De maquillage sur les yeux ?

De maquillage sur les yeux ?
Présidentielle américaine : Kamala Harris assurée d'être la candidate des démocrates
Kamala Harris est désormais assurée de devenir la candidate des démocrates à l'élection présidentielle de novembre, après avoir recueilli le soutien de plus de la moitié des délégués lors d'un vote en ligne, a annoncé vendredi son parti.
La vice-présidente américaine s'est dite "honorée" d'avoir dépassé ce seuil avant la clôture du vote lundi. La quinquagénaire acceptera formellement cette investiture à la convention démocrate, prévue à Chicago, mi-août.
L’Américaine Simone Biles a retrouvé les sommets aux Jeux de Paris, étincelante de confiance et de décontraction, confirmant avec une sixième médaille d’or olympique sa stature de légende de la gymnastique artistique.
Quelques heures après sa victoire au concours général individuel de gymnastique artistique, l’Américaine a adressé une pique à Donald Trump. Elle a ainsi écrit en republiant deux photos d’elle posant avec sa nouvelle médaille d’or : « I love my black job », « j’aime mon travail de Noire » en français.
Ce tweet fait référence aux propos tenus par Donald Trump ce mercredi lors de son intervention à la convention de l’Association nationale des journalistes noirs. Comme l’explique BFM TV, Donald Trump avait répété une phrase déjà prononcée lors de son débat face à Joe Biden de juin, affirmant que les personnes migrantes qui franchissent la frontière sud des États-Unis « prennent les emplois des Noirs ». Invité à expliquer cette remarque Donald Trump avait ajouté : « Un emploi de Noir,c’est n’importe quelle minable,c’est n’importe qui, qui a un emploi. Voilà ce que c’est ».
Jean-Francois a écrit : 07 août 2024, 13:30 Excellente parodie de Mononk (en anglais mais avec sous-titres), qui expose tellement bien le ridicule de ses discours confus et creux que j'ai du mal à y voir une caricature.
https://www.bfmtv.com/tech/vie-numeriqu ... 60476.htmlJean-Francois a écrit : 31 juil. 2024, 14:26 Elle et son équipe de campagne ont trouvé un excellent angle d'attaque contre Mononk et Vance: dire qu'ils sont "bizarres" ("weird"). Ça n'est pas vraiment une insulte - ce qui serait s'abaisser au niveau du caniveau favori de Mononk - mais une manière de dénoncer leurs propos pour ce qu'ils sont. En plus, elle tourne souvent ça comme une question ("vous ne trouvez pas qu'ils sont bizarres?") de manière à ce que les gens eux-mêmes se fassent leur avis. Et autant Mononk que Vance leur donnent beaucoup de matière à répondre positivement à la question.
"Weird": pourquoi ce petit mot de Tim Walz, nouveau colistier de Kamala Harris, est repris par millions sur les réseaux sociaux
Quand on se présente comme un digne représentant de la grandeur de l’Amérique, on respecte forcement la loi de manière extrêmement stricte et rigoureuse, et donc on ne peut évidemment pas être condamné pour une pléthore d’actes qui méprisent cette loi.Les partisans de Kamala Harris, future candidate démocrate à l'élection présidentielle américaine, utilisent le mot "weird" sur les réseaux sociaux pour se moquer de Donald Trump. Depuis, le mot est devenu viral.
"Weird", ou plutôt "bizarre" en français. Cinq petites lettres qui font beaucoup parler d'elles sur les réseaux sociaux ces derniers jours. En effet, depuis que le mot a été lâché par les démocrates fin juillet, il revient en boucle sur Tiktok, X (ex-Twitter) et Instagram.
L’évidente bizarrerie de Trump
Weird, vraiment ? De tous les mots que contient l’Oxford English Dictionary, les démocrates ont choisi weird, bizarre, pour qualifier Donald Trump ? Même le principal intéressé n’en revient pas. « Personne ne m’a jamais qualifié de bizarre, s’est-il lamenté. Je suis beaucoup de choses, mais bizarre, je ne le suis pas ! »
Pour une fois, l’ancien président dit vrai, du moins à propos de ceci : il est beaucoup de choses. Au rayon des qualificatifs, ses adversaires démocrates avaient l’embarras du choix : menteur compulsif, criminel condamné, mégalomaniaque en puissance…
Ils ont jeté leur dévolu sur l’euphémisme du siècle : weird.
Ça peut sembler exagérément doux, anodin ou même… bizarre, mais, à la réflexion, il faut avouer que cette épithète correspond parfaitement à la réalité. On le sait depuis longtemps, cet homme-là est indubitablement étrange. Très, très weird.
C’est Tim Walz, gouverneur démocrate du Minnesota jusque-là relativement peu connu, qui a ouvert le bal, fin juillet : « Il y a des gens bizarres de l’autre côté, a-t-il laissé tomber, en entrevue à la télévision. Ils veulent retirer les livres [des bibliothèques], ils veulent être dans votre salle d’examen [chez le médecin]… »
Le mot a fait mouche. D’autres leaders démocrates se sont empressés de l’employer. Les médias américains l’ont décortiqué à pleines pages. Les réseaux sociaux se sont emballés. Si bien que ce seul mot, weird, a probablement contribué au choix de Kamala Harris de faire de Tim Walz son colistier.
C’est ainsi qu’en novembre, cet ancien prof pourrait être propulsé à la vice-présidence des États-Unis. Grâce à un mot. Bizarre, oui, mais pas tant que ça : manifestement, Tim Walz a touché une corde sensible. Pour une fois, les trumpistes semblent ébranlés. Frustrés, mais impuissants.
Comme le note le Los Angeles Times1, les démocrates pourraient bien avoir trouvé la kryptonite des républicains…
C'est bien trouvé me semble-t-il. Dans le cadre artificiel d'une campagne où les solgans, les petits noms et les argumens les plus stupides et les plus mensongers emportent l'adhésion d'électeurs indécis (voir même soulèvent l'enthousiasme d'électeurs acquis à une cause, piégés/aveuglés par un sentiment d'appartenance) et ont parfois ainsi plus d'impact que des raisonnements soigneusements construits, reposant sur des faits incontestables, ce qualificatif me semble être une trouvaille. Ca me fait penser au service à la cuiller de Tchang dans un match contre Lendl (Jean Paul Lot, le commentateur Français de l'époque était furax).
http://moserm.free.fr/moulinsart/images/sparadrap.gifABC a écrit : 10 août 2024, 18:25 J'ai l'impression que Trump c'est pris là le sparadrap du capitaine Haddock (cf. vol 714 pour Sidney). Pas facile de s'en débarasser. D'autant que ça lui va tellement bien même si c'est très très en dessous de la réalité.
Présidentielle américaine : l'artiste à l'origine de la mythique affiche "Hope" de Barack Obama crée une nouvelle œuvre pour Kamala Harris
Shepard Fairey n'avait pas réalisé d'affiche pour Hillary Clinton ni Joe Biden, mais il réitère son soutien aux démocrates pour l'élection présidentielle de novembre, créant une affiche similaire à celle réalisée pendant la campagne d'Obama en 2008.
Cette fois le message n'est plus "Hope" ("Espoir"), mais "Forward", qu'on peut traduire par "En avant". Kamala Harris est représentée dans les tons bleus, boucles d’oreilles et collier de perles, avec les lèvres rouges, regardant au loin vers l'avenir.
Sa voix éraillée est abominable, tout comme ses idées.
RFK Jr va mal depuis 2012.
Trump Implied Kamala Harris Exchanged Oral Sex for Career Boosts
Je crains qu’il se sait foutu et qu’il soit sur une pente dangereuse : fanatiser ses troupes et les inciter à faire pire qu’il y a quatre ans une fois la défaite validée.Aggée a écrit : 29 août 2024, 06:34 La démence semble évoluer à grand pas chez Donald Trump (attaque un peu « suicidaire », dans ses répercussions, par rapport à un électorat féminin élargi)
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