Comme vous semblez suggérer qu'il existe des traitements efficaces mais non autorisés, il serait bien que vous les citiez afin d'en discuter précisément au lieu de rester dans un facile flou accusateur.
Ça risque d'être compliqué pour lui, puisqu'il ignore, ou réfute (c'est selon son humeur du moment...) les protocoles en vigueur qui définissent et autorisent les expérimentations, traitements, mises sur le marché...Ça peut durer longtemps, au gré de ses batifoleries contraireuses.
Toutes les pseudo-sources et autres références qu'il a daigné fournir ont, jusqu'à présent, été réfutées.
Un CFR (case fatality rate) de 0.15 % (étude de John Ioannidis) nous donne bien 99.85 % de survivants à l’infection.
Il en est resté là, ce qui ne facilite pas la tâche.
Plusieurs intervenants ont eu beau lui expliquer qu'il se complaisait dans les erreurs, et le simplisme affligeant de ses propos, apparemment, il n'y a guère possibilité de le faire changer d'avis.
Vous insinuez que les agences sanitaires autorisent ou non les traitements en fonctions des ordres de bigpharma (ou autre puissance occulte) et que les personnels médicaux obéissent aveuglément à ces directives sauf quelques "résistants" très médiatisés par ailleurs.
Régulièrement, il y revient, en dépit de la qualité des argumentations opposées.
Ses dernières élucubrations...
Je vous pose la question dans d’autres termes :
a-t-on le droit de refuser un traitement qui a même une petite chance d’aboutir à défaut de rien ?*
On le fait bien dans le domaine oncologique, non !**
Ca risque effectivement de finir en aventure à la Steve Jobbs
* encore faudrait-il pouvoir définir le protocole permettant cette expérimentation, ce qui sous-entend autorités compétentes reconnues et agréées, autorisations, encadrement, responsabilités, accord et décharge du patient, code déontologique, ...
** sources????
J***99, ou, "Je ne suis pas expert, mais... je sais!..."
Ignorance et déni des réalités...
Il vaut mieux pour lui qu'il n'intervienne jamais, au grand jamais, dans le domaine médical!!!
Un exemple de taille, si on suit "son raisonnement" et ses "préférences*" (il faut déployer de gros efforts en ce sens): le "traitement" de l'autisme par Montagnier et consorts:
https://www.revmed.ch/revue-medicale-su ... ntagnier-1
Autisme et antibiotiques : l’affaire Montagnier (1)
Jean-Yves Nau
Co-lauréat du prix Nobel 2008 de médecine pour avoir participé à la découverte (c’était en 1983) du VIH, le Pr Luc Montagnier estime aujourd’hui que des médicaments antibiotiques seraient efficaces contre l’autisme. Il vient de tenir une « conférence » en ce sens sous les ors de l’Académie nationale (française) de médecine. Cette prestigieuse institution en est encore sous le choc. Nombre des membres de la compagnie tiennent de tels propos pour déraisonnables (un euphémisme diplomatique) et certains avouent, sous le sceau de la confidence, être scandalisés. « Nous sommes dramatiquement revenus à la médecine du XVIIe siècle », a déclaré l’un d’entre eux au sortir de la séance du mardi 20 mars.
* par "préférences", il faut entendre lubies...
Il ne s'arrête jamais...
Vous savez parfaitement qu’une infection non/mal traitée peut amener des complications, surtout d’ordre cardiaque. On le sait depuis bien longtemps !
S’il y en a davantage aujourd’hui, c’est que dans le passé on avait l’habitude de traiter les sujets.
Vous auriez fait l’expérience en 2014-2015, vous auriez probablement constaté une hécatombe de la même ampleur.
C'est nouveau, ça vient de sortir, aucune source, juste une opinion.
Comment accorder attention à ce genre de délirant?