richard a écrit : 06 juil. 2019, 12:54Salut à tous! Je donne ma position sur cette histoire de relativité.
Mouais. Quand tu donneras aussi ta position sur toutes les erreurs qu'on t'a signalées dans tes affirmations et que tu montreras avoir compris et corrigé tes erreurs de compréhension et tes erreurs de calcul, on pourra peut-être commencer à discuter plus sérieusement.
richard a écrit : 06 juil. 2019, 12:54Ce qui différencie les ondes électromagnétiques des ondes sonores c’est que leur fréquence varie en plus en fonction de la vitesse au second degré (en v
2/c
2). C’est cet effet qui doit être explicité. Ce ne sont pas les seuls critères qui ont guidé ma recherche mais ils en ont fait partie.
L'explication présente d'ailleurs un lien avec la formule donnée dans ma réponse à Souris (encore faut-il la lire)
ABC a écrit : 05 juil. 2019, 23:44 tB/tA = (1+vw/c²)/(1-vw/c²) > 1
( Nota : dans le cas particulier où les plateformes roulent à vitesse w = c par rapport au train, on retrouve bien sûr le résultat tB/tA = (c+v)/(c-v) )
Dommage que la correction de tes erreurs de compréhension basiques (corrigeables par des calculs élémentaires) n'ait pas guidé aussi ta recherche. J'espère que tu vas bientôt te décider à le faire pour qu'on puisse enfin discuter de choses un peu sérieuses (au lieu de passer notre temps à ressasser des évidences mathématiques et physiques du niveau élève de terminale en difficulté quand ce n'est pas d'un niveau encore inférieur).
Ce qui différencie les ondes électromagnétiques des ondes sonores c'est le fait que les ondes sonores se propagent à une vitesse inférieure à celle de la lumière. Il est, de ce fait, possible de mesurer notre vitesse par rapport au milieu de propagation de ces ondes électromagnétique alors qu'il est toujours possible de mesurer notre vitesse par rapport à un milieu de propagation des ondes sonores.
Essaye (à ce jour, sur la base de nos possibilités d'observation actuelles) de mesurer notre vitesse vis à vis du milieu de propagation des ondes électromagnétiques. Ce serait possible, avec un Morley Michelson, si les longueurs, les durées et la simultanéité étaient indépendantes du référentiel d'observation comme c'est le cas en Relativité galiléenne. C'est un point que tu n'as jamais signalé avoir compris (probablement parce que le comprendre nécessiterait de corriger des erreurs que tu ne sembles pas souhaiter corriger). Tu n'as toutefois jamais pointé une erreur dans sa démonstration de quelques lignes, démonstration que je t'ai rappelée à plusieurs reprises (parce que tu n'en as pas trouvée). Ça n'a jamais donné lieu au moindre écho radar de ta part (comme à chaque fois que la conclusion te conduirait inévitablement à comprendre et admettre à tes propres yeux tes erreurs).
Aucun dispositif ne permet de mesurer notre vitesse par rapport au milieu de propagation des ondes car tous les effets (changement de simultanéité, changement de mesure de longueur, changement de mesure de durée) se compensent. Tout observateur inertiel peut estimer que seules ses mesures de durée, de simultanéité et de longueur sont les bonnes. De son point de vue ces mêmes grandeurs, observées dans d'autres référentiels inertiels, doivent alors être interprétées comme des illusions.
Très démocratique, la RR donne raison à tous les observateurs inertiels. Aucun n'a plus raison que les autres (c'est Coluche qui serait content). Il n'y a pas (à ce jour) de simultanéité objective, de durées objectives, de longueurs objectives. Il y a juste des grandeurs intersubjectivement observées par une classe d'observateurs au repos dans un même référentiel inertiel...
...par contre, il est possible de mesurer
notre vitesse de rotation avec un interféromètre à effet Sagnac. Il y a bien "un" référentiel absolu d'accélération.
Vis à vis de quels référentiels accélérons nous ou tournons nous ? Vis à vis de la classe des référentiels inertiels et, plus physiquement, si on décide d'adopter le point de vue de Mach, vis à vis du contenu énergie-matière de l'ensemble de l'univers (la pieuvre de référence comme Einstein avait coutume de la désigner).
Le point de vue de Mach (si on l'adopte) soulève d'ailleurs une question très intéressante. Comment obtenir une
interprétation de l'inertie qui soit:
- de nature gravitationnelle,
- compatible avec le principe de Mach selon lequel notre accélération serait relative au contenu énergie-matière de l'ensemble de l'univers,
- compatible en même temps avec l'invariance de Lorentz (Einstein s'y était cassé les dents malgré le fait que le point de vue de Mach ait joué un très grand rôle dans le développement de ses recherches en Relativité Générale),
- compatible enfin avec la symétrie T.
Hé, hé ! En voilà une bonne question.