jroche a écrit : 15 juil. 2024, 12:06
Je répète, je n'ai qu'à copier-coller :
Et qu'est-ce que la science étudie d'autre, qu'est-ce qu'elle peut appréhender d'autre, que des déterminismes ?
Je serai enclin à penser que la métaphysique façon jroche est un mode pratique et commode de se reposer sur ses lauriers, sans grandes prises de risques.
La métaphysique ainsi c'est, face je gagne, pile je ne perds pas ou si peu.
Comme je me pose toujours les mêmes questions en restant bien au chaud dans ma zone de confort, aucun risque d'être déstabilisé.
Alors qu'avec les investigations scientifiques c'est tout le contraire. Et dans nombre de cas, ça peut secouer.
La science ne traite pas uniquement que des faits déterministes (cf. les enfilades àce ce sujet), c'est une vision bien trop réductionniste, manichéenne qui consiste à envisager la science à base de questions fermées, binaires, alors qu'elle consiste en des interrogations ouvertes.
L'épigénétique a quelque peu chamboulé le modèle déterministe couramment pratiqué sur le plan de la génétique. C'était rassurant, confortable, ça ne l'est plus et c'est heureux puisque la dynamique des connaissances peut continuer sans être freinée.
Se mettre en porte-à-faux, c'est accepter d'entretenir sa curiosité qui ne consiste pas à entretenir ses ses convictiones et ses certitudes.
Tu n'apprécies pas la science, globalement, soit!
En ce cas, quel modèle réfléchi peux-tu proposer et lui opposer?