Nicolas78 a écrit : 13 août 2020, 13:49
LePsychoSophe a écrit : 12 août 2020, 13:38
Lambert85 a écrit : 12 août 2020, 13:29
Pour vous l'asexualité est une maladie ?
Oui.
La conception de maladie en santé mentale est difficile à saisir pour les non-initiés.
La conception de maladie en santé mentale est difficile a saisir y compris pour les initiés... (c’est pas péjoratif, ni honteux, c’est normal).
Mais je serait ravis de savoir si l’asexualité est considérée comme une maladies par des « psychologues » dans le cas ou elle n’engendre aucune souffrance, carence, désordre mentale et sociale...
Ta des sources ? Si possible non Freudienne ?
Freud est très intéressant, mais tu sais comme tout le monde qu’en matière de sexualité il était dans la probablement dans la projection et certainement dans la généralisation abusive.
Merci pour ta correction juste.
Mais je serait ravis de savoir si l’asexualité est considérée comme une maladies par des « psychologues » dans le cas ou elle n’engendre aucune souffrance, carence, désordre mentale et sociale...
Avant d'analyser, de juger un phénomène, même en expérience de pensées, il faudrait que ce phénomène existe. Et là, un biais méthodo nous emmerde : je ne vois que des gens avec désordre mental, même hors cadre psychiatrique strict.
De l'aveu de mes chefs... nous faisons même parfois ce qu'ils appellent péjorativement (cela n'enlève rien à leur humanisme) de la bobologie... au sens bobo pas bo-bo...
Ecoute si je rentre en DU, je pourrai te dire ce qu'en pensent les psychos car ils auront tous un avis sur la question.
Ceux avec qui je bosse, faudrait que je leur demande... mais pas spécialisés en sexologie.
Je pense que, comme mes collègues sont des POPs (psycho orientation analytique), ils te diront comme moi, la maladie n'a pas vraiment de sens, à part peut-être les cas extrêmes.
J'avais mis une source en début de topic. Une chercheuse de Lyon, qui est mitigée sur la question... C'est relatif.
Si la notion de développement personnel te parle, moi, je lis au travers de ce paradigme que être heureux, doit passer par la sexualité et j'irais même plus loin (mais tu sais comme je m'envole facilement ;-)), je pense même que la sexualité est une voie thérapeutique d'accomplissement de soi.
N'oublie que tu parles à un mec qui a lu/aime la philosophie tantrique. D'où le yoga... ;-) Et qui a fait une montée de kundalini après une avancée sexuelle et psycho-corporelle...
Allez, j'arrête, je vais encore vous choquer.
