parfait utile, ca explique pourquoi l'humain est "jetable" et l'a toujours été. Mais n'est pas que ça, et ne se réduit pas qu'a cela. Même durant un rejet...
Par exemple, tu est en relation avec quelqu'un, tu attend de cette personne du respect, de l'aide, et qu'elle ne détruise pas ton bonheur, ton business/emplois ou ta santé psychique et mentale.
Exemple pro : Il se trouve que si tu travail avec une personne qui, avec le temps, va mettre en danger ton business il va falloir l'aider. Comprendre ce qui ne va pas. Peut-être est-ce normal, que la personne à d'autres besoins. Ou qu'elle ne va pas bien. Qu'elle essaye de te le faire comprendre.
Et qu'elle veut rester, ou partir, mais qu'elle à besoin de toi (ou pas).
Et quand la personne veut partir, ou qu'elle devient dangereuse pour toi même (tu doit bien te nourir), en quoi est-ce mal de se séparer de cette personne ?
La personne étant un outil de l'autre (chacuns apporte à l'autre, socialement, matériellement, spirituellement, etc), elle est capable de rebondir, car elle à une utilité et/ou une personnalité à elle (même si elle ne travail pas hein...toi et moi, ici, on à une utilité sociale à se parler...et si on est pas utile l'un à l'autre, on à une subjectivité à sois qu'on doit respecter...sauf si on est en état dépressif ou autre, et la on parle de maladie). Alors que la notion "d'objet' est juste péjoratif.
Par ailleurs, cette notion de maladie est complexe et vachement plus interessante que l'engagement lucide entre deux personnes en pleine santé. Parfois en couple l'un tombe gravement malade, et ça peut devenir un calvaire pour l'autre...
Dans ce cas, je pense qu'il est juste et bon, de rester...pour l'autre et pour sois-même. Mais je peut comprendre qu'on puisse craquer et partir.
Dans le cas ou la santé de l'aidant est engagée à cause de la situation, alors la problématique devient encore plus complexe...bon courage pour démêler le bien du mal et le juste du pas juste la dedans...
Lorsqu’on met quelqu’un avec qui on s’était pourtant engagé pour la vie, en dehors de sa vie de couple, on le jette comme un vulgaire objet.
Non, si la séparation est amiable, absolument pas. C'est souvent qu'un couple qui se sépare, après
le deuil, trouvera sa nouvelle vie plus adaptée.
On peut se séparer sans voir l'autre comme un objet ni même le traiter ainssi. On peut même se séparer par respect...mais ça semble te dépasser.
Un objet n'a pas de vie, pas de subjectivité, et pas de conscience. En se séparant, on peut le faire mal, en jetant l'autre comme une merde. Mais on peut aussi le faire bien, en parlant, en expliquant, en aidant. Un objet ne peut pas rebondir par la volonté, ou même demander le respect de sa liberté de partir. Ni de l'aide. Ni parler. Ni souffrir. Ni demander réparation. Ni aimer et assumer son choix, et voir l'autre s'en réjouir... Un humain oui. Et il ne se gène pas à le faire, autant par altruisme que par égoïsme...
Ta vision des humains manque totalement de nuance.
J'ai une question à te poser. Si ton conjoint(e) venait à te demander une séparation, car il n'est plus heureux avec toi et ne trouve aucune solution à ce problème (et n'a plus de volonté, rien)...va t'u l'en empêcher ? Va tu le forcer à rester ? Ou le manipuler pour qu'il reste ? Ou lui faire miroiter un bonheur surfacique ?
Si oui, et tu certain(e) que c'est pas toi le(la) psychopathe ? Que fait tu de sa liberté,
à l'autre ?
Il y a des raisons, mais ce n’est pas de ce cas dont je parle. Je parle du cas ou l’un a choisi de s’engager pour la vie avec un autre si l’autre s’engageait de même.
C'est bien pour ca que les gens promettent moins qu'avant et ne mettent plus la charrue avant les bœufs en couple... Ils savent que les devoirs, dans les couples et dans nos sociétés actuelles, sont devenus moins important face aux libertés. Il y à aussi une question d’honnêteté.
Par exemple, à une époque,
l’adultère était un suicide sociale, les gens promettait, mais se cachait pour aller voir ailleurs.
Désormais, l'honnêteté et l'indépendance est plus recherchée, et donc les promesses moins splendides et moins épiques...
Et que l’autre, plus tard, est le seul à vouloir briser cet engagement.
Personnellement, avant de m’être marié, j'ai longuement parler avec ma femme.
Je me suis marié pour des raisons de protections (elle et moi) et d'autres raisons, mais je lui ai bien dit que si l'un ou l'autre n’était plus heureux, il devait partir. A condition de ne pas laisser l'autre dans l'incapacité de se reprendre en charge seul.
Pour nous, c’était une question de respect. Il est la l'engagement pour moi. Et elle aussi.
De plus en plus de gens voient les chosent ainsi. Et pense bien que c'est impossible de donner la moindre liberté à un objet...surtout celui au bonheur, de sois, et aussi : de l'autre...
Tout comme une personne qui accepte de pardonner un voleur aura mon admiration, la personne qui accepte d’avoir été trahi aura mon admiration. Mais tant le voleur ou le traitre (celui qui brise la promesse) je n’approuverai pas leur action.
Je pense comprendre ta logique. Tu part du principe que le mariage est une question d'engagement à rester en couple, avant même d'engagement à tout faire pour être heureux et rendre l'autre heureux...
Nan car, bcp de gens ne font aucune faute (aucune infidélité, rien), mais veulent partir...les confondre avec des voleurs ou des gens qui trahissent est totalement absurde. Surtout si, depuis le début, l'engagement c'est le bonheur...et pas le fait de rester malheureux comme des cons...
Avant de continuer à discuter de ce qui est bien et de ce qui est mal, il faudrait que je comprenne sur quoi tu te bases pour décréter ce qui est bien et ce qui est mal
Ca n'a aucune utilité. Je te parle ici de valeurs, aucunement besoin de savoir si c'est bien ou mal pour en comprendre les fondements...
Mais je pense que le bien et le mal est identifiable, pour autant. Pas parfaitement objectivement, mais pas que subjectivement non-plus.
C'est une forme de croyance. On en à tous dans ces zones morales/éthiques/rationalisantes.
Pour une personne qui ne croit pas en Dieu, le bien et le mal n’existe pas
Effectivement, le bien et le mal, ca n'existe pas
objectivement avec un grand O !
Mais je pense que ca existe de manière relative et subjective. Cad à dire pas uniquement subjective.
Par exemple, la douleur émotionnelle, ça existe. On peut même le vérifier physiquement...
Croit moi...quand je voit une personne qui en frappe une autre...j'intervient (si je risque pas ma vie) pour défendre la victime. Car je sais qui fait une chose mal.
Même un chien peut faire ça...ya même pas besoin de savoir lire.
Qu’un atome perde ou gagne un électron, ce n’est ni bien ni mal.
C'est exacte ! Donc pour toi aussi, le bien et le mal, c'est + ou - subjectif ?
Dans ton monde, le bien et le mal ne sont qu’une vue de l’esprit comme préférer le blanc ou le rouge n’est vrai que pour la personne et ceux qui partagent la même préférence.
Donc tu pense que le bien et le mal se loge entre l'objectif et le subjectif ? Si c'est le cas, on pense pareil. Mais je ne comprend pas trop ou tu veut en venir.
Il ne me viendrait jamais à l’esprit de convaincre une autre personne de préférer une couleur à l’autre.
Moi non-plus. Heureusement, le bonheur et la douleur, c'est pas une couleur...
J’essaierais simplement, s'il y a lieu, de lui imposer ma couleur. C'est ce que tu fais sans t'en apercevoir.
Ha bon ?
Et comment je fait cela ? Laisser l'autre libre de se séparer, demander cette même liberté pour sois, et revendiquer que c'est bien, c'est cela que tu appel "imposer" ?
Je serait curieux que tu m'explique cet illogisme de ta part.
C'est tellement gros comme illogisme que j'ai douter de moi
D'autant plus que : je pense que les couples qui s'engagent à vie ne devrait pas se séparer (je pense qu'un engagement, ça se tien...après, il faut être réaliste, l'humain est faible...). Et que je n'ai pas imposer à ma femme à me marier à vie, mais en disant que l'engagement qui m’intéresse et le soutient dans le bonheur (mais pas dans le malheur).
En gros, je lui ai rien imposé. Et j'impose pas ma vision du couple à d'autres...en plus...(j'ai autre chose à faire).
Donc, ou j'impose ? Clairement ? Sans faire de parabole, dit moi ou j'impose quoi que se soit ?
Par exemple : est-ce que je t'impose ma vision du couple, ou l'impose à Aggée ? Si oui...ou. Merci.
Tu croies cela car on te l’a dit ou tu ne comprends pas la Bible.
Ho ne t'en fait pas pour moi, quand on me dit un truc, je suis du genre à verifier, et à aller chercher chez ceux qui sont pas d'accord.
Le fait est que :
La Bible a écrit :C'est des nations qui vous entourent que tu prendras ton esclave et ta servante qui t'appartiendront, c'est d'elles que vous achèterez l'esclave et la servante.
Que veut tu contre un verset si clair que cela et
dans un contexte parfaitement clair ?
https://www.enseignemoi.com/bible/levit ... 44.html#44
Donc non, c'est bien toi qui croit que la Bible n'autorise pas vraiment l'esclavagisme, car c'est pas une image que tu peut supporter de la religion qui ta été inculqué.
Contrairement à moi, qui suis capable de voir, de comprendre, et de parler des dérives de nos société consumériste.
Toi, tu est incapable de d'admettre que le Christianisme puisse mener à des dérives qui sont directement liée à sa nature intrinsèque (et pas juste à une dérive d’interprétation).
Ton jugement moral dans un monde sans Dieu a autant de valeur que de tenter de dire que le vert est plus beau que le bleu. Cela n’a aucune valeur, c’est comme décréter que la Bible ne si connait pas en couleur car elle préfère le bleu.
N'importe quoi...et quel rapport avec Dieu ?
En quoi tes valeurs ne serait pas affecté par la logique de ta propre phrase. Et pas les miennes sous pretexte de "j'ai pas de Dieu" ?
Sérieux, tu te donne plus de pouvoir que moi sous prétexte que tu croit en Dieu alors que tu ne sais pas si c'est bien Dieu qui est à l'origine de la Bible ?
...Bel homme de paille, bien tenté, mais ca passe pas une seule seconde.
La, c'est toi qui te donne gratuitement plus d’objectivité morale que moi, pourquoi ? Parceque Dieu...
Bof. Et même si Dieu existait, en quoi ta phrase ne serait pas valable pour toi aussi ? Car en gros, si tu sais que Dieu existe, comment tu sais que la Bible est inspirée de Lui ?
Et puis d’abord...comment tu sais que je ne croit pas en Dieu ?
Question : Est-ce que pour toi quelqu'un qui croit pas en la Bible ne croit pas en Dieu ?
Mais l’enseignement de Dieu a été fait bien avant l’Écriture. Adam savait qu’il ne devait pas manger du fruit défendu bien avant que cela soit écrit dans la Bible.
Ha non tu voit, quand je lis des textes éthiques/moraux et des mythes qui viennent de l'antiquité...et qu'on les retrouve dans la Bible, je pense "évolution sociales et culturelle". Un peut comme les valeurs actuelles viennent des évolutions du siècle dernier (mai 68 par exemple

).
C'est pas les prophètes qui les on inculquées celles-la, si ? Pourtant ces valeurs aussi existent depuis la nuit des temps...aussi...
C'est sure qu'avec autant d’incohérence dans ton discours, tu à peut être raison, ça n'ira pas bien loin...m'enfin...on verra.
Tu confirmes donc mon point « Mais plusieurs, on pris l'enseignement de l'Évangile pour ce faire de l'argent. » Ce n’est donc pas toutes les religions qui sont un business comme tu l’as laissé entendre ici.
Tout peut être un business. Pour le Pape, ta religion, c'est un business. Pour le petit prêtre, qui assume sa foi et à une spiritualité, ca l'est pas.
Problème : le Christianisme c'est étendu grâce à ces deux types de personnes. Et aussi par le sang.
J’espère que tu te rends compte que ta base philosophique et le comportement individuel et collectif que tu tentes de transmettre est elle aussi une idéologie par définition.
Une base philosophique n'est pas une idéologie : le créationnisme n'est pas une idéologie. Pas plus que l'athéisme.
Mais si un systeme morale et politique se construit autour, alors ce systeme devient idéologique.
Donc évidemment que ça l'est, idéologique, ce que je dit !
Mais toi aussi. Juste que ta un peut de mal à le dire clairement...ça viendra
Ps : il va falloir commencer à comprendre que Dieu n’appartiens pas au Christianisme uniquement. Il faut différencier le monothéisme de la religion et de l'idéologique...
La tienne compris alors.
Oui ! A la petite différence (avec Aggée), et que je ne pense pas que mon idéologie est divine, ni parfaite (loin de la).
La petit différence, aussi, entre mon idéologie et la tienne. C'est que si j'essaye de te vendre mon idéologie, c'est pas à grand renfort de menace d'enfer éternel (qui tu ne me dit pas ici...mais en ouvrant la Bible, c'est clair...je ne parle même pas du Coran qui est un livre de menace à lui tout seul

)...
Je te le dit : si tu aime ton idéologie, tu y sera heureux, sur Terre et dans l'au-delà si tu y croit (et si ça existe).
Bha oui, pour moi les gens peuvent être heureux quand ils sont en couple pour la vie, engagée, et fidèle...oui c'est possible.
Oui si tu n’es pas d’accord avec ceci : «Il dit qu'il y a des valeurs que la Bible enseigne et qui ont été perverti par notre société de consommation»
Es-tu d’accord que c’est son point ?
Difficile à dire. Mais je dirait que oui !
Et je pense que c'est un bien ET un mal. En gros, je ne pense pas que la résultante soit dichotomique.
Et je pense, comme toi (il me semble), qu'il serait bien difficile de quantifier le bien et le mal et de savoir qui s'en sort le mieux.
Si on pouvait le faire, on en parlerait pas. On se serait tous soumis à l'évidence.
Or les choses ne sont pas si évidente en ce bas monde.
Il fut un temps ou l’idéologie dominante faisant que le mariage était sacré alors le mariage avait plus de chance d’être considéré comme sacré. Maintenant, l’idéologie dominante étant celle où le mariage n’est plus sacré alors il l’est moins.
Désolé, je ne peut m’empêcher de t'envoyer une pique mais...est-ce que tu maîtrise la logique uniquement quand tu fait des pléonasme ?

Parce-que la...il est bien garnis celui-la
Cela ne justifie pas la perversion qu’il souligne par ses deux exemples.
Je l'ai justifié par rapport à son
jugement.
Sinon, je ne l'aurait pas fait. Car tel quel ça n'a pas à être justifié, oui.
Tous les modèles sociaux qui vont dans la direction de ne plus affirmer que le mariage est sacré font que les sociétés qui sont basées sur ces modèles sociaux vont ne plus affirmer que le mariage est sacré. Si tu parles de d’autres problèmes, je m’en sacre car ce n’est pas le sujet.
J'ai juste dit que l'humain est un animal sociale et un individu. Et qu'aucun système n'a réussit à le rendre juste l'un ou juste l'autre.
C'est à dire juste un esclave de lui-même, ou un esclave de la société. Et il est bien plus que cela. C'est tout.
Tout à fait d’accord que l’homme est pécheur.
Sur ce point on tombe d'accord à 100%...mais c'est sur le point le plus triste...bon...
Et ce n’est pas rien. De plus, tu tournes encore en rond. Heureux de ne pas l’être c’est au final être heureux.
Pas faux !
Remplace cela par "masochisme" donc.
Réalises-tu qu’une valeur promue par Aggée est que l’engagement pris l’un envers l’autre est plus fondamental que le besoin de se défaire de cet engagement.
Pour lui ? Oui.
Pour moi. Oui ET non. Pour moi il n'y pas que cela qui est fondamentale. L'engagement l'est, mais le respect de la liberté de l'autre, et de sois-même aussi.
Commentaire inutile de ta part. Dans ta vision du monde ce que tu viens de dire n’a aucun sens. Le bien et le mal ne sont que des constructions de l’esprit. Que tu trouves une valeur respectable n’est qu’une évaluation subjective de ta part.
Sauf dans la Bible (et le mariage selon) c'est ça ?
Le christianisme a beau promouvoir des bons principes, l’homme déchu ne voudra pas les appliquer en toutes circonstances. Moi le premier. Mais ces bons principes doivent quand même être promu.
Parce-que tu croit que la Bible ne promus que des bons principes ?
Donc, quand une femme ne doit pas avoir certaines activité intellectuelle (et les transmettre), c'est ok pour toi ?
Et dire que ne pas croire mène en enfer, c'est bien pour toi ?
Ou celui qui aime sont père plus qu'un Dieu, celui qui se sauve pour lui au lieu de Dieu, méritant la mort. C'est bien ?
Je vais pas faire une liste hein...Et puis, je suis bon joueur : Je met que le NT. Si je parlait de l'AT, il faudrait te justifié de pas mal de trucs que personnellement je trouve mal, mais que tu trouve bien (mais comme c'est Divin...alors mon avis sur le bien et le mal ne tien plus...tu parle d'un système totalitaire...

)
Tu sonnes totalitaire dans ce que tu viens d’exprimer.
Dire qu'une personne qui considère juste SA vision du bien qu'elle est totalitaire, serait un acte totalitaire à tes yeux ?
Purée...je suis bouché bé la.
Tu me sembles pourtant privilégier la liberté d’un individu à briser son engagement lors d’un mariage que plutôt respecter son engagement.
Non.
J'aime les deux.
C'est pas compatible au même moment, mais dans une vie, oui.
Si demain ma femme me frappe ou venait à me haïr et que rien ne pouvait changer, je la quitterait après avoir essayé de l'aider et avoir tout fait pour la mettre à l'abris du besoin (mon engament). Mais je ne me suis pas engagée à devenir triste pour elle.
Edit : et je privilégie cette valeur dans le cadre de cette discussion. Et aussi parce-que je voit bien que toi et Aggée privilégiez les votre sous prétexte : Dieu.
Si demain un mec venait me venter le droit à jeter son conjoint n'importe comment, je n'aurait pas le même discours.
Parce-que je ne croit pas en des valeurs parfaites, immuables, et dénuées d'un double tranchant. Encore moins venant d'un Dieu qui aurait choisit un livre parfaitement accessible à l’écriture humaine pour les venter alors mêmes que ces valeurs ne sembles pas parfaites elles-mêmes...
Tu ne tentes pas de défendre tes valeurs qui ne sont pas les mêmes que celles promues à tes yeux par la Bible ? C'est pourtant ce que tu fais.
Est-je dit l'inverse ?
Non. Mais mes valeurs, je les pensent pas parfaites (
très loin de la), ni absolues, ni divines, et je n'en parle pas aux autres (je ne fait pas de prosélytisme). Je n'en parle que quand on m'en parle ou qu'une personne exprime publiquement une opinion avec la qu'elle je ne suis pas d'accord.