...Je reconnais que le langage psychanalytique est particulièrement abscons. Tu as abordé la psychanalyse par l’écrit, moi par la thérapie, toi par la théorie, moi par la pratique. Tu n’as pas apprécié, moi, j’ai apprécié...
Première erreur...
Ton expérience personnelle reste personnelle et ne peut en aucun cas prétendre à une généralisation. Ton égo a été satisfait, tant mieux pour toi.
Quand tu œuvres au service des autres, c'est une toute autre histoire, qui demande davantage une mobilisation de compétences, qui oblige à se décentrer et à savoir le faire. Ce qui nous conduit à la deuxième erreur que tu commets.
Deuxième erreur...
Je constate, une fois de plus, que tu n'as rien lu et compris de ce que j'ai notifié plusieurs fois. Sans entrer dans les détails d'une activité professionnelle, j'ai été confronté, plusieurs fois, à des pratiques de psychologues et psychiatres psychanalyste. Je n'ai pas eu besoin de recourir à une analyse, ce que j'ai constaté m'a amplement suffi. Je t'ai parlé de formation dynamique il me semble.
La psychanalyse, je ne la connais pas uniquement par l'écrit, loin de là.
L'écrit est venu après, en termes d'enquêtes et de compléments d'information.
Ce n'est pas une question d'appréciation ou pas, c'est un constat clinique, de terrain.
Je connais, mais pas que, quelques autistes de type Asperger qui se portent très bien à l'écart de la psychanalyse. Quand ils étaient plus jeunes, ce fut une autre histoire, pour eux et leurs familles.
Une catastrophe pour les raisons évoquées ci-dessus. Ils s'en sortis grâce au CRA et ont pu prendre un virage dans leur vie, dépêtrés des absurdités psychanalytiques, dont j'ai connu les derniers "représentants" rivés à leur fauteuil, accrochés à leurs privilèges, et verrouillant toute avancée. Ils sont partis à la retraite et ce ne fut pas un luxe.
En route pour la troisième erreur.
Troisième erreur...
Il n'y a plus rien à tirer de la psychanalyse.
Je vais finir par croire qu'il te manque des neurones. Relis les 15 pages de ce fil et arrête de nous bassiner avec tes inepties égocentriques, et insipides.
J'ai cité Tobie Nathan. Tu aurais dû te pencher sur ce personnage.
Dans ton cas, à part satisfaire ton égo, ton égocentrisme existentiel, je peux affirmer que la psychanalyse ne t'a certainement pas permis de progresser sur le plan des connaissances et de la mobilisation de ton esprit critique (cf. tes références sur des sites complotistes). T'enfermer un peu plus dans tes inepties conceptuelles, pas de doute. T'empêcher de dépasser ton stade de paresse intellectuelle, Idem.
Dans toutes les civilisations il y a eu des gens qui s’occupaient de la question de l’esprit: chamans, guérisseurs, prêtres, rabbins, imams et autres sorciers. D’ailleurs ils étaient souvent guérisseurs de l’âme et du corps pris comme un ensemble. Les psychanalystes sont les guérisseurs de l’âme dans la société industrielle. La pensée et les rites sont différents de ceux des chamans ou des prêtres, mais iels existent.
Une telle confusion, avec des biais, des sophismes, des stéréotypes... je ne débunkerai pas. Tu vis dans la pensée magique, elle te convient, tu ne souhaites pas en sortir, en désirant que le monde tourne autour de toi.
Tout prosélytisme de ta part à ce sujet ne peut que se voir opposer une fin de non-recevoir légitime, ferme et définitive.
Va jouer au boulingrin c'est ce que tu as de mieux à faire, à part avoir une discussion avec toi face à un miroir, mais ça, c'est ton problème, et pas le nôtre.
Tu as déjà oublié ce que j'ai écrit ici:
viewtopic.php?t=16861&start=300#p628102
et là :
viewtopic.php?t=16861&start=300#p628159
Je te laisse. Tu as du travail.
Dura lex sed lex.