Curieux_ a écrit : 26 sept. 2019, 19:20
Dans l'affaire Ramadan, comment on peut expliquer que les " victimes " entretenaient encore des relations avec leur " violeur " ?
Un viol est une pénétration, des attouchements, etc sans consentement. Il semble assez fantaisiste que les femmes ayant eues des relations avec lui, si elles avaient été violées, continue à fantasmer et consentir à revoir leur bourreau...
Aller dans une chambre d'hôtel avec un homme, en ayant préalablement échangé des propos salaces, ne prouve pas un degré certain de consentement ?
C'est la porte ouverte à toutes les saloperies possible et imaginable...
Si par exemple un homme prend une femme en levrette dans une relation consentie, et que dans cette position, il met une fessée à la femme qui n'a pas consentie à la fessée, qu'est-ce qu'on fait dans ce genre de cas ? On dit que c'est un viol ? Comment on tranche ce genre de chose ?
Je trouve ces questions tout à fait intéressantes. Dommage que tu sous-poudre le tout d'affirmation gratuites non-étayées (comme presque tout le temps en fait), qui ne feront que retarder le moment ou ces questions seront posées et répondues posément.
Pour la question de l'attente entre le viol et une plainte, ça peut s'expliquer. Très facilement... (peur, pression du bourreau, de l'entourage de la victime ou du bourreau, auto-censure, croyances diverse, sentiment de culpabilité, découragement, manque de temps et d’énergie, honte, un mélange de tout cela... etc...
C'est pas ce qui manque pour expliquer ce genre de délais...). Les hommes qui subissent des agressions physiques aussi peuvent attendre longtemps...
Mais les (autres) questions que tu pose ici, elles sont amha pertinentes. Et ne reposent pas sur l'affaire Ramadan mais sur le sujet dans sont ensemble.
D'ailleurs, elles tombent à pique, à un moment ou la personne à l'origine de balancetonporc à été condamné pour diffamation. En soit, l'actualité apporte du sens à ces questions. Ça n'aide pas à y répondre. Mais à les poser probablement.
Mais bon, il est évident que certaines situation sont difficiles à trancher. Quand c'est pas impossible...
Ont peut inventer des centaines de situation borderline ou la limite entre viol et consentement est + ou - floue. Mais il y à aussi des milliers de situations ou on peut trancher et ou ce flou, si il existe, n'est plus une "excuse" relativiste suffisante.
Tout est complexe dans ce genre de dossier à la con.
Il pourrait être aussi pertinent de savoir
comment on sais que les victimes ont revues Ramadan... Dans quelle circonstances ? Est-ce après plusieurs mois ? Ou durant une période ou Ramadan avait une emprise psychologique avérée sur elles (emprise sectaire ou non), Etc... Ces détails pourrait servir.