pour continuer dans la provoc'... je lis avec attention le dernier né du philosophe...
Habitué à entendre qu'un monstre (présumé, hein'

Un homme reste un être humain même s'il a fait l'horreur. Voir le docu-reportage sur Anne Gruvez pour la philosophie qui m'anime. Elle est assez redoutable là-dessus.
Pourquoi alors produire de la déshumanisation là où peut-être il y a déjà un cruel manque d'humanisme, je veux dire par là, le coeur d'un homme... nécessitant d'être réparé.
Les conditions de mise aux mains de la justice et de la prison sont insupportables.
Dans le livre, je suis au début de son périple... la mise en prison. J'aurais pu alors créer un topic sur les conditions de privation de liberté en France... sujet qui m'intéresse particulièrement car la psychiatrie (en dehors de la prison) est le seul lieu où on a le droit de priver un humain de liberté.
Ce qu'il décrit est assez insoutenable (et me dite pas qu'un viol est insoutenable et de manière autrement plus terrible... je ne joue pas ici à la surenchère de l'horreur, c'est pas le sujet).
Les preuves factuelles et incontestables de ce qu'il aurait produit... semblent inexistantes. On est sur témoignage contre témoignage, alors?
La justice procède par assemblages de concordances... mais de quoi, de témoignage... Possible donc réel?
Si vous avez des infos fiables sur cette affaire, n'hésitez pas, je suis preneur.
Ce qui m'intéresse c'est la méthode de la justice et la fiabilité de leur façon de découvrir la Vérité sur n'importe quelle affaire.
Pour l'instant, cela ressemble étrangement aux erreurs et aux conclusions de l'affaire Omar Raddad qui visiblement gène encore la justice française...