Je suis assez âgé, handicapé des bras et des jambes, je ne suis pas autonome, je n’ai pas la force de faire ça. Non, je vais rédiger mes articles*. Je les mettrai sur Internet et j’essayerai de les faire publier, cela me demandera déjà beaucoup d’efforts. J’en prévois quatre** plus un (qui est un préalable). Celui-ci décrit l’erreur sur laquelle est basée la théorie de la relativité. Il est en effet nécessaire de montrer l’inanité d’une théorie pour en proposer une autre. Le second concerne la variation de la fréquence des ondes électromagnétiques avec la vitesse; il remplacera —avantageusement— la relativité de Lorentz et celle d’Einstein. Un troisième traite de la variation de la fréquence des ondes électromagnétiques avec la distance; il remplacera —avantageusement— la théorie du big-bang. Ces deux théories forment ce que j’appelle la réalité perceptible, c’est une représentation de ce que perçoit un observateur donné. Un quatrième reliera la réalité perceptible au réel physique par une transformation conforme. Dans ce réel physique on traitera de la mécanique des corps, il s’agit d’une théorie qui englobe —qui réduit— celle de Newton. C’est donc une théorie réductrice, valable pour les grandes vitesses, où l’on retrouve les lois de Newton pour les faibles vitesses; par exemple l’énergie d’un corps E = γ m c2 devient E = m v2/2 à faible vitesse.Dominique18 a écrit : 30 mars 2023, 17:53 En clair, tu publies, tu organises des conférences, tu passes dans les medias, que sais-je encore...
En fait il y a deux approches du monde, une donnée par les ondes électromagnétiques, qui décrit la réalité perçue par un observateur donné, ce sont des espaces spécifiques à cet observateur (je les avais nommés initialement espaces visibles) et une autre approche relative a l’espace d’un observateur (je l’avais nommé initialement espace tangible) mais je me suis aperçu qu’en fait les espaces visibles constituaient la perception du monde d’un observateur donné (par les ondes électromagnétiques, il est vrai), je les appelle donc espaces perspectifs et que les espaces tangibles ne formaient qu’un seul espace (au sens mathématique) qui est, en fait, le réel physique inaccessible à nos sens. Bon, je ne m’étends pas trop car je n’ai pas le droit d’en parler, mais ça me fait du bien alors j’espère qu’on me pardonnera. Ça devrait aussi montrer que je maîtrise le sujet comme le recommande Dominique.
Je crois que d’exposer mes idées sur le forum me permet de m’entrainer à la confrontation avec des gens plus aguerris. Il est également plus facile de persuader des gens qui ne connaissent pas la relativité que ceux qui l’ont étudiée, voire enseignée. Ils sont persuadés qu’elle ne peut être remise en question, je m’en suis aperçu avec des profs de relativité. J’ai eu plus de succès auprès d’amis ingénieurs, capables de suivre mon raisonnement sans apriori.Dominique a écrit :Il me semble qu'on ne peut parler de notions de ce ne niveau que quand on les connaît suffisamment, c'est à dire qu'on les comprend et qu'on les maîtrise.
* Je pars du dernier mémoire que j’ai présenté, entre autres, à la Société Française de Physique et à ABC.
** Ça répond à la question que Jean-Francois m’a posée il y a quelques années: pourquoi quatre et pourquoi pas quinze ? Tout vient à point à qui sait attendre.