La rhétorique de la preuve n'est pas une rhétorique. C'est un "problème" posé par la "raison" et la notion de véracité.jroche a écrit : 12 juin 2020, 22:10Faut-il voir ce qui est hors du commun. L'existence par elle-même est ou serait très facile à expliquer, plus même que la non-existence (une seule espèce dans un genre voire une sous-famille, c'est plutôt l'exception dans le monde animal). C'est l'incognito persistant qui est ou serait vraiment hors du commun. Je prétends m'y intéresser et je ne force personne à me suivre.Nicolas78 a écrit : 12 juin 2020, 21:48 Une multitudes de cours d’eaux tièdes ne créent pas de lac chaud. Un seul cours chaud le peut.
Une multitude de témoignages ne créer pas de preuves (du moins quand l’assertion est hors du commun), mais une motivation a la trouver.
Après, toujours cette rhétorique de la preuve unique et définitive. J'ai déjà dit ce que j'en pense pour d'autres choses.
Je ne vois pas pourquoi, par exemple, je devrais croire sans preuve...Faire une hypothèse qui n'est pas tranchée oui, mais croire non.
Pour ne pas tomber dans un tel extrême de la "preuve ultime" (qui reste totalement possible cependant...Suffirais de nous présenter un corps avec un test ADN, et ont en parle plus, ca sera accepté, comme ce fut le cas avec d'autres hominidés avant

Comme je l'ai déjà dit, je ne pense pas impossible le fait de pouvoir découvrir une nouvelle espèce dans des régions reculées. Mais j'ai aucune raison d'y croire non-plus. Il n'y a rien de radicale la dedans, ni de définitif. Or mis peut-être que l'humain, a force de se tromper et de mentir (je ne dit pas que tu ment hein, me fait pas dire cela, d'autant plus que je ne le pense pas du tout), a imposer aux autres humains la méfiance, et donc le besoin de valider des croyances par des justifications fortes qui peuvent paraître contrariantes et "limitantes" (qui s'impose des contraintes, qui parfois sont des freins).