Collapsosophie, solastalgie... faire face aux changements d'environnement global
Re: Collapsosophie, solastalgie... faire face aux changements d'environnement global
faut arretez la fumette et allez voter pour le partie patriote le plus a meme de le remporter. ça c'est du concret !
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Re: Collapsosophie, solastalgie... faire face aux changements d'environnement global
Dash a écrit : 14 avr. 2020, 05:26
Parce que j'observe que certains ont une représentation biaisée du nombre de gens réellement conscient et engagé. Les cercles « d'engagés », « d'artistes » et autres « bobos » ou « de gauche » (non péjoratif dans cette phrase) donne l'impression, via leur présence publique, qu'une majorité agit alors que la grande majorité du peuple lambda sans bat les couilles en réalité, malgré ce que certains peuvent dire pour se donner bonnes consciences.
Oui, c'est vrai.
Il m'est arrivé de rêver, un instant seulement, que la crise Covid19 allait amener du bon sur ces sujets... Mais en regardant les Chinois agir à J-0 post-crise... je me suis dit. C'est sûr que rien ne changera jamais. Et donc, que ce qui est scientifiquement prévu se déroulera.
On est pas mieux que le chinois donc...
J'ai une espèce de tristesse générale (comme par empathie pour notre espèce) actuellement... Je l'ai toujours eu mais là, je suis tellement loin que je suis hors-jeu sur un certain nombre de mes tâches professionnelles.
Notre puérilité d'égo va nous tuer ou nous faire souffrir physiquement.
"ἕν οἶδα ὅτι οὐδὲν οἶδα" Σωκράτης
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Re: Collapsosophie, solastalgie... faire face aux changements d'environnement global
Parce que les parties ont le contrôle?Spartacus a écrit : 14 avr. 2020, 07:37 faut arretez la fumette et allez voter pour le partie patriote le plus a meme de le remporter. ça c'est du concret !

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Re: Collapsosophie, solastalgie... faire face aux changements d'environnement global
Oui c'est ça, et ma réponse était plus spécialement pour lePsychosophe. J'aimerai le voir lâcher un peu prise et reprendre un peu de sérénité parce qu'il est dans une phase qui m'inquiète.ABC a écrit :Mmm... C'est un point de vue....miraye a écrit : 07 avr. 2020, 10:24l'humain ne contrôle pas grand chose, l'accepter et s'accepter tel qu'on est me semble bien plus apaisant.
Pour toi ABC, la réponse serai un peu différente. Mais je ne suis pas en état de l'exprimer clairement en ce moment (désolé) En résumé c'est que nous ne pouvons pas modifier notre réaction à l'érosion de biodiversite en cours sans faire l'économie de repenser notre rapport à la propriété et l'usage de la nature. Et que vu l'avancement du problème, l'action a déjà pris du retard.
PS j'avais vu le reportage dont tu parles lors de sa diffusion, il est intéressant comme piste de réflexion.
"Lourd est le parpaing de la réalité sur la tartelette aux fraises de nos illusions." Boulet
Re: Collapsosophie, solastalgie... faire face aux changements d'environnement global
rien n'est impossoble :
-on vote macron et la classe (dans le sens marxiste hein) erasmus continue de jouir de la globalisation (30% environ de la pop)
-on vote lepen et on aligne le niveau de vie de la classe ci precedement cite sur celui des dits classes moyenne et populaire (30-35% de la pop) : politique de DÉ-Globalisation
Vous me le dites si y a des choses que vous ne comprenez pas ?!
-on vote macron et la classe (dans le sens marxiste hein) erasmus continue de jouir de la globalisation (30% environ de la pop)
-on vote lepen et on aligne le niveau de vie de la classe ci precedement cite sur celui des dits classes moyenne et populaire (30-35% de la pop) : politique de DÉ-Globalisation
Vous me le dites si y a des choses que vous ne comprenez pas ?!
Re: Collapsosophie, solastalgie... faire face aux changements d'environnement global
Tout à fait. C'est ce point là que j'ai développé.Dash a écrit : 14 avr. 2020, 05:26(C'est moi qui ai mis en gras.). Le problème, c’est que ce fameux « nous » n’existe pas.ABC a écrit : 10 avr. 2020, 19:24Nous ne contrôlons [...] puisque nous ne nous contrôlons pas [...] Nous sommes dans le déni de notre responsabilité [...] nous nous considérons parfois [...] c’est quand même bien nous qui provoquons [...] dont nous sommes la principale cause [...] dont nous sommes à l’origine
Ce nous existe (et semble relever de l'inné au vu des expériences que j'ai citées) mais à l'intérieur de catégories qui, trop souvent,
- se replient sur elles mêmes,
- se rejettent les unes sur les autres l'inadaptation partielle de notre système de valeurs (en grande partie communes),
- ou pire, se font la guerre entre elles,
- ou encore se saisissent de l'objectif de dominer toutes les autres catégories en projettant de les plier à leurs valeurs, croyances, idéologies et modes de vie par la contrainte et par la violence.
Ça peut effectivement nous aider à franchir ce pas difficile à condition de réaliser qu'il s'agit d'opportunités dont il faut parvenir à tirer le meilleur profit.Dash a écrit : 14 avr. 2020, 05:26Pour moi, le plus probable qui est susceptible de « rassembler » une certaine majorité dans un objectif commun, ce sont des catastrophes, désastres et cataclysmes d'envergure planétaire, où tous les pays et nations sont touchés simultanément, comme avec le présent COVID19
Penser que de tels évènements sont des opportunités à saisir pour tâcher d'éviter le pire, et en plus agir à son niveau individuel (comme tu le signales) là où on pense pouvoir apporter quelque chose dans une direction que l'on croit bénéfique, c'est déjà un premier pas très constructif. La peur de se tromper ou de faire des erreurs ne doit pas pour autant nous paralyser. Elle doit juste nous pousser à faire de "petites et moyennes choses" avec soin.Dash a écrit : 14 avr. 2020, 05:26Je n'arrive pas à entrevoir une autre possibilité avec le si peu de temps requis.
Cette approche ne relève donc pas d'un pessimisme passif, mais d'un réalisme actif (teinté de pessimisme, mais seulement légèrement, si bien qu'il n'est pas nuisible). De tels premiers pas, dans les hypothèses envisagées comme dans la mise en œuvre concrète des petites actions qui en découlent, sont très positifs. Ils sont très loin d'être négligeables (cf. la légende du colibri).
Les dommages causés à notre planète et à notre société seront d'autant moins graves que la masse critique de telles attitudes, engendrant une réaction en chaîne (espérons le positive), sera atteinte plus tôt.
Re: Collapsosophie, solastalgie... faire face aux changements d'environnement global
Je ne connaissais pas. L’on pourrait faire un parallèle (un peu moins « jolie et constructif ») avec la loto : bien que les chances de remporter le gros lot sont extrêmement minces, même en jouant toute sa vie, elles demeurent tout de même plus élevées que si l’on ne participe pas du tout!ABC a écrit : 16 avr. 2020, 08:47Ils sont très loin d'être négligeables (cf. la légende du colibri).
La légende du colibri et jouer à la loterie ont quelque chose en commun en ce sens qu’ils impliquent tous les deux d’agir même si l’on sait les chances extrêmement minces d’aboutir au résultat escompté.
Et ce qui est paradoxal, c’est que dans certains cas (comme jouer à la loto, P. Ex., entre autres), l’humain peut quand même « participer » malgré des probabilités infimes d’obtenir ce qu’il veut alors que dans d’autres cas il se servira de cette même probabilité (très mince) pour se justifier de ne rien faire!
Qu’est-ce qui diffère pour l’un et l’autre? L’appât du gain! Le rêve!
Et c’est le problème avec l’environnement (contrairement à la loto), car très peu de gens y voient un intérêt personnel suffisant pour « participer » malgré les faibles probabilités de remporter le « gros lot », d’autant plus quand le « gain » ne consiste qu’à conserver ce qu'ils possèdent déjà et que les « gagnants » ne seront pas eux, mais la prochaine génération, les « autres ». De plus, les efforts à fournir pour participer sont plus conséquents que le simple achat d’un billet de loto.
Autrement dit, effectuer des efforts — répétés sur le long terme — quand l’objectif à atteindre ne nous concerne pas personnellement n’est pas une propension humaine « naturelle » et/ou très répandue. Et c’est pourquoi, pour ceux qui n’agissent pas par principe/éthique (comme moi, toi et le colibri!


Penser savoir est une chose, savoir penser en est une autre !
Re: Collapsosophie, solastalgie... faire face aux changements d'environnement global
ABC a écrit : 16 avr. 2020, 08:47Ils sont très loin d'être négligeables (cf. la légende du colibri).
Pour le loto, cette faible probabilité est facile à démontrer (et elle devient encore beaucoup, beaucoup plus faible si on ne joue pas).Dash a écrit : 17 avr. 2020, 04:42La légende du colibri et jouer à la loterie ont quelque chose en commun en ce sens qu’ils impliquent tous les deux d’agir même si l’on sait les chances extrêmement minces d’aboutir au résultat escompté.
Pour ce qui est de la faiblesse supposée de la probabilité de parvenir à résoudre nos problèmes écologiques et climatiques en nous en donnant les moyens, c'est une hypothèse qui, à mon avis, est du ressort de la croyance...
...tout comme l'hypothèse opposée selon laquelle cette probabilité serait au contraire moyenne à élevée.
Parier sur les comportements humains est possible. Les prévoir de façon fiable ne l'est pas du tout. Trop de petits et très nombreux paramètres influent fortement sur ce type d'évolution.
Par contre, cette croyance elle-même a un impact, à mon avis crucial, sur notre probabilité de réussir (quelle que soit le niveau actuel réel ou supposé de notre probabilité de réussir).
Ils sont fous ces Égyptiens et leur pyramides ! Ces Romains, leurs viaducs et et leurs via Romana ! Ces scientifiques et leurs recherches ! Bref, ces humains...Dash a écrit : 17 avr. 2020, 04:42Autrement dit, effectuer des efforts — répétés sur le long terme — quand l’objectif à atteindre ne nous concerne pas personnellement n’est pas une propension humaine « naturelle » et/ou très répandue.
...Sommes nous assez fous pour être enfin raisonnables ? Pas sûr, mais y croire ou ne pas y croire n'est pas sans conséquence sur la probabilité que nous en trouvions la volonté. Il ne manque, à mon avis, pas grand chose pour que le processus se développe avec un rythme suffisant. A mon avis ce processus est déjà en marche.
S'il fallait avoir un doute, je l'aurais plutôt sur le rythme, actuellement trop lent pour l'instant, auquel nous avançons dans la prise de conscience de nos problèmes globaux, dans la prise de conscience de leurs causes réelles (et non pas seulement dans les seules causes, parfois en partie justes d'ailleurs, auxquelles nous avons a envie de croire) puis dans l'action qui doit en résulter.
Divers mouvements d'opinion en cours (très faibles il y a seulement 30 ou 40 ans) et initiatives modestes manifestent clairement un début de prise de conscience des enjeux qui sont les désormais les nôtres et donnent lieu à des initiatives modestes mais allant dans le bon sens.
Ces mouvements d'opinion et initiatives modestes impactent les discours politiques. Le fait que ces discours ne soient pas systématiquement sincères n'élimine pas le fait que ces discours soient devenus politiquement rentables quand l'opinion est devenue sensible à un sujet donné.
L'action ne suit pas toujours, c'est vrai, mais les blocages sont nombreux dans nos sociétés (et pas seulement peu nombreux et puissants comme nous avons parfois envie de le croire). L'origine de ces blocages est, à mon avis,
- pour 50% dans nos doutes quant à la possibilité de de réussir,
- pour 50% dans notre difficulté à trouver une motivation et un plaisir à agir dans ce sens (plaisir source de motivation).
Re: Collapsosophie, solastalgie... faire face aux changements d'environnement global
Salut! Je rapprocherait plutôt l’allégorie du colibri de la maxime de Confucius sur le déplacement des montagnes.

Re: Collapsosophie, solastalgie... faire face aux changements d'environnement global
Oui, mais, le contexte était totalement, mais totalement différent. À cette époque, quand t’étais pauvre et que « le roi » t’obligeait et/ou te donnait à bouffer pour « participer » à construire « son temple », ben que pouvais-tu faire d’autre dans la vie? Y avait-il vraiment une alternative?ABC a écrit : 19 avr. 2020, 13:12 Ils sont fous ces Égyptiens et leur pyramides ! Ces Romains, leurs viaducs et et leurs via Romana ! Ces scientifiques et leurs recherches !

Idem pour le reste, ce sont tous des « emplois » en ce sens qu’ils permettent de se nourrir. Combien de « bâtisseurs» et/ou de scientifiques auraient fait ce qu’ils ont fait s’ils avaient dû le faire « gratuitement » dans leur temps libre au travers leurs emplois et autres occupations?
Je l’avais déjà partagé, l’entreprise dans laquelle je bosse a finalement installé un brûleur d’émanation, au coût d’un million cinq... ...parce la loi l’a finalement contrainte. Jamais elle n’aurait accepté de payer cette somme sans y être obligée. Et au niveau très personnel, ben la majeure partie de la population (ici, au QC) utilise les bacs verts de recyclage (carton, verre, métal, etc.) quand ces derniers sont mis en place par la municipalité. Ensuite, mis à part être attentifs à notre consommation d’eau et d’électricité et préférer les transport en commun, que pouvons-nous faire de plus, en tant que simples citoyens?
Voilà! C’est bien la seule autre chose que nous pouvons faire : mettre la pression sur les gouvernements. Tu as raison sur ce point et j'suis d’accord. Par contre j’ai l’impression que l’on a atteint un plateau à ce sujet depuis quelques années. Le sujet est d’actualité et il y a toujours un segment « vert/environnement/climat » lors des débats/campagnes politiques.ABC a écrit : 19 avr. 2020, 13:12Ces mouvements d’opinion et initiatives modestes impactent les discours politiques. Le fait que ces discours ne soient pas systématiquement sincères n’élimine pas le fait que ces discours soient devenus politiquement rentables quand l’opinion est devenue sensible à un sujet donné.
Sauf qu’il n’y a pas que ce sujet qui fait partie de la vie, malheureusement. Il y a plusieurs autres problématiques, comme l'économie, les inégalités sociales, la pauvreté, le système de santé publique, les CHSLD, etc., entre autres, et si les gens qui ne sont pas concernés n’en sont jamais venus à faire plus qu’être empathique, c’est-à-dire qu’ils ne vont pas jusqu’à sortir dans la rue pour manifester, pour ces sujets (plus manifestes et près de leur réalité que les « futurs problèmes environnementaux »), j’ai du mal à concevoir comment ils pourraient « manifester » plus concrètement et fortement, concernant l’environnement, que ce qu’ils font déjà.
Je sais pas. Pour certains trucs, oui, mais pour d’autres c’est aussi simplement une question d’intérêts. Il y a déjà, pas dans un éventuel proche futur, mais ici et maintenant, des gens qui crèvent de faim, qui sont sans abris, qui sont mal traités dans des centres pour personnes âgées, etc., et les gens ne font rien à moins d’être touché de près (un proche) par la situation.ABC a écrit : 19 avr. 2020, 13:12L’origine de ces blocages est, à mon avis,
- pour 50% dans nos doutes quant à la possibilité de de réussir,
- pour 50% dans notre difficulté à trouver une motivation et un plaisir à agir dans ce sens (plaisir source de motivation).
La présente crise du COVID19 a, par exemple, fait prendre conscience à tous (en tout cas ici au QC) à quel point les CHSLD étaient (leurs employés) sous-payés. Après la crise, lors des débats/campagnes politiques, je veux bien que plusieurs soient « empathiques » à la situation des aînées/employés des CHSLD, mais face à tous les autres problèmes et promesses, combien, parmi ceux qui ne sont pas touchés de près, vont réellement voter pour le parti qui promettra plus pour les aînées VS des baisses d’impôts et autres trucs qui les touchent de plus près (selon la situation de chacun)?
Tout ça pour dire que j’ai du mal à concevoir que l’ensemble des gens puisse placer l’environnement avant tous ces autres sujets (quand c’est le temps de voter et/ou de manifester concrètement). Sur le principe, presque tout le monde est d’accord concernant la nécessité d’agir pour l’environnement, mais ce que je veux dire, c’est en rapport avec la « pression supplémentaire » nécessaire et dont tu suggères.
Le simple citoyen, comme moi, qui utilise déjà le bac vert, qui fait déjà attention à sa consommation d’électricité, qui utilise les transports en commun, que doit-il faire de plus, concrètement, selon toi?
Je dois faire un post FB et dire « l’environnement, c’est important, partagez » ? Aux prochaines élections, malgré que je trouve irréaliste le plan économique du parti QS, je dois tout de même voter pour ce dernier étant donné qu’ils sont les plus préoccupés par la question environnementale que les autres parties? Au détriment des autres aspects?

C’est l’action concrète à effectuer que je n’arrive pas à cibler dans « ta vision ». Tu me donnes l’impression d’espérer/suggérer une espèce de « phénomène de conscientisation/mouvement national/planétaire», sauf que cela a déjà été réalisé avec Greta Thunberg, et bien que plusieurs ont soutenus et participés, la pression n’a pas été suffisante pour tout changé* dans les « hautes instances » financières et gouvernementales.
* très concrètement, est-ce que ça a seulement modifié quelque chose? Mis à part inciter les divers partis politiques à inclure « l’environnement est un sujet important pour nous » dans leur discours? Oui, ça a conscientisé des gens, dont plusieurs jeunes, entre autres, mais « conscientiser » n’est pas synonyme d’action concrète pour autant.
Je répète, perso, je fais ce que j'ai à faire : j'utilise les bacs verts, je fais attention à mes consommations, j'utilise les transports en commun, j'ai aussi encouragé et discuté avec 2 ados d'une amie qui ont participé à la marche de Greta (hors forum, je ne joue pas au rabat-joie
, surtout avec les jeunes, pour les raisons que tu partages

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Re: Collapsosophie, solastalgie... faire face aux changements d'environnement global
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Re: Collapsosophie, solastalgie... faire face aux changements d'environnement global
<<Voilà! C’est bien la seule autre chose que nous pouvons faire : mettre la pression sur les gouvernements.>>
y a pas un souci avec cette phrase

y a pas un souci avec cette phrase


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Re: Collapsosophie, solastalgie... faire face aux changements d'environnement global
Le Québec à la fête. Un modèle d'agriculture sans tracteur, bio-intensive.
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Re: Collapsosophie, solastalgie... faire face aux changements d'environnement global
Du grand délireLePsychoSophe a écrit : 20 avr. 2020, 16:25 Le Québec à la fête. Un modèle d'agriculture sans tracteur, bio-intensive.

Suivant la vidéo : 1 hectare, nourrit 200 personnes : c'est tout simplement impossible. (voir cette discussion). Aujourd'hui, une ferme performante en polyculture nourri 10 personnes à l'hectare.
Après, il entend peut-être qu'il fourni des légumes à 200 personnes, ce qui n'est pas du tout la même chose.
Ensuite, CA de 100 000$, ça veut dire qu'il produit 10 tonnes à l'hectare (ce qui est beaucoup en maraîchage) à 10$ le kilo (ce qui est très cher pour de la carotte ou du choux).
Ensuite 4 employés , si on enlève les charges (achats, matériels, investissements, frais, charges...), ils doivent être payé à 500$ / mois grand maxi pour obtenir un résultat proche de zéro.
Sinon l'idée d'avoir de plus petites ferme et de travailler sans énergies fossiles est une bonne idée de principe (surtout si on oublie les chiffres) . Mais la plupart des
Thunderbolt and lightning very, very frightening me (Galileo)
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Re: Collapsosophie, solastalgie... faire face aux changements d'environnement global
https://www.lefigaro.fr/flash-eco/augme ... n-20200421
«Augmenter les impôts, ce n'est pas notre choix», affirme Gérald Darmanin
Encore un qui s'est trouvé une absence de libre-arbitre...
Il préfère l'endettement à la faillite.
Le système doit faillir, il a des failles, il faut l'accepter.
L'écosystème va nous tuer donc il vaut mieux revoir nos priorités.
«Augmenter les impôts, ce n'est pas notre choix», affirme Gérald Darmanin
Encore un qui s'est trouvé une absence de libre-arbitre...

Il préfère l'endettement à la faillite.
Le système doit faillir, il a des failles, il faut l'accepter.
L'écosystème va nous tuer donc il vaut mieux revoir nos priorités.
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Re: Collapsosophie, solastalgie... faire face aux changements d'environnement global
Dash dit :
Réduire considérablement sa consommation de produit d'origine animale.
Essayer de consommer local le plus possible/circuit court, sans trop d'emballage, éviter les légumes qui poussent sous serres chauffées.
Essayer de pas engendrer beaucoup d''enfant (quand on a le choix).
Réduire sa consommation confort (gadget etc).
Eviter de faire de manière fréquente du tourisme à l'autre bout de la terre.
Préférer les réparations et l'occasion, au fait de jeter et acheter du neuf, préférer la décroissance à la croissance.
Essayer de réduire au maximum son impact carbone à échelle individuelle.Ensuite, mis à part être attentifs à notre consommation d’eau et d’électricité et préférer les transport en commun, que pouvons-nous faire de plus, en tant que simples citoyens?
Réduire considérablement sa consommation de produit d'origine animale.
Essayer de consommer local le plus possible/circuit court, sans trop d'emballage, éviter les légumes qui poussent sous serres chauffées.
Essayer de pas engendrer beaucoup d''enfant (quand on a le choix).
Réduire sa consommation confort (gadget etc).
Eviter de faire de manière fréquente du tourisme à l'autre bout de la terre.
Préférer les réparations et l'occasion, au fait de jeter et acheter du neuf, préférer la décroissance à la croissance.
Re: Collapsosophie, solastalgie... faire face aux changements d'environnement global
Le problème de tout ce fil de discutions qui ce veut au combien bienveillant est qu’il est purement basé sur idéologie devenu l’alpha et l’oméga de la Vérité moderne; le malthusianisme écologique. Rappelons que ce beau modèle de société qui veux que l’humanité existe le moin possible n’est applicable qu’avec des mesures extrêmement autoritaires.
Or si on remet en question la base idéologique du discoure tout s’effondre, car ont parle bien ici d’une structure idéologique arbitraire et non d’une sorte de vérité révélé par la science…
Écologie politique = idéologie
Pour résumé; l’écologie est passer du domaine de la science(etude des écosystèmes sans l’homme) a la philosophie et est maintenant pour tout les ÉCOLOGISTE une sorte de Vérité sur la nature (métaphysique). Le nous vivons-dans-un-monde-finitisme. La biodiversité et l’équilibre seraient le BUT du vivant.
Cela est normal puisque l’atome de ce résonnement, ses plus petites briques, sont les espèces. Car vu sous le prisme de l’évolution darwinienne (avec la vision libérale d’individu) Ce sont les espèce qui sont la Nature, et la biodiversité y est vu comme une panacéeS; comme le BUT de la vie. Vu sous cette angle l’espece humaine est obligatoirement perçu comme une espèce nuisible; elle n’a pas d’écosystème, mais une technosphère évolutive qui c e perfectionne et s’adapte a tout les écosystèmes.
Mais c’est arbitraire de juger l’espèce humaine ainsi puisque la seul science qui l’appuis est l’écologie (l’étude des écosystème sans l’homme). Il y a quelques choses d’absurde dans tout ce résonnement car normalement la science ne juge pas; elle analyse.
Ne pas croire que l’humain est naturel, que notre civilisation n’est pas un pure fruit déterministe de la biosphère est une façon sophistiquer de croire a un libre-arbitre extrême de l’humanité qui par péché serais sortie des lois de la nature… pour faire contre-nature techno scientifique et blessé la terre…
La chute de la biodiversité, le réchauffement climatique et l’acidification des océans n’arrètera pas le progrès de la biosphère incarné dans la technosphère surtout si cette dernière maitrise la fusion nucléaire.
La biosphère sera parvenu a crée ses propres soleils.
Selon moi notre espèce n’est que le maillon d’une longue chaine mais elle tien pour un temps la noosphere, la civilisation industriel est l’organe le plus moderne de notre planête, une tentative créative pour la vie de continuer son aventure au delà des frontière de cette planète et peut-être même a la mort de notre étoile.
On doit remplacer l’écologisme par le biospherisme si on veut avoir le début d’optimisme culturel collectif apte a bâtir l’avenir.
Or si on remet en question la base idéologique du discoure tout s’effondre, car ont parle bien ici d’une structure idéologique arbitraire et non d’une sorte de vérité révélé par la science…
Écologie politique = idéologie
Pour résumé; l’écologie est passer du domaine de la science(etude des écosystèmes sans l’homme) a la philosophie et est maintenant pour tout les ÉCOLOGISTE une sorte de Vérité sur la nature (métaphysique). Le nous vivons-dans-un-monde-finitisme. La biodiversité et l’équilibre seraient le BUT du vivant.
Cela est normal puisque l’atome de ce résonnement, ses plus petites briques, sont les espèces. Car vu sous le prisme de l’évolution darwinienne (avec la vision libérale d’individu) Ce sont les espèce qui sont la Nature, et la biodiversité y est vu comme une panacéeS; comme le BUT de la vie. Vu sous cette angle l’espece humaine est obligatoirement perçu comme une espèce nuisible; elle n’a pas d’écosystème, mais une technosphère évolutive qui c e perfectionne et s’adapte a tout les écosystèmes.
Mais c’est arbitraire de juger l’espèce humaine ainsi puisque la seul science qui l’appuis est l’écologie (l’étude des écosystème sans l’homme). Il y a quelques choses d’absurde dans tout ce résonnement car normalement la science ne juge pas; elle analyse.
Ne pas croire que l’humain est naturel, que notre civilisation n’est pas un pure fruit déterministe de la biosphère est une façon sophistiquer de croire a un libre-arbitre extrême de l’humanité qui par péché serais sortie des lois de la nature… pour faire contre-nature techno scientifique et blessé la terre…
La chute de la biodiversité, le réchauffement climatique et l’acidification des océans n’arrètera pas le progrès de la biosphère incarné dans la technosphère surtout si cette dernière maitrise la fusion nucléaire.
La biosphère sera parvenu a crée ses propres soleils.
Selon moi notre espèce n’est que le maillon d’une longue chaine mais elle tien pour un temps la noosphere, la civilisation industriel est l’organe le plus moderne de notre planête, une tentative créative pour la vie de continuer son aventure au delà des frontière de cette planète et peut-être même a la mort de notre étoile.
On doit remplacer l’écologisme par le biospherisme si on veut avoir le début d’optimisme culturel collectif apte a bâtir l’avenir.
Re: Collapsosophie, solastalgie... faire face aux changements d'environnement global
Oui, mais pour moi c'était implicite! J'allais quand-même pas tout énumérer les petites actions qui contribuent.
@Godfax
Naturellement, toute cette problématique n'est que relative à l'humain, à notre confort, à notre possible souffrance, etc. Pour le reste, dans l'absolue, ça ne changera pas grand-chose à l'échelle de l'univers qu'on s'en sorte ou non. Quand bien même on ferait tout péter avec le nucléaire ou whatever, dans quelques milliers/millions d'années, la vie, la nature reprendra son cours.
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Re: Collapsosophie, solastalgie... faire face aux changements d'environnement global
Sauf que sans la nature (la biosphère) l'humanité meurent (enfin sauf si tu apellent vivre sous des bunker sous terre vivre). et préserver la nature est important parce que c'est elle qui regule le carbone et l'oxygène. et que une vie avec uniquement une nature utilitariste est non seulement extremement dangeureux (plus la nature est varié plus elle est resistante).Godfax a écrit : 21 avr. 2020, 22:59 Le problème de tout ce fil de discutions qui ce veut au combien bienveillant est qu’il est purement basé sur idéologie devenu l’alpha et l’oméga de la Vérité moderne; le malthusianisme écologique. Rappelons que ce beau modèle de société qui veux que l’humanité existe le moin possible n’est applicable qu’avec des mesures extrêmement autoritaires.
Or si on remet en question la base idéologique du discoure tout s’effondre, car ont parle bien ici d’une structure idéologique arbitraire et non d’une sorte de vérité révélé par la science…
Écologie politique = idéologie
Pour résumé; l’écologie est passer du domaine de la science(etude des écosystèmes sans l’homme) a la philosophie et est maintenant pour tout les ÉCOLOGISTE une sorte de Vérité sur la nature (métaphysique). Le nous vivons-dans-un-monde-finitisme. La biodiversité et l’équilibre seraient le BUT du vivant.
Cela est normal puisque l’atome de ce résonnement, ses plus petites briques, sont les espèces. Car vu sous le prisme de l’évolution darwinienne (avec la vision libérale d’individu) Ce sont les espèce qui sont la Nature, et la biodiversité y est vu comme une panacéeS; comme le BUT de la vie. Vu sous cette angle l’espece humaine est obligatoirement perçu comme une espèce nuisible; elle n’a pas d’écosystème, mais une technosphère évolutive qui c e perfectionne et s’adapte a tout les écosystèmes.
Mais c’est arbitraire de juger l’espèce humaine ainsi puisque la seul science qui l’appuis est l’écologie (l’étude des écosystème sans l’homme). Il y a quelques choses d’absurde dans tout ce résonnement car normalement la science ne juge pas; elle analyse.
Ne pas croire que l’humain est naturel, que notre civilisation n’est pas un pure fruit déterministe de la biosphère est une façon sophistiquer de croire a un libre-arbitre extrême de l’humanité qui par péché serais sortie des lois de la nature… pour faire contre-nature techno scientifique et blessé la terre…
La chute de la biodiversité, le réchauffement climatique et l’acidification des océans n’arrètera pas le progrès de la biosphère incarné dans la technosphère surtout si cette dernière maitrise la fusion nucléaire.
La biosphère sera parvenu a crée ses propres soleils.
Selon moi notre espèce n’est que le maillon d’une longue chaine mais elle tien pour un temps la noosphere, la civilisation industriel est l’organe le plus moderne de notre planête, une tentative créative pour la vie de continuer son aventure au delà des frontière de cette planète et peut-être même a la mort de notre étoile.
On doit remplacer l’écologisme par le biospherisme si on veut avoir le début d’optimisme culturel collectif apte a bâtir l’avenir.
et me sort pas du trans/post-humanisme a base de "on s'en fous d'avoir besoin de la nature si on est transfère notre corps dans des machines" parce que c'est débile.
bref l'ecologie C'EST important. parce que sans un ecosystème globale en bonne santé. on ne peut pas continuer a vivre parce que on en est dépendant
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Re: Collapsosophie, solastalgie... faire face aux changements d'environnement global
"La biodiversité et l’équilibre seraient le BUT du vivant.". non mon chère. la biodiversité et surtout. SURTOUT. L'équilibre c'est bien le but du vivant. parce que sans équilibre tout s'effrondre. c'est important d'avoir une biosphère en equilibre et en bonne santé sinon on meurent aussi. et comme une vie sans nature est une vie au combiens triste (n'est ce pas messieur les transhumaniste). et bah la protéction de l'environement est une néscécité pour la survie de notre éspèce !!! parce que si tu vie que dans le prisme de "l'huamanité fait c'quelle veut". bah ça va pas marcher très longtemps.jeunehomme a écrit : 25 avr. 2020, 19:32Sauf que sans la nature (la biosphère) l'humanité meurent (enfin sauf si tu apellent vivre sous des bunker sous terre vivre). et préserver la nature est important parce que c'est elle qui regule le carbone et l'oxygène. et que une vie avec uniquement une nature utilitariste est non seulement extremement dangeureux (plus la nature est varié plus elle est resistante).Godfax a écrit : 21 avr. 2020, 22:59 Le problème de tout ce fil de discutions qui ce veut au combien bienveillant est qu’il est purement basé sur idéologie devenu l’alpha et l’oméga de la Vérité moderne; le malthusianisme écologique. Rappelons que ce beau modèle de société qui veux que l’humanité existe le moin possible n’est applicable qu’avec des mesures extrêmement autoritaires.
Or si on remet en question la base idéologique du discoure tout s’effondre, car ont parle bien ici d’une structure idéologique arbitraire et non d’une sorte de vérité révélé par la science…
Écologie politique = idéologie
Pour résumé; l’écologie est passer du domaine de la science(etude des écosystèmes sans l’homme) a la philosophie et est maintenant pour tout les ÉCOLOGISTE une sorte de Vérité sur la nature (métaphysique). Le nous vivons-dans-un-monde-finitisme. La biodiversité et l’équilibre seraient le BUT du vivant.
Cela est normal puisque l’atome de ce résonnement, ses plus petites briques, sont les espèces. Car vu sous le prisme de l’évolution darwinienne (avec la vision libérale d’individu) Ce sont les espèce qui sont la Nature, et la biodiversité y est vu comme une panacéeS; comme le BUT de la vie. Vu sous cette angle l’espece humaine est obligatoirement perçu comme une espèce nuisible; elle n’a pas d’écosystème, mais une technosphère évolutive qui c e perfectionne et s’adapte a tout les écosystèmes.
Mais c’est arbitraire de juger l’espèce humaine ainsi puisque la seul science qui l’appuis est l’écologie (l’étude des écosystème sans l’homme). Il y a quelques choses d’absurde dans tout ce résonnement car normalement la science ne juge pas; elle analyse.
Ne pas croire que l’humain est naturel, que notre civilisation n’est pas un pure fruit déterministe de la biosphère est une façon sophistiquer de croire a un libre-arbitre extrême de l’humanité qui par péché serais sortie des lois de la nature… pour faire contre-nature techno scientifique et blessé la terre…
La chute de la biodiversité, le réchauffement climatique et l’acidification des océans n’arrètera pas le progrès de la biosphère incarné dans la technosphère surtout si cette dernière maitrise la fusion nucléaire.
La biosphère sera parvenu a crée ses propres soleils.
Selon moi notre espèce n’est que le maillon d’une longue chaine mais elle tien pour un temps la noosphere, la civilisation industriel est l’organe le plus moderne de notre planête, une tentative créative pour la vie de continuer son aventure au delà des frontière de cette planète et peut-être même a la mort de notre étoile.
On doit remplacer l’écologisme par le biospherisme si on veut avoir le début d’optimisme culturel collectif apte a bâtir l’avenir.
et me sort pas du trans/post-humanisme a base de "on s'en fous d'avoir besoin de la nature si on est transfère notre corps dans des machines" parce que c'est débile.
bref l'ecologie C'EST important. parce que sans un ecosystème globale en bonne santé. on ne peut pas continuer a vivre parce que on en est dépendant
(Attention moments philosophie)
Pour moi c'est ça le vrai but de la vie (la vie d'humain) : Aucunes éspèce animal n'a conscience de son impacte a l'echelle global (sauf nous). donc en fait chaque éspèce a un seul but : se reproduire un maximum même si la population dépassent les ressources disponible (c'est comme ça que les ecosystème s'auto-régule). Hors l'humanité, qui restent constituté d'animaux. a la capacité incroyable de pouvoir juguler les éspèce et permettrent a tout les ecosystème. et donc a la vie, de s'épanouir en évitant les problèmes de surpopulation qui apporte a chaque fois des soucis au ecosystème. et grace a notre intélligence on peut ammener la vie sur d'autre planète et donc accomplir sont but ultime : se répandre dans l'univers.
Et donc juste un petit rapelle. l'humanité EST dépendant de la biosphère pour vivre. c'est elle qui absorbe le CO2 et nos cochonerie. et qui fabrique de l'O2. et donc face a cette situation. 3 solution s'offre a nous
-1 : l'option nique la nature humanité first : "on s'en fiche de la nature. si on est arriver au sommets de la chaine de l'evolution c'est la nature qui l'a dit. donc on peut faire ce qu'on veut." donc on se répends partout sans regarder l'ecologie et on finit par tous crever de faim et de chaud sur un cailloux stérile : "mauvaise fin"
-2 : l'option "utilitaire" : d'accord donc on doit conserver de la nature pour notre survie. donc on rasent toutes les forets vierge parce que qui en quelque chose a foutre des bonobo ou des koala. et on plante des champs partout et on laisse pile ce qu'il faut pour absorber le carbone.
alors cette position est deja un peu plus dur a objecter parce que d'un point de vue PUREMENT "utilitaire". et bah ça peut marcher. hors c'est pas parce que ça marche que c'est une bonne idée : deja les animaux sauvages et les insectes tousa tousa, en général on a plein de chose d'apprendre en les observant. car après c'est de la nature que vient les ver a soie, les toile d'araigné qui sont plus dure que des fils en acier tousa tousa.
donc se débraser d'eux parce que il ont aucun interet est juste idiot. ensuite si on se débarasse de la nature sauvage pour tout cultiver, tout éxploiter en uniformisant les paysage. bah tu t'expose au maladie des plantes et des animaux d'élevage qui peuvent tous ravager en très peu de temps.
Et d'un point de vu beaucoup plus subjectif. Un monde sans animaux sauvage. que de l'élevage ou des champs. ça serait INFINIMENENT triste et monotone. et laissez de la vie sauvage permetrais a la vie de réaparaitre si jamais on disparait.
en fait. en plus des arguments matérielle que j'ai donner en haut (la divérsité biologique C'EST important. et en plus ça crée des bouclier naturelle contre les maladies d'agriculture a l'echelle totale) on peut aussi faire un parallèle avec ... les cheuveux par exemple : les cheveux c'est inutile. les sourciles encore. ça permet de voir les expression du visage de l'autre. Mais les cheuveux. c'est inutile. et en plus il peuvent avoir des poux chez les jeunes et c'es un enfer. il faut les laver avec du shampooing donc ça coute chère. alors que si toute l'humanité se fesait une boule a zero. on aurais plus besoin de shampooing ni rien. mais on est d'accord. ça serait quand même vachement plus triste un monde sans cheuveux. bah les animaux sauvages c'est pareille (sauf qu'en plus eux on une VRAI utilité empirique).
et donc on a l'option -3: L'option de la raison et de l'humilité :
on regulent un peu notre population et beaucoup notre consomation pour maintenir la biosphère en bonne santé ET DIEU SAIT QUELLE NOUS LE RENDS BIEN. en dépoluant. protégant nos culture. pompant le CO2 et produisant notre vitale O2. et une fois que l'humanité sera Ecologiquement neutre. la on poura visez les étoiles et acomplir le but final de la vie "vers l'infinie et au dela". Alors bien sur qu'on ne peut pas vivre sans endomager un peu la biosphère. pour construire une maison faut couper des abres. mais faut juste trouver le juste millieux.
Alors en effet je supose qu'il y'a plein d'autre argument a garder de la vie sauvage un peu partout et pas transformer le monde en champs géant auqelle j'ai pas penser mais je suis persuader que les gens ici en auront bien quelque autres.
donc pour conclure : proteger la nature parce que elle nous le rends bien et c''est vachement cool quand même les koala. faites l'amour pas la guerre. et si on respècte la nature. on poura un jour aller s'installer sur la lune, mars et au dela.
-Jeune Homme
PS: Ah et ... le transhumanisme c'est de la merde. Bisous
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Re: Collapsosophie, solastalgie... faire face aux changements d'environnement global
Michael Moore met en ligne gratuitement un docu sur la crise écologique
Je l'ai vu et je me dis qu'on devra revenir en arrière dans notre "confort", soit naturellement soit par nous même.
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"ἕν οἶδα ὅτι οὐδὲν οἶδα" Σωκράτης
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Re: Collapsosophie, solastalgie... faire face aux changements d'environnement global
Ta naïveté ?Spartacus a écrit : 15 avr. 2020, 08:23
Vous me le dites si y a des choses que vous ne comprenez pas ?!
Parce que imaginer que Macron est le problème des changements d'environnement global et que Lepen (quelque soit le membre de la famille...) est la solution mondiale (ou une solution tout court...), faut avoir un regard sur la politique niveau maternelle.
Et la marmotte, elle met le chocolat dans le papier d'alu.
Avant, j'étais indécis, maintenant je n'en suis plus très sûr...
Les marmottes qui pissent au lit passent un sale hiver (Philippe Vuillemin)
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Re: Collapsosophie, solastalgie... faire face aux changements d'environnement global
hooooo !!!...un macroniste !!!!MaisBienSur a écrit : 27 avr. 2020, 11:28Ta naïveté ?Spartacus a écrit : 15 avr. 2020, 08:23
Vous me le dites si y a des choses que vous ne comprenez pas ?!
Parce que imaginer que Macron est le problème des changements d'environnement global et que Lepen (quelque soit le membre de la famille...) est la solution mondiale (ou une solution tout court...), faut avoir un regard sur la politique niveau maternelle.
Re: Collapsosophie, solastalgie... faire face aux changements d'environnement global
Hooo !!! ...un facho !

Русский военный корабль, иди нахуй !


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Re: Collapsosophie, solastalgie... faire face aux changements d'environnement global
Je ne suis pas macroniste, mais je préfère ça que le premier mot qui me vient à l'esprit pour te qualifier...


Et la marmotte, elle met le chocolat dans le papier d'alu.
Avant, j'étais indécis, maintenant je n'en suis plus très sûr...
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