Jean-Francois a écrit : 20 sept. 2019, 21:22
..... Car ce n'est qu'une histoire puisque vous n'avez aucun élément factuel à présenter.
...... Et votre état semble s'être amélioré. Ce qui peut faire se demander si le traitement n'a pas eu quand même un effet positif. De ce point de vue, le parallèle avec l'homéopathie ne tient sans doute pas (même s'il peut tenir dans d'autres cas).
Jean-François
Salut Jean-François
Voyons, j'ai conservé les prescriptions et les échanges avec mon ex. Je peux montrer ce que j’ai conservé. Ces femmes sont de criminelles.
À propos de la psychiatre, tu me donneras si tu veux les raisons de son agissement si tu veux la justifier positivement.
A) Très important, en 2007, je lui ai dit que j'arrêtais ma médication.
J'ai arrêté dans l'ordre; les Ativans, ensuite les Willbutrins et ensuite les Seroquels.
Elle savait que j'arrêtais ma médication et elle ne m'a jamais aidé, elle ne m'a pas donné de calendrier à suivre et elle me disait que le Seroquel n'était pas addictif. Le contexte a fait que j'ai arrêté le seroquel en dernier, soit six mois plus tard. Elle m'avait dit que c'était les ativans les plus difficile à arrêter, alors contrairement aux réactions habituelles, j'ai arrêté les ativans en premier et ensuite les Willbutrin avant les seroquel.
B) Avant l'arrêt des seroquel,
Note que j'avais tout mon esprit et ma logique normal lorsque j'observais ses agissements.
Quand j'ai arrêté les médicaments; Ativans et Willbutrin, il ne s'est rien passé, mais entretemps, avant l’arrête des seroquel, voici ce que j'ai vu.
1) Elle m'a dit que je devais contacter la DPJ, et je l'ai fait, quand je lui demandais le pourquoi de cette demande, elle me disait que c'était pour me soigner
2) Ensuite elle me disait de contacter la police, je ne l'ai pas fait
3) Étant donné que je ne l’écoutais pas, elle faisait comme parler à ses tiroirs en disant d'aller voir la police (à deux reprises) et je ne l'ai pas fait.
C) Après l’arrêt soudain des seroquel
Quelle crisse de merde de médicament. J’ai reconnu les symptômes que j’avais eus initialement en 2000-2001, je suis devenu complètement schizophrène. Je savais que je n’avais pas cette maladie.
J’ai enduré cette souffrance environ 4-6 semaines, où j’ai failli me suicider. Je ne savais plus quoi faire.
C) Je suis allé me plaindre à l'institut douglas de Montréal
Ils m’ont dit que ma réaction était normale, que plusieurs personnes avaient fait la même chose que moi. Ils m’ont enlevé les prescriptions d’Ativans et de Willbutrin et ils m’ont prescrits des seroquels à 200 mg/jour.
Les Tabaaaaarrrrnaaaak, ils n’ont pas voulu me donner un autre psychiatre, et ils m’ont dit de retourner sous les soins de mon ancienne psychiatre.
Je ne les ai pas cru, j’ai coupé la médication et je l’ai réduite progressivement, Je m’étais habitué à endurer les effets de sevrage qui diminuaient avec le temps. Après la schizophrénie, on vit de la paranoïa et ensuite de la bipolarité.
D) Le dernier rendez-vous
J’avais réduit les seroquel à 25 mg/jour, par moi-même, sans le dire à personne, mais il me fallait une autre prescription parce que je connaissait maintenant le danger des seroquel.
J’ai pris rendez-vous avec mon ancienne psychiatre, qui semblait être au courant de mon aventure à l’institut Douglas. Après un long discours de compassion expliquant que la maladie mentale est génétique et qu’on la soigne bien maintenant, elle m’expliqua qu’il était nécessaire d’augmenter ma dose de seroquel. Elle me donna une nouvelle prescription de 400mg/jour.
E) Arrêt complet des seroquels
Lors de ma dernière rencontre avec cette psychiatre, incompétente ou criminelle, j’en étais à 25 mg/jour, j’ai arrêté complètement, et après avec le temps, tous les symptômes ont disparus, mais cela a duré plus de deux ans.
À Jean-François,
J’ai conservé une copie de toutes ces prescriptions. Quand je raconte cette histoire, habituellement, je vois les yeux des gens et plusieurs ne me croient pas, ils ne peuvent pas s’imaginer la puissance de cette arnaque. Ceux qui sont honnêtes et qui ne me croient pas, comme toi, me font des répliquent semblables à ce que tu a écris. Je m’y suis habitué.
Quand je dis que j'ai lancé la serviette, c'est que j'ai l'impression qu'on ne peut rien faire devant ces abus.
J'espère que mon texte peut aider certaines personnes.