Pendant que nous y sommes...
Dans le livre de Clément Freze, "Les maîtres de l'imposture", figure une phrase, page 102:
"Le sujet a un sens grandiose de son importance.
Il surestime ses réalisations et ses capacités, s'attend à être reconnu comme supérieur sans avoir accompli quelque chose en rapport."
Le cauchemar continue...
https://www.marianne.net/societe/sante/ ... kifQ%3D%3D
Media mainstream?Que sait-on de l’efficacité des vaccins sur ce variant (brésilien) ?
On sait qu’il y a un doute, et il n’est pas possible de le laisser subsister. La seule façon de limiter les craintes de la population c’est de montrer qu’il y a un vaccin très efficace contre ce variant. Aujourd’hui, on n’a pas de données alors on doit envisager un scénario catastrophe à l’image de ce qu’ont avoué les Chinois : leur vaccin est inefficace contre le variant brésilien.
"Il faut vérifier l’efficacité des vaccins et les mettre à jour."
Les instances internationales devraient se débrouiller pour que Pfizer donne 20 000 doses de vaccins au Chili ou au Brésil pour tester leur efficacité, de manière à obtenir des réponses scientifiques et, le cas échéant, une mise à jour des vaccins. Il faut créer un consortium pour qu’il y ait une réponse instantanée dès l’apparition d’un variant. Ce chef d’orchestre pourrait répondre à la question : « A-t-on un vaccin universel, qui fonctionne vis-à-vis du Covid-19 ? ».
On ne répond pas à ces questions-là car les stocks sont très en tension. On privilégie la livraison de vaccins à ceux qui les ont commandés. On ne prend pas le temps, de façon assez égoïste, de livrer dans les zones les plus touchées pour avoir des données en temps réel. C’est pour cela qu’il faut l’exiger des plus hautes instances, comme l’OMS.
En France, le variant sud-africain circule largement en Moselle. Pourquoi n’a-t-il pas pris le pas sur le reste s’il est plus contaminant ? Le variant brésilien deviendra-t-il forcément majoritaire ?
Pour des raisons qu’on explique mal, il y a une compétitivité entre les variants. C’est quelque chose qu’on connaît très bien sur les bactéries, on sait qu’elles luttent entre elles pour un habitat et on a l’impression que c’est la même chose entre les variants anglais et brésiliens ou sud-africains. L’anglais a été majoritaire en premier comme il est tout de même très contagieux, et il a peut-être joué un rôle de barrière. Il prend tellement de place qu’il est possiblement la meilleure frontière contre le variant brésilien. Mais cela doit renforcer notre inquiétude : qu’est-ce qu’on fait à l’été s’il n’y a plus de variant anglais mais que nous devons gérer les brésiliens et sud-africains ? Plutôt que de jouer à se faire peur, il faut vérifier l’efficacité des vaccins et les mettre à jour. Pfizer peut le faire en 6 semaines.
Rappel:
Pensez-vous que la population a besoin d’être plongée dans la frayeur sachant que l’angoisse dégrade le système immunitaire ?
C’est d’abord une décision POLITIQUE qui a pour conséquence première de rendre malade des personnes bien portantes.