Un éclair de lucidité.
Absolument aucune.Oui, d’aucune utilité!
Un éclair de lucidité.
Absolument aucune.Oui, d’aucune utilité!
Il n’existe de de "point mobile", un point est mobile par rapport à un référentiel s’il est en mouvement par rapport à celui-ci.
Je serais toi, j’arrêterais le chichon, ça ne te réussit pas.Si un coureur mesure la durée de sa course avec un chronomètre, il n'a pas les informations requises instantanément, à aucun moment et de plus, sa montre n'est jamais aux mêmes endroits que lui et d'ailleurs où est-il lui-même ou où a-t-il été lui-même à tout instant pendant toute la durée de sa course ?
Mais n'en auraient pas sans des mesures confirmant ces temps propres par observation.Tapatorhector a écrit : 13 mai 2024, 16:00Les temps propres sont des idées mathématiques qui ne prennent sens où ne sont dévoilées que par la médiation des temps impropres.
La notion de référentiel inertiel se définit comme un ensemble de droites parallèles de type temps remplissant l'espace-temps (en math on appelle ça un feuillage 1D en droites parallèles de type temps et, en RR, une droite de type temps est appelée un observateur) n'est pas largement connue. Les physiciens et les mathématiciens connaissent la définition des référentiels comme des feuilletages 1D de type temps de l'espace-temps, mais il y a très peu de physiciens s'exprimant sur ce forum. Ils y sont largement minoritaires (1).Zebra a écrit : 13 mai 2024, 15:16 J'imagine que ce sont des concepts terriblement de base pour toi (ainsi que bien des intervenants du forum).
Pour ma part, je préfère la définition donnée sur WikipediaABC a écrit : 13 mai 2024, 16:59 La notion de référentiel inertiel définie comme un ensemble de droites parallèles de type temps remplissant l'espace-temps (en math on appelle ça un feuillage 1D en droites parallèles de type temps et, en RR, une droite de type temps est applée un observateur) n'est pas largement connue.
mais ça fait moins classieux.Un référentiel est un solide (un ensemble de points fixes entre eux) par rapport auquel on repère une position ou un mouvement.
Tout ce que je dis c'est que si le sol est penché, l'affichage de la balance en sera affecté , cette explication EST déjà l'explication physique à la variation de l'affichage. Il n'y a rien d'étonnant à ce qu'une mesure impropre donne quelque chose de différent qu'une mesure propre.externo a écrit : 13 mai 2024, 15:57Donc quand tu te pèses sur la balance le poids indiqué contient en lui même l'explication physique de ton poids ? L'explication physique de ton poids c'est la valeur numérique de ton poids ?Gwanelle a écrit : 13 mai 2024, 11:32externo a écrit : 13 mai 2024, 10:58 Ils ne peuvent pas faire ça, parce qu'alors ça sous entendrait que c''est une théorie qui se contente de donner le résultat des mesures et n'offre aucune explication physique, ce qui forcerait à chercher une explication du côté du référentiel de repos. Il ne faut pas croire que l'ambiguïté est anodine, elle est maintenue exprès.
Mais tenir compte de la relation appareil de mesure/objet mesuré, c'est déjà une explication physique.
Et tu continues sans relâche avec ta théorie de l'immobilité absolue comme s'il y avait débat sur cette ineptie... fuyant la petite question d'ABC sur la durée de vie des muons.richard a écrit : 13 mai 2024, 16:32 Il n’existe de de "point mobile", un point est mobile par rapport à un référentiel s’il est en mouvement par rapport à celui-ci.
Donc tu donnes une explication physique, ce n'est pas une théorie de la mesure, c'est une théorie du sol penché. La mesure est affectée par le sol penché.Gwanelle a écrit : 14 mai 2024, 10:11
Tout ce que je dis c'est que si le sol est penché, l'affichage de la balance en sera affecté , cette explication EST déjà l'explication physique à la variation de l'affichage. Il n'y a rien d'étonnant à ce qu'une mesure impropre donne quelque chose de différent qu'une mesure propre.
Et par conséquent, je n'ai pas besoin de croire pas qu'il y aurait soudain un éther invisible ayant affecté mon poids chaque fois que je me pèse sur un sol penché .
c'est une théorie de la mesure au sens où je n'ai pas besoin d'analyser physiquement le sol mais seulement la relation entre l'appareil de mesure et l'objet mesuré ... car je peux aussi décider librement de pencher la balance et je réaliserai alors volontairement une mesure impropre sans aucune raison physique .externo a écrit : 14 mai 2024, 10:36 Donc tu donnes une explication physique, ce n'est pas une théorie de la mesure, c'est une théorie du sol penché. La mesure est affectée par le sol penché.
richard a écrit : 13 mai 2024, 16:32 Il n’existe pas de "point mobile", un point est mobile par rapport à un référentiel s’il est en mouvement par rapport à celui-ci.
Au contraire, ma proposition a trait à la cinématique, la RR a un point de vue géocentrique, la mienne s’en détache. C’est une théorie réductrice de celle de Newton, elle englobe donc la mécanique classique en la prolongeant aux grandes vitesses. "grandes vitesses" est opposé à immobilité absolue.Gwanelle a écrit : 14 mai 2024, 10:11Et tu continues sans relâche avec ta théorie de l'immobilité absolue comme s'il y avait débat sur cette ineptie...
ABC a répondu lui-même à sa question de façon très claire.Gwanelle a écrit :fuyant la petite question d'ABC sur la durée de vie des muons.
Je ne comprends même pas sa question alors sa réponse... Ce que je peux dire c’est que la durée de vie propre t’ du muon quand il est en mouvement est la même que celle, t, lorsqu’il est sur Terre (t’ = t). Je peux dire aussi que le temps de vie des muons tp perçu, mesuré, par un observateur terrestre est lié au temps propre du muon par le facteur de Lorentz γ: tp = γ t’ = γ t.ABC a écrit : 13 mai 2024, 16:35 la durée, mesurée dans le référentiel terrestre, séparant naissance et mort d'un muon cosmique (ne se produisant pas au même endroit dans le référentiel à peu près inertiel terrestre) est plus grande que la durée de vie terrestre d'un muon qui naîtrait et mourrait en un même emplacement terrestre (sa durée de vie propre).
La durée, mesurée dans le référentel de repos du muon cosmique, séparant naissance et mort d'un muon se produisant au même endroit dans le référentiel terrestre est plus... ...que la durée de vie propre du muon cosmique
Par ailleurs, en raison de l'invariance des lois de la physique lors d'un changement de référentiel inertiel, la durée de vie propre moyenne de muons cosmiques est... ...à la durée de vie propre moyenne de muons qui naitraient et mourraient en un même emplacement terrestre.
Un muon cosmique et un muon au contraire au repos dans le référentiel terrestre naissant au même emplacement et au même instant, ne meurent pas en même temps dans le référentiel terrestre... (mais en même temps ? ni non plus en même temps ?) ...dans le référentiel du muon cosmique.
Tires-en les conclusions qui s'imposent.
Donc, étant donné qu'on parle d'énergie (la quantité de muons qui atteignent une altitude donnée, c'est de l'énergie, ce n'est pas de "l'illusion" ce n'est pas de la "perspective" l'énergie est bien là , bien arrivée objectivement à une certaine altitude).richard a écrit : 13 mai 2024, 16:32 Je ne comprends même pas sa question alors sa réponse... Ce que je peux dire c’est que la durée de vie propre t’ du muon quand il est en mouvement est la même que celle, t, lorsqu’il est sur Terre (t’ = t). Je peux dire aussi que le temps de vie des muons tp perçu, mesuré, par un observateur terrestre est lié au temps propre du muon par le facteur de Lorentz γ: tp = γ t’ = γ t.
Un muon cosmique et un muon au repos dans le référentiel terrestre naissent en même temps au même endroit.Gwanelle a écrit : 14 mai 2024, 10:11Tu continues à fuir la petite question d'ABC sur la durée de vie des muons. Tu as une chance sur deux de répondre juste!
La réponse à cette question est dans la question (ABC dit: naissent en même temps au même endroit)Tapatorhector a écrit : 14 mai 2024, 15:44 ... Un temps noté "t" n'existe que par rapport à un temps initial "t=0" qu'il faut préciser.
Comment faire pour que l'instant initial "t=0" soit le même indépendament des repères ?
Puis je l'influence :Je comprends votre point de vue, mais je pense que vous minimisez un peu trop les apports fondamentaux et originaux d'Einstein dans l'élaboration de la théorie de la relativité restreinte. Quelques précisions importantes :
Il est vrai que les transformations mathématiques de Lorentz sont au cœur de la relativité restreinte. Mais Einstein en a fourni l'interprétation physique profonde en termes de dilatation du temps et de contraction des longueurs, ce que Lorentz lui-même n'avait pas compris.
Le principe de relativité de Poincaré couvrait bien plus que l'électromagnétisme, mais il était incomplet. Poincaré conservait encore les notions d'espace et temps absolus de la physique newtonienne.
C'est Einstein qui a osé rejeter ces concepts pour poser les postulats révolutionnaires de la relativité de l'espace et du temps, ainsi que de la constance de la vitesse de la lumière dans tout référentiel inertiel.
Les implications conceptuelles de la relativité restreinte, comme la remise en cause de la notion de simultanéité absolue, découlent directement des postulats novateurs posés par Einstein, et non des travaux antérieurs.
Poincaré n'avait pas réellement étendu son principe à la gravitation, qui n'a été unifiée avec la relativité que dans la théorie de la relativité générale développée ultérieurement par Einstein seul.
Donc même si Einstein s'est appuyé sur des travaux préparatoires importants, son apport conceptuel majeur et original dans la formulation de la relativité restreinte en 1905 est universellement reconnu par les historiens des sciences et la communauté physique. Minimiser totalement son rôle reviendrait à nier l'essence même de cette théorie révolutionnaire.
Vous avez raison, j'ai eu tort d'utiliser le terme "curiosités mathématiques" pour qualifier la manière dont Lorentz et Poincaré considéraient les effets de contraction des longueurs et de dilatation du temps dans le cadre de leur théorie de l'éther.
Vous soulignez à juste titre que pour eux, ces effets découlaient d'une interprétation physique réelle : les objets se contractent réellement lorsqu'ils se déplacent à travers l'éther immobile qu'ils postulaient comme milieu de propagation des ondes lumineuses.
C'était effectivement conçu comme des réalités physiques incontournables dans leur modèle de l'éther, et non pas juste des artéfacts mathématiques.
Einstein, en rejetant le concept d'éther, a apporté une nouvelle interprétation conceptuelle de ces effets : non pas des contractions/dilatations réelles, mais une conséquence de la relativité de l'espace et du temps selon les référentiels.
Mais vous avez raison, je ne devrais pas minimiser ou dénaturer la vision physique que Lorentz et Poincaré avaient de ces phénomènes, même si elle différait de celle apportée par Einstein.
Je vous remercie de cette précision qui me permet de corriger une erreur d'appréciation de ma part sur la manière dont ces précurseurs expliquaient ces effets au sein de leur théorie de l'éther.
Gwanelle a écrit : 14 mai 2024, 16:59 je ne sais pas comment tu fais pour comprendre quelque chose aux alignements de mots des IA.
je suis totalement incapable de dire si une IA est d'accord ou pas avec moi car je ne comprend RIEN de ce qu'elles racontent.
richard a écrit : 14 mai 2024, 17:06 ABC, ce que tu appelles un muon cosmique doit être en mouvement par rapport à la Terre. Il ne peut pas naître en même temps au même endroit qu’un muon terrestre, mais il peut naître à un endroit de son référentiel qui coïncide à cet instant avec un point du référentiel Terre où naît le muon terrestre.
Crois en celle que tu veux.
Gemini/Bard est une bille, il faut plutôt essayer Copilot/ChatGpt4 qui est infiniment plus calé.Zebra a écrit : 14 mai 2024, 17:57Gwanelle a écrit : 14 mai 2024, 16:59 je ne sais pas comment tu fais pour comprendre quelque chose aux alignements de mots des IA.
je suis totalement incapable de dire si une IA est d'accord ou pas avec moi car je ne comprend RIEN de ce qu'elles racontent.
C'est un exercice tortueux que de comprendre une IA. D'autant plus que les erreurs sont quasi constantes. Pour certaines personnes () c'est à peu près la seule autre alternative au forum pour questionner sur certains sujets (comme la physique justement). Entre ça et rester prise avec des interrogations... Parfois, les réponses de l'IA sont tellement à côté de la plaque que le mieux à faire est d'en rire et de lui offrir..... des pommes
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Il faut croire à un mélange des deux. Les objets en mouvement par rapport à l'éther subissent la dilatation des durées réelle, mais par un effet de perspective ils ont l'impression que ce sont les objets immobiles qui la subissent. Leurs étalons de mesure et de longueurs ne sont adaptés qu'à la mesure de leur environnement propre, les étalons d'espace sont contractés et ceux de temps sont désynchronisés, ils mesurent donc les objets immobiles comme avec des axes espace-temps ayant effectué une rotations euclidienne, sauf qu'en fait c'est eux qui ont effectué cette même rotation. Ils reportent donc sur les objets immobiles leurs propres déformations, entre autre celle de la dilatation du temps.richard a écrit : 14 mai 2024, 18:54 Dans la première interprétation du phénomène de dilatation des durées, où ce phénomène est réel, le temps s’écoule à la fois plus vite et moins vite que dans un autre référentiel. Dans la deuxième, où il est dû à la perception, donc apparent, les durées propres sont invariantes dans un changement de référentiel, le temps se déroule au même rythme dans tous les référentiels, il est donc absolu.
J’aimerais donc savoir à quelle version il faut croire.
Salut thewild ! Dans la première interprétation du phénomène de dilatation des durées, où ce phénomène est réel, le temps s’écoule à la fois plus vite et moins vite que dans un autre référentiel. On arrive à la même contradiction que trouve Galilée dans une expérience de pensée sur la chute des corps (à 3 mn).thewild a écrit : 14 mai 2024, 20:05Crois en celle que tu veux.richard a écrit : 14 mai 2024, 18:54 Dans la première interprétation du phénomène de dilatation des durées, où ce phénomène est réel, le temps s’écoule à la fois plus vite et moins vite que dans un autre référentiel. Dans la deuxième, où il est dû à la perception, donc apparent, les durées propres sont invariantes dans un changement de référentiel, le temps se déroule au même rythme dans tous les référentiels, il est donc absolu.
J’aimerais donc savoir à quelle version il faut croire.
Comprends celle que tu peux.
Dans l'expérience des muons, ils mesurent l'énergie.richard a écrit : 15 mai 2024, 11:30 la durée de vie des muons en mouvement est une mesure apparente...
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