On la lui donne. Ce n'est pas parce que vous obstinez à couper les cheveux en quatre que ça n'est pas la vérité. Rien n'est caché.
Jean-François
On la lui donne. Ce n'est pas parce que vous obstinez à couper les cheveux en quatre que ça n'est pas la vérité. Rien n'est caché.
C'est là que je ne comprends pas votre raisonnement. J'ai l'impression que vous pensez qu'on tombera forcément malade au bout d'un moment et que le vaccin ne fait que retarder ce moment.Pancrace a écrit : 16 janv. 2021, 18:53 Absolument pas. Il est tout à fait possible théoriquement que tout le groupe vacciné finisse par tomber malade (efficacité 0% pour le quidam lambda) et que le groupe non vacciné tombe malade beaucoup plus vite, de sorte que le ratio de 95% (efficacité officielle) soit préservé.
Tout à fait, il a en fait 1 chance sur 20 d'être malade si il rencontre le virus par rapport aux non vaccinés. C'est exactement ce que veut dire "réduction du risque".Pancrace a écrit : 16 janv. 2021, 20:34 Ce qui est mensonger est donc de prétendre que "si un individu se fait vacciner il a au maximum une chance sur 20 d'etre malade".
Il me donne aussi cette impression là, quand il parle de "durée de l'expérience" :Inso a écrit :J'ai l'impression que vous pensez qu'on tombera forcément malade au bout d'un moment et que le vaccin ne fait que retarder ce moment.
Et :Pancrace a écrit :Conclusion de Pancrace : ces données sont insuffisantes pour en déduire un pourcentage d'efficacité du vaccin, il manque la prise en compte de la durée de l'expérience...
C'est pas facile de se figurer comment il voit les choses...Pancrace a écrit :...Si la progression est de plus supposée linéaire tous les vaccinés seront malades au bout de 20 jours, c'est donc absurde de dire que le vaccin a 95% d'efficacité.
1)c'est une polemique debile, tous les vaccins ont une valeur d'efficacité.Pancrace a écrit : 16 janv. 2021, 22:09 Oh que si, c'est très simple, même pour toi... Que le "95% d'efficacité" au sens médical ne donne aucune indication sur les chances qu'on a après infection de tomber malade ou pas en étant vacciné. Et que j'estime ça passablement embêtant parce que beaucoup de gens vont penser qu'il y a une relation et entendre "en me faisant vacciner je suis protégé à 95% de la maladie", ce qu'on ne sait pas. C'est peut-être plus d'ailleurs.
[/quote]Covid : les désillusions du vaccin chinois
LETTRE D’ASIE. Les données brésiliennes sur le vaccin Sinovac ont exagéré son efficacité, revue à seulement 50 %. Un revers pour les ambitions de Pékin.
De notre correspondant en Asie, Jérémy André (Hongkong)
Publié le 13/01/2021 à 07h00 - Modifié le 13/01/2021 à 13h27
Jean-Luc Mélenchon plaide pour que la France commande des vaccins à la Chine. Si les données scientifiques confirmaient son efficacité et l'absence de danger, j'accepterais moi-même de me faire inoculer un vaccin chinois. Pourtant, pour avoir enquêté dessus, je connais très bien les mensonges aux conséquences désastreuses des autorités de Wuhan lors de l'apparition du Covid-19. Les essais cliniques étant sous-traités à d'autres pays, on pouvait espérer que le vaccin chinois serait à l'abri d'un énième scandale. Cependant, ce mardi, l'Institut Butantan de Sao Paolo, en charge de l'étude, a revu significativement à la baisse l'efficacité du Sinovac dans ses résultats préliminaires, de près de 30 %. A peine cinq jours après avoir publié une efficacité de 78 %, l'Institut a dû corriger ses données, sous la pression de scientifiques suspectant une manipulation, à seulement 50,4 %, tout juste au-dessus du seuil de 50 % requis par l'Organisation mondiale de la santé pour un usage grand-public. Les premières mesures de l'efficacité excluaient les cas très peu symptomatiques.
Hongkong, où je réside, s'est justement procuré ce vaccin chinois au côté de l'allemand BioNTech et du suédo-britannique AstraZeneca. Si cela peut rassurer les Français sur la lenteur de leur propre campagne de vaccination, celle de Hongkong, qui a pourtant un indice de développement et une richesse par habitant supérieurs, ne commencera que mi-février. Le gouvernement local a sécurisé en décembre 7,5 millions de doses de chacun des fournisseurs, avec pour objectif de stocker 4 doses par habitant (pour une population d'environ 7,5 millions). Il vise donc encore à garantir un quatrième fournisseur pour une quantité équivalente aux trois premiers.
Choix cornélien entre trois vaccins
Chacun des vaccins a ses avantages et ses inconvénients. Le BioNTech (conçu par la société allemande du même nom et connu ailleurs sous le nom de Pfizer, qui le produit et le distribue aux États-Unis) a l'efficacité la plus forte, réduisant de 95 % les infections. Mais il exige un respect de la chaîne du froid et une capacité de conservation à - 70 °C, ce qui fera qu'il ne pourra être inoculé que dans des centres équipés de super-congélateurs – mis à rude épreuve dans une région tropicale – et disposant qui plus est de standards de laboratoires pour préparer les solutions. Dans l'ancienne colonie britannique, il devrait être le premier disponible dans les semaines à venir et sera produit en Europe et distribué par Fosun Pharma, une compagnie chinoise.
L'AstraZeneca (réalisé en partenariat avec l'université d'Oxford) a une efficacité de 90 % avec deux doses, et a l'avantage de pouvoir être stocké dans un réfrigérateur entre 2 et 8 °C, mais il ne sera disponible à Hongkong que durant l'été. Le Sinovac (nom de la société qui le produit, le vaccin étant baptisé Coronavac), le plus fameux « vaccin chinois », peut aussi être entreposé en réfrigérateur. Il devait arriver à Hongkong en janvier, mais sa distribution a été décalée d'un mois, retardant dʼautant la campagne de vaccination qui ne saurait commencer sans le champion national. Alors que BioNTech est fondé sur la nouvelle technologie des vaccins à ARN, qui active le système immunitaire avec seulement des brins d'ARN, le Sinovac est un vaccin « classique », produit à partir du virus inactivé. Contrairement à ses concurrents, le vaccin chinois n'a pas encore publié dans une revue scientifique ses résultats définitifs d'essais de phase 3, la plus élargie et devant ouvrir les autorisations de mise sur le marché. D'où les discussions très vives autour des résultats préliminaires publiés par les autorités sanitaires des pays tests. Fin décembre, la Turquie annonçait une efficacité à 91 % à deux doses. Les chiffres brésiliens revus à la baisse (50,4 %) et des données publiées lundi par l'Indonésie (65 %) ne concernent que la première dose mais présagent d'une efficacité plus basse à deux doses. La révision brésilienne n'indique pas nécessairement une efficacité nulle, ou une manipulation, mais en réduit significativement les ambitions.
Les populations n'auront de toute manière pas forcément le choix entre les vaccins, même quand les autorités ont fait des commandes auprès de plusieurs fournisseurs, du fait des tensions de lʼapprovisionnement durant cette première année. À Hongkong, le gouvernement a par exemple averti que chaque catégorie serait vaccinée avec la marque disponible au moment où elle serait prévue dans la campagne vaccinale. L'attestation de vaccination devrait en outre devenir un sésame dans le monde de l'après-Covid, en particulier pour les déplacements à l'international. Des compagnies aériennes réfléchissent en effet à un passeport sanitaire électronique, et à réserver leurs vols aux personnes vaccinées, qui à Hongkong pourraient qui plus est être dispensées des trois semaines de quarantaine à l'hôtel aujourd'hui obligatoires. Un argument de poids pour un grand voyageur qui a été enfermé, comme moi, 70 jours en 2020.
Comme en France, Hongkong est marqué par une profonde crise de défiance envers les autorités, après la désastreuse gestion du mouvement démocratique de 2019, la répression en 2020 et d’innombrables couacs dans la gestion du Covid-19, pourtant bien meilleure qu’en Occident.
Comme en France, les vaccins seront tous gratuits à Hongkong. Comme en France, le gouvernement hongkongais a défini des groupes cibles prioritaires, les personnes vulnérables et équipes soignantes. C'est par eux que la campagne de vaccination commencera mi-février. Comme en France, elle a pris un peu de retard – les livraisons de Sinovac ayant été moins rapides qu'annoncé. Enfin, comme en France, Hongkong est marqué par une profonde crise de défiance envers les autorités, après la désastreuse gestion du mouvement démocratique de 2019, la répression en 2020 et d'innombrables couacs dans la gestion du Covid-19, pourtant bien meilleure qu'en Occident. Défiance dans les autorités qui se traduit dans une défiance envers le vaccin. D'après un récent sondage mené par l'association Youth New World, 40 % des jeunes ne feraient pas confiance aux vaccins. Et sur la population générale, seuls 37 % des personnes interrogées par lʼuniversité chinoise de Hongkong seraient prêtes à se faire vacciner.
Les mêmes théories du complot fantaisistes sur la 5G et les « injections de micropuces » circulent, qui ont été systématiquement dénoncées sur le site du gouvernement. Outre l'opposition au régime communiste et à son emprise croissante à Hongkong, les zones d'ombre dans l'émergence et la gestion initiale du Covid-19, début 2020, le souvenir reste vif du scandale des vaccins de la société Changsheng de 2018, qui avait falsifié ses données, et produit, avec l'Institut des Produits biologiques de Wuhan, des centaines de milliers de vaccins pour enfants inefficaces – provoquant une perte de confiance dans les vaccins autant à Hongkong qu'en Chine continentale.
Dépolitiser la santé
Sinopharm, la maison mère de Sinovac, n'est cependant pas un outsider douteux comme Changsheng, mais tout simplement le champion national de l'industrie pharmaceutique chinoise. On pouvait préjuger que la sensibilité politique du succès du vaccin chinois lui interdirait de trafiquer grossièrement ses chiffres, ou de dissimuler un scandale sanitaire qui serait tôt ou tard révélé. N'ayant pas d'épidémie locale de grande ampleur, la Chine a été contrainte de sous-traiter les essais de ses vaccins à des pays émergents comme le Brésil, la Turquie ou l'Indonésie. Impossible pour les autorités chinoises ou Sinopharm d'imposer à plusieurs autorités sanitaires étrangères de falsifier leurs résultats expérimentaux ni de dissimuler des incidents graves. En cela, la correction des données publiées par l'Institut Butantan démontre l'efficacité de ces gardes-fous. De même, en novembre, le Brésil avait immédiatement suspendu ses essais à la suite d'un décès. Après enquête, celui-ci s'était révélé un suicide non-lié au vaccin, et les tests avaient repris.
Le souci pour Sinovac est que la propagande chinoise a placé la barre très haut. À l'écouter, le vaccin chinois devait être un médicament miracle et battre à plate couture ses concurrents occidentaux. Plus que n'importe quelle autre puissance, la Chine a fait de son vaccin un instrument de propagande et de diplomatie. Elle s'est présentée en bienfaitrice désintéressée prétendant fournir les pays en développement, avec un vaccin bon marché et facile à distribuer. Or, cette posture ne doit pas faire illusion : le monde émergent est d'abord pour elle un marché, et non une cause humanitaire. Elle n'a rejoint que tardivement l'initiative Covax de l'Organisation mondiale de la santé pour un accès équitable aux vaccins à l'échelle mondiale. Davantage pour souligner l'absence des États-Unis que pour y briller comme généreux donateur : l'Union européenne en restera le principal contributeur.
Contrairement à ce que la propagande chinoise a voulu faire croire, la course aux vaccins ne s'est pas soldée non plus par une victoire écrasante de la Chine. En 2020, celle-ci a largement exagéré son avance, par des injections spectacles sur ses scientifiques et sur sa population, brûlant les étapes des essais cliniques et faisant fi des règles de sécurité. Elle reste en réalité légèrement en retard sur les géants occidentaux. Les capacités de production chinoises ne sont d'ailleurs pas impressionnantes, surtout compte tenu de sa population : Sinovac pourra produire « seulement » 600 millions de doses en 2021 – un nain par rapport au BioNTech qui prévoit de fournir 2 des 5,3 milliards de doses mises au total sur le marché en 2021. La politisation excessive par la Chine de la course au vaccin risque de se retourner contre elle, si les données de phase 3 ne sont pas au rendez-vous. Dans des marchés comme le Brésil ou Hongkong où la défiance envers les autorités chinoises atteint un niveau critique et où son vaccin sera en compétition avec ses concurrents occidentaux, les résultats risquent d'être cruels.
Oui, le SARS-CoV-2 infecte bien nos neurones (voici comment)
14 jan 2021 à 19h00
S
Par LA
Les résultats d’une étude internationale confirment la capacité du virus du SARS-CoV-2 à infecter nos neurones et démontrent les conséquences de cette infection sur le cerveau des malades.
Si le coronavirus est connu pour induire des troubles respiratoires chez les personnes infectées, de nombreux symptômes neurologiques ont aussi été identifiés : maux de tête, perte d’odorat, et dans les cas les plus graves, pertes de conscience et accidents vasculaires cérébraux. Cependant, l’infection des neurones par le virus, la manière dont il les infecte et les conséquences sur le cerveau n’avaient pas encore été démontrés.
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>> EN IMAGES : voici comment le coronavirus infecte les cellules
https://www.science-et-vie.com/corps-et ... 1/(page)/3
C’est ce qu’a permis de confirmer une étude internationale menée conjointement par l’Institut du Cerveau (Sorbonne Université/Inserm/AP-HP/CNRS), l’hôpital de la Pitié-Salpêtrière à Paris et l’Université de Yale aux Etats-Unis. Les chercheurs se sont appuyés sur trois approches indépendantes : des cultures de cellules cérébrales en 3D, des tissus cérébraux de personnes décédées du covid-19, et un modèle murin d’infection au SARS-CoV-2.
Le SARS-CoV-2 infecte bien les neurones
Le système nerveux central n’étant pas le principal organe visé par le virus, l’étude de neuropathologies chez une personne atteinte de covid-19 est un double challenge. D’une part, les chercheurs ne disposent pas de technologie permettant de prélever directement des tissus du système nerveux; et d’autre part, il leur faut pouvoir répondre à la question: l’infection des neurones est-elle due à une neuro-invasion directe, ou à la présence généralisée de particules virales dans le sang?
C’est pourquoi les chercheurs se sont basés sur une technique utilisée précédemment lors de l’épidémie de virus Zika. Grâce à des cultures de cellules cérébrales, ils ont testé la capacité d’infection du SARS-CoV-2 dans les tissus du système nerveux. En pratiquant un séquençage d'ARN unicellulaire les scientifiques ont découvert que le virus pénètre dans les neurones, utilise leurs composants pour se multiplier, et provoque des changements métaboliques au sein des cellules infectées. Ces dernières ne sont pas pour autant détruites.
Le récepteur ACE2 favorise l’entrée du virus dans nos cellules neuronales
Si ces résultats attestent de l’infection des neurones par le SARS-CoV-2, il restait à démontrer la manière dont le virus s’infiltre dans ces cellules neuronales. Pour répondre à cette question, les chercheurs se sont tournés vers un modèle murin d’infection au coronavirus.
Lorsqu’une personne est en contact avec le virus, ce dernier entre dans les cellules pulmonaires via le récepteur cellulaire ACE2, sensible à la protéine de pointe (ou protéine Spike) du SARS-CoV-2. Les chercheurs ont réussi à démontrer que ce même récepteur ACE2 joue un rôle important dans l’infection des cellules neuronales.
schéma covid récepteur cellules JEM
L’équipe de scientifiques a mené ses recherches sur des cultures de cellules cérébrales, des tissus cérébraux post-mortem et un modèle murin d’infection au SARS-CoV-2 pour démontrer que le virus infecte bien les cellules neuronales chez le cerveau humain et de la souris. Ici, les récepteurs cellulaires ACE2 sont représentés sous forme d’arc de cercles bleus. Crédits: 2021 Rockefeller University Press
Pour tester ces résultats, ils ont utilisé des anticorps monoclonaux bloquant la protéine ACE2 sur des organoïdes obtenusin vitro,avant l’infection au virus. Résultat, l’infection au SARS-CoV-2 est inhibée lorsque l’organoïde reçoit au préalable le traitement aux anticorps, démontrant ainsi que le récepteur ACE2 est nécessaire dans l’infection des cellules neuronales.
Un lien possible entre infection neuronale et symptômes neurologiques
L’infection directe du système nerveux par le coronavirus étant démontrée (ainsi que le rôle des protéines ACE2 dans ce processus), quelles sont les conséquencessur le cerveau des patients?
Les chercheurs pensent que les symptômes neurologiques observés chez les patients atteints de covid-19 sont la conséquence de l’atteinte directe du système nerveux central. Sur modèle murin, ils ont constaté un remodelage important du réseau vasculaire cérébral dans les régions infectées du cerveau. Il y aurait un lien entre la pénétration du SARS-CoV-2 dans les neurones (observée au sein des cultures de cellules cérébrales et des tissus cérébraux post-mortem), et l’apparition de troubles dans le cerveau des malades, comme l’hypoxie (manque d’oxygénation) et l’accident vasculaire ischémique (mort du tissu cérébral).
Des études complémentaires sont maintenant nécessaires pour confirmer ce lien entre changements métaboliques dans les cellules infectées et symptômes neurologiques rapportés chez certains patients atteints de covid-19.
Source: Journal of Experimental Medicine, janvier 2021.
Vous qui vous répétez tous les jours devant le miroir :julien99 a écrit : 16 janv. 2021, 23:51 La campagne de vaccination et sa stratégie de communication :
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C'est pour cela que dans le doute, ils vaccinent en priorité les plus de 75 ans (en France) qu'ils puissent continuer de goûter aux joies de la vie et aussi se reproduire. Manquerait plus que notre espèce de vieux disparaisse !julien99 a écrit : 18 janv. 2021, 12:31 Une des rares séquelles qui nous manque, c'est l'impuissance et l'nfertilité![]()
Y'a que les vieux pots qui disent ça, de la même manière que seule la beauté intérieure compte, mais surtout pour les mochesDominique18 a écrit : 18 janv. 2021, 13:52 C'est bien connu, c'est toujours dans les vieux pots qu'on fait les meilleures soupes!
Oui. Aucune raison qu'on ne vaccine pas les grand-pères verts !Dominique18 a écrit :Surtout s'ils sont encore bien verts et se portent comme des charmes.
Tout est marqué dans le post : Alexandra Henrion-Caude et des liens que j'ai trouvé par rapport à ces dires.
Juste une grosse conne d'extrême droite comme toi tu les aimes !julien99 a écrit : 20 janv. 2021, 20:50 Tout est marqué dans le post : Alexandra Henrion-Caude et des liens que j'ai trouvé par rapport à ces dires.
Je sais, la dame est incompétente, méchante, complotiste et tuti quanti![]()
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