Dany a écrit : 21 déc. 2020, 13:33 C'est à peu près le contraire (le bleu est de moi. J'ai changé de couleur, c'est censé être plus joli, plus varié...).
Mais bon, les couleurs se sont mélangées et c'est un peu le bordel. Donc voilà la version simplement en noir, sans ces couleurs à la con:
Relativité, positivisme et réalisme
- LoutredeMer
- Messages : 9097
- Inscription : 30 juil. 2008, 23:34
Re: Relativité, positivisme et réalisme
"Par le saumon qui se meut!.. I want my food!.. Slice me tender"..
Re: Relativité, positivisme et réalisme
entre deux points M" et N" au repos dans E coïncidant avec M' et N' en un même instant t de E (donc en des instants t'M et t'N différents dans E')richard a écrit : 21 déc. 2020, 08:20 On pose le bâton dans l’espace E, sa longueur propre est d(M, N).
On le met ensuite dans l.espace E’, sa longueur propre (identique) y est notée d’(M’, N’).
La longueur d(M’,N’) de (M’,N’) mesurée par un observateur de E
Presque mais d(M", N") pas d(M',N'). la distance d(M',N') n'existe pas car M' et N' ne sont pas des points de E. il faut faire une mesure de distance entre points de E M" et N" coïncidant avec M' et N' en un même instant t de E.
d(M",N")=
richard a écrit : 21 déc. 2020, 08:20k d’(M’,N’), k = (1-v²/c²)^(1/2) étant l’inverse du coefficient de Lorentz.
Oui.
en un même instant t de R ? C'est exact, mais un seul temps t' en un temps t' donné (comme le dirait Lapalisse). On appelle ça la relativité de la simultanéité, un point que l'on aborde dans une première demi-heure d'introduction vulgarisée à la RR.richard a écrit : 21 déc. 2020, 08:31Pourtant le temps t’ de E’ est fonction de la position x des points dans E!,Il y aurait donc plusieurs temps de E’!!
Re: Relativité, positivisme et réalisme
Salut ABC!
1. J’ai écrit
2. J’ai aussi écrit:
Cette fois je n’ai pas scindé mon message, comme ça on ne pourra plus dire que je n’envoie que des messages de quelques lignes.
1. J’ai écrit
Et toi tu précisesrichard a écrit : 21 déc. 2020, 08:20d(M’,N’) = k d’(M’,N’), k étant l’inverse du coefficient de Lorentz.
Tu as raison ABC! Mais ion peut aussi envisager un espace S(M’’) ou S(M’p) muni d’une distance s où M’p serait la perception visuelle de M’ par un observateur de E (M’p serait alors l’équivalent de ton M’’), tel que la longueur perçue s soit fonction de la vitesse relative: s(M’p, N’p) = k d’(M’, N’).ABC a écrit : 21 déc. 2020, 22:45 Presque mais d(M", N") pas d(M',N'). la distance d(M',N') n'existe pas car M' et N' ne sont pas des points de E. il faut faire une mesure de distance entre points de E, M" et N" coïncidant avec M' et N' en un même instant t de E
2. J’ai aussi écrit:
Tu confirmes par un
C’est un point intéressant. En RR on postule qu’un espace est muni d’un temps t. Les temps d’espaces différents (i.e. en mouvement lles uns par rapport aux autres) peuvent donc être différents mais tous les points d’un même espace sont au même temps. On arrive pourtant à « des instants t'M et t'N différents dans E'»oui
J’ai du mal à admettre cette antinomie.entre deux points M" et N" au repos dans E coïncidant avec M' et N' en un même instant t de E (donc en des instants t'M et t'N différents dans E')
Cette fois je n’ai pas scindé mon message, comme ça on ne pourra plus dire que je n’envoie que des messages de quelques lignes.
Re: Relativité, positivisme et réalisme
Ca dépend de quel espace 3D on parle :richard a écrit : 23 déc. 2020, 12:07Les temps d’espaces différents (i.e. en mouvement les uns par rapport aux autres) peuvent donc être différents mais tous les points d’un même espace sont au même temps.
- si cet espace 3D désigne un instant t dans E, t est un espace euclidien 3D formés de "vrais" points (0D). Ces points, sont tous les évènements se produisant à ce même instant t précis (ils sont donc simultanés au sens de la simultanéité propre à E).
. - si cet espace 3D désigne, au contraire, le référentiel inertiel E, c'est là aussi un espace euclidien 3D, mais il est formé de droites (1D) parallèles de type temps. On appelle ces droites les observateurs au repos dans E. Ces droites sont les "points" de l'espace euclidien 3D E. Ces droites couvrent tous les instants (de - infini à + infini). Cet espace Euclidien 3D, le référentiel inertiel E, est un feuilletage 1D (une sorte de botte de foin) remplissant tout l'espace-temps.
entre deux points M" et N" au repos dans E coïncidant avec M' et N' en un même instant t de E (donc en des instants t'M et t'N différents dans E')
Parce que tu nommes par un nom unique des hyperlans 3D de simultanéité différents. Tu dis "coïncidant au même moment" sans préciser au même moment (au même espace euclidien 3D) relatif à quel référentiel inertiel ? Tu crois toujours que ça n'en dépend pas.
Tu as du mal à admettre que la vitesse de la lumière soit finie et sa conséquence : deux évènements eM et eN (des points 0D) se produisant en un même instant t dans E en M" et N" (des "points" 1D coupant l'hyperplan 3D t en eM et EN) ne se produisent pas en un même instant t' dans E' (ces deux évènements appartiennent à deux hyperplans 3D de simultanéité de E' t'M et t'N différents) comme cela t'a été expliqué et démontré à de multiples reprises, schémas à l'appui.
Re: Relativité, positivisme et réalisme
D’après les prémices de la RR.un espace donné a un temps t. Considérons deux espaces E et E’ en mouvement l’un par rapport à l’autre, soit t et t’ leurs temps respectifs alors il existe une application f telle que t’ = f(t).
Re: Relativité, positivisme et réalisme
Pfffff !!!!! t’ = f(t, x)richard a écrit : 23 déc. 2020, 19:25D’après les prémices de la RR. un espace donné a un temps t. Considérons deux espaces E et E’ en mouvement l’un par rapport à l’autre, soit t et t’ leurs temps respectifs alors il existe une application f telle que t’ = f(t).
En RR, les deux espaces euclidiens 3D t et t' (les deux instants t et t') ne sont ni confondus ni parallèles. Ils se coupent selon un plan (2D) perpendiculaire à la vitesse relative v de E' par rapport à E.
t' = - (x/c) sinh(phi) + t cosh(phi) où tanh(phi) = v/c
Re: Relativité, positivisme et réalisme
Ben oui! Il y a bien une antinomie car d’un côté on obtient t’ = f(t) si l’on tient compte de l’hypothèse de la RR (chaque espace est muni d’un temps qui lui est propre) et de l’autre on obtient t’ = f(M,t) en appliquant les équations de la transformations de Lorentz.
Noyeux Joël!
Noyeux Joël!
Re: Relativité, positivisme et réalisme
Entre la RR et la compréhension que tu as de ses notions les plus basiques ? Aucun doute en effet.
Il y a égalité (Dt' = Dt et non Dt' = f(Dt)) des durées propres (modélisant le cas où l'on change l'observateur ET le (ou les) phénomène(s) dont on mesure la durée de référentiel inertiel).richard a écrit : 24 déc. 2020, 15:04d’un côté on obtient t’ = f(t) si l’on tient compte de l’hypothèse de la RR (chaque espace est muni d’un temps qui lui est propre).
C'est à dire quand, au contraire, on change le référentiel inertiel observé (et en observant les phénomènes qui s'y déroulent), mais pas le référentiel inertiel de repos de l'observateur.richard a écrit : 24 déc. 2020, 15:04et de l’autre on obtient t’ = f(M,t) en appliquant les équations de la transformations de Lorentz.
Re: Relativité, positivisme et réalisme
si les durées propres Dt’ de E’ et Dt de E sont les mêmes si Dt’ = Dt, comment expliques-tu la différence d’âge des jumeaux de Langevin. S’est-il trompé?
Bon Noël!
Re: Relativité, positivisme et réalisme
Un bâton de longueur Dx garde une longueur Dx'=Dx quand on l'incline....
...Pourtant, un chemin en ligne brisée, formé de bâtons qui auraient même longueur s'ils n'étaient pas inclinés, a une longueur différente d'un chemin en ligne droite !!!
Une seule explication possible : Euclide s'est trompé !! Et Einstein aussi pour la même raison.
Re: Relativité, positivisme et réalisme
Einstein ne s’est pas trompé. Par contre Lorentz s’est trompé; la transformation qui lie des espaces en mouvement les uns par rapport aux autres est celle de Galilée et pas la sienne. Ça fait plusieurs fois que je te le dis mais tu persistes dans ton erreur. Si tu avais rréfléchi un peu pour répondre correctement à ma question rouge nous n’en serions pas là et nous pourrions aborder les subtilités de la RR (la relativité richardienne
). En fait, Einstein a résolu un faux problème. Et ça c’est très fort, je le reconnais.
Bon bout d’an à tous!
Bon bout d’an à tous!
Re: Relativité, positivisme et réalisme
Je suis ébloui par ta démonstration de l'égalité de longueur d'un chemin en ligne droite et d'un chemin en ligne brisée joignant les mêmes points. La conservation de la longueur propre d'un "bâton" de type temps (subissant une rotation hyperbolique dans l'espace-temps) est, effectivement, un argument imparable.

Comme l'établit l'invariance de la propagation des ondes lumineuses sous l'action des transformations de Galilée, que tu as démontrée mathématiquement avec soin, n'est ce pas ?richard a écrit : 26 déc. 2020, 10:49la transformation qui lie des espaces en mouvement les uns par rapport aux autres est celle de Galilée et pas la sienne.
C'est un peu dur, mais je ne peux pas m'empêcher de la laisser ta remarque. Désolérichard a écrit : 26 déc. 2020, 10:49Ça fait plusieurs fois que je te le dis mais tu persistes dans ton erreur.
Dernière modification par ABC le 26 déc. 2020, 14:52, modifié 1 fois.
Re: Relativité, positivisme et réalisme
Si on place un bâton dans un espace E, il détermine un vecteur MN. Lorsqu’on le met dans un espace E’ il détermine un vecteur M’N’. Tu as dit que ces vecteurs n’étaient pas égaux: M’N’# MN. Pourtant les coordonnées de ces vecteurs sont égales: : x’ = x; y’ = y; z’ = z. Leurs composantes itou: : x’ = x; y’ = y; z’ = z (ça ne se voit pas trop mais les composantes sont en gras).
Comme MN = x + y + z et que M’N’ = x’ + y’ + z’ il est clair que O’M’ = OM.
Comme MN = x + y + z et que M’N’ = x’ + y’ + z’ il est clair que O’M’ = OM.
Re: Relativité, positivisme et réalisme
Les compléments permettant de donner une signification aux parties exploitables de ton message sont rajoutées entre crochets.richard a écrit : 26 déc. 2020, 14:20Si on place un bâton dans un espace [euclidien 3D] E, il détermine un vecteur MN. Lorsqu’on le met [par une transformation isométrique f] dans un espace [euclidien 3D] E’ il détermine un vecteur M’N’. [si l'on pose O' = f(O), on a alors] O’M’ = [f(]OM[)] [et, comme f est supposée être une isométrie, la norme du vecteur OM est égale la norme du vecteur O'M'. De plus, Si l'on choisit une base orthonormée B dans E et la base orthonormée B' = f(B) dans E' alors] Les coordonnées de ces 2 vecteurs sont égales: : x’ = x; y’ = y; z’ = z.
Passons d'isométries dans un espace euclidien 3D aux transformations dans l'espace temps 4D (tu oublies à chaque fois la 4ème dimension, celle du temps, et la relativité de la simultanéité) respectant l'invariance des lois de la physique, c'est à dire les transformations de Lorentz. Ce sont des isométries dans l'espace-temps 4D de Minkowski.
- On considère cette fois un bâton MN au repos dans un référentiel inertiel E (c'est à dire un ensemble de droites parallèles de type temps "remplissant" l'espace-temps). Le référentiel E est muni d'une structure d'espace eucliden 3D. Les "points" M et N de E sont 2 droites parallèles de type temps. On dit de ces droites de type temps M et N que ce sont des points fixes du référentiel inertiel E.
. - On considère un instant t de E (c'est à dire un hyperplan de simultanéité euclidien 3D de E) coupant les "points" M et N en les évènements eM et EN (des vrais points, 0D donc, de l'espace-temps 4D, eux)
. - On considère maintenant un bâton M'N' au repos dans le référentiel E' coïncidant avec le bâton MN à l'instant t de E. Cela signifie (par définition) que les droites M' et N' sont 2 droites parallèles de type temps au repos dans E' passant par les évènements eM et eN.
Il te faut comprendre cette distinction essentielle entre longueur propre et longueur impropre avant de chercher à acquérir d'autres rudiments en RR.
Re: Relativité, positivisme et réalisme
Pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué? Je pose mon bâton dans E. Il détermine deux points M et N qui sont tous les deux au temps t car tous les points de E sont au temps t.
Re: Relativité, positivisme et réalisme
deux points M et N de E (deux droites parallèles de type temps) auxquels on peut associer deux évènements eM et EN au temps t de Erichard a écrit : 26 déc. 2020, 16:24Je pose mon bâton dans [un référentiel inertiel] E. Il détermine deux points M et N
Non.
Re: Relativité, positivisme et réalisme
Ben si! Une hypothèse de la RR est qu’un espace est muni d’un temps t donc que tous les points de cet espace sont au même temps t. Je sais que l’on arrive à des temps différents en des points différents. Cette antinomie suffit à invalider la RE (relativité einsteinienne).
Re: Relativité, positivisme et réalisme
d’après l’hypothèse de la RR.richard a écrit : 26 déc. 2020, 16:24 Pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué? Je pose mon bâton dans [un espace quelconque] E. Il détermine deux points M et N qui sont tous les deux au temps t car tous les points de E sont au temps t.
Re: Relativité, positivisme et réalisme
Une conséquence
un feuilletage en feuillets euclidiens 3D (notés t par exemple) de simultanéité.richard a écrit : 26 déc. 2020, 17:22de la RR est qu’un espace [un référentiel inertiel] est muni d’un temps t
Non.
en un même temps t' d'un autre référentiel E'.
plus précisément, le fait que tu le perçoives comme tel
très largement
compréhension que tu as des notions les plus basiques de la
Re: Relativité, positivisme et réalisme
Je serais toi je laisserais tomber la RE, elle est complément moisie!
Mais je sais bien que, comme un singe ne lâche pas une branche tant qu’il n’en n’a pas une autre bien solide en vue, un sceptique ne le lâchera pas un paradigme tant qu’il n’en n’a pas un autre bien validé sous les yeux. Et il a bien raison, ça évite de perdre son temps dans des trucs foireux et de se poser des questions inutiles.
Mais je sais bien que, comme un singe ne lâche pas une branche tant qu’il n’en n’a pas une autre bien solide en vue, un sceptique ne le lâchera pas un paradigme tant qu’il n’en n’a pas un autre bien validé sous les yeux. Et il a bien raison, ça évite de perdre son temps dans des trucs foireux et de se poser des questions inutiles.
Re: Relativité, positivisme et réalisme
Le seul moisi c'est toi ! 
Русский военный корабль, иди нахуй !

Re: Relativité, positivisme et réalisme
Je serais toi je laisserais tomber la RR (et ne parlons même pas de la Rr). Chaque fois que l'on t'explique l'une de tes nombreuses erreurs de compréhension de la RR d'une façon incontournable, tu passes vite à la présentation d'une autre erreur (que l'on t'a déjà expliquée).richard a écrit : 26 déc. 2020, 19:30Je serais toi je laisserais tomber la RE, elle est complément moisie!
Mais je sais bien que, comme un singe ne lâche pas une branche tant qu’il n’en n’a pas une autre bien solide en vue, un sceptique ne le lâchera pas un paradigme tant qu’il n’en n’a pas un autre bien validé sous les yeux. Et il a bien raison, ça évite de perdre son temps dans des trucs foireux et de se poser des questions inutiles.
Pourquoi, après plus de 20 ans d'échecs successifs dans tes tentatives de compréhension de la RR, ne cherches tu pas à étudier des choses qui seraient plus à ta portée ?
Re: Relativité, positivisme et réalisme
Salut ABC! J’ai écrit inertiel les horloges étaient synchronisées .
Tu me dis quequote=richard a écrit : 26 déc. 2020, 16:24 donc que tous les points de cet espace sont au même temps t
Moi,je croyais —bêtement— que dans un espace
Re: Relativité, positivisme et réalisme
Les points d'un référentiel inertiel (des droites parallèles de type temps) n'ont pas de temps associé. Ce sont les événements d'un même feuillet 3D de simultanéité du référentiel qui sont associés à un même temps t de ce référentiel.
Dernière modification par ABC le 27 déc. 2020, 12:42, modifié 1 fois.
Qui est en ligne ?
Utilisateurs parcourant ce forum : Aucun utilisateur inscrit