Pour avoir essayer, je peux vous dire que ça ne sert à rien. Ghost n'a aucune mémoire et joue constamment sur les mots pour changer son discours de manière opportuniste en se contredisant sans vergogne au besoin. Tout ce qu'on réussi à faire en essayant de le suivre, c'est à augmenter la confusion.fenryl a écrit :Effectivement, d'autres termes peuvent être appliqué à cela, je ne fais que reprendre les termes de Ghost afin qu'il comprenne ce que je veux dire
Le mieux qu'on puisse faire, c'est de refuser d'embarquer dans sa présentation de zozo-gourouifiant et de tenter de rendre les choses plus claires.
Oui, c'est une forme de raisonnement circulaire. Si on s'en tient à ce genre de raisonnement, on justifie n'importe quoi (qu'il est juste que les pauvres souffrent car cela les rapproche de dieu, par exemple offert par sainte Thérésa). Heureusement, un grand nombre de croyants sont un peu plus lucides que ça, ce qui les pousse à adapter leur conception de la volonté divine.Alsato a écrit :Alors évidement que d'un point de vue chrétiens, les chrétiens sont plus moraux : TOUT ce qu'ils font est bien, sans exception, non pas par jugement éthique, mais par définition qu'un chrétiens ne peut pas faire le mal
Ghost, qui n'a pas une "spiritualité archaïque" (comme il dit), est enferré dans un raisonnement circulaire similaire, mais un peu différent de croyants en religions mieux circonscrites que son machin vague. Mais, il se heurte à un autre problème: s'il n'a pas le bon "niveau de conscience" (élevé, bien entendu

Dans son cas, il faut appliquer le principe de Hume: qu'offre-t-il permettant de croire qu'il ne s'illusionne pas lui-même ou ne tente pas de nous mentir? Et la réponse est: aucun argument rationnel, juste son "croyez-moi!".
Toujours vos problèmes de lecture et/ou de mémoire, aggravés par votre incapacité à comprendre: je dis juste que le "bien" et le "mal", ça n'existe pas vraiment. Il y a des choses qu'on considère comme "bonnes" et d'autres comme "mauvaises". Et si on le considère ainsi, c'est en partie parce que notre organisme est conçu comme il l'est (pour percevoir la douleur*, pour engendrer des réactions émotives, etc.) et en (grande) partie parce que nous vivons dans un environnement socio-culturel qui nous façonne.Gouroubignolles a écrit :Mon cher Jean Franconcon, il fut un temps où vous m'affirmiez qu'aucun concept moral ne pouvait résulter de quoi que ce soit d'inné et, encore moins, un amour spirituo-animique complètement abstrait.
* Par exemple, c'est parce que nous ressentons la douleur qu'on peut trouver que, "moralement", la douleur infligée à autrui c'est "mal". Sauf que dans certaines sociétés, ce n'est pas forcément "mal" (des interprétations religieuses permettent de considérer que de tuer ou torturer un "hérétique" est faire le bien).
Par contre, votre "amour spirituo-animique" est bien un sous-produit de votre chiasse verbale parfaitement irrationnelle. Qui, donc, ne sert qu'à enluminer votre discours de gourou à la manque mais à rien d'autre.
[quote="Gouroubignolles""]Pourriez-vous donc expliquer à vos camarades comment on peut trouver le sens du bien et l'amour animique dans les gènes, ça serait honnête et sympa de votre part[/quote]
Toujours vos problèmes de lecture et/ou de mémoire, aggravés par votre incapacité à comprendre: je vous ai déjà dit que je ne peux prouver quelque chose que vous affirmez vous. Si vous présentez les choses de manière aussi zozoe, je ne suis pas concerné. C'est à vous d'assumer votre épouvantail.
Jean-François