J'ouvre une parenthèse, et uniquement une parenthèse pour apporter une précision d'importance :
ma réponse était ironique, voire cynique.
Faire référence au siècle des Lumières, c'est faire abstraction de la réalité historique de l'époque.
On ne peut pas établir de comparaisons simplistes entre le siècle des Lumières et la situation planétaire de 2022. Il faut plutôt être calé en histoire, pour cette période difficile d'abord, ce qui n'est pas ton cas, ni le mien. Nous pouvons éventuellement avoir quelques connaissances, plutôt éparses, sur le sujet, mais pas une spécialisation et encore moins une compétence avérées.
Il y a une donnée fondamentale qui t'échappe, c'est la complexité des situations. Que ce soit pour la physique, la psychanalyse, le 11 septembre, le réchauffement climatique...
Complexité qui demande des investigations approfondies dans de multiples domaines sans aucune certitude quant à une possibilité de compréhension à en retirer. Ce n'est pas la première fois que plusieurs interlocuteurs tentent de t'en faire prendre conscience.
Ce que tu aurais dû comprendre en tenant compte (en les mettant en perspective) des autres éléments de mon discours, qui étaient clairs, concernant le sujet en cours.
Tu veux philosopher? Soit! C'est ton orientation, ton choix.
Pour pouvoir philosopher il faut toutefois continuer à bénéficier d'un confort. Ce qui, dans l'histoire de l'humanité, a toujours été une constante. Et pour cela, il faut pouvoir disposer d'esclaves. physiques, mécaniques, dématérialisés,... et être capable de se poser les bonnes interrogations. Ce qui n'est pas le cas.
Cette conversation ne conduit nulle part, comme un certain nombre de précédentes. Usante et lassante.
Le titre de ce fil est: Pouvons-nous relever le défi du réchauffement de la planète ?
Je referme la parenthèse.