Le mental...Si tu veux réellement argumenter, il faudrait être au courant du contenu de son entrainement... et ce qui fait aussi s'améliorer les performances de décennie en décennie. Tu parles de mental, qu'est-ce qui fait progresser le mental des athlètes? Si ce n'est une meilleure condition mentale générée par une méthodologie de l'entraînement.
Je ne l'ignore pas, et ce dans plusieurs disciplines.
Ça fait des années que je lis des revues scientifiques sur le
sujet. J'ai cité Grégoire Millet, il y a aussi Véronique Billat, pour le sport.
Par curiosité, j'ai lu le livre suivant:




https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Gr%C3%A9goire_Millet... Parallèlement à ses activités dans le triathlon, il obtient son doctorat de sport et est nommé maître de conférences2. Après quatre années passées au Qatar comme senior physiologiste au sein de l'institut Aspire, il rejoint l’Institut des sciences du sport de l’Université de Lausanne en 20082 dont il est professeur de physiologie du sport. Dans ce champ scientifique, il est un chercheur francophone très prolifique 6. Ses travaux portent sur les réponses à l'exercice en altitude, les effets ergogéniques et thérapeutiques de l'hypoxie, la détermination de la fatigue et l'optimisation des méthodes d'entrainement chez le sujet sain. Il est également l'auteur de plusieurs livres sur la préparation physique et l'entrainement en altitude dans les sports d'endurance ou les sports collectifs.
Pas le premier venu. C'est un chercheur avec un ancrage dans la réalité puisqu'il est pratiquant.
https://science.triathlon.org/speaker/tbd/
Un Ironman, c'est 3,8 km de natation, 180 km de vélo, et 42 km de course à pied.
L'UTMB, 170 km, 10000 m de dénivelé positif, 20 heures pour les meilleurs.
Le Tor des géants, 330 km pour 24000 m+.
Millet a participé plusieurs fois.
Il a les pieds dans les deux pratiques : son travail de chercheur, ses interventions auprès d'autres personnes (entraînement de sportifs,...) et ses pratiques personnelles sur le terrain.
C'est l'un de ceux qui a effectué beaucoup de recherches sur le plan du mental, avec des liaisons entre le mental et la nutrition, des études sur les incidences...
Comme tu l'indiques pour ta pratique personnelle, il faut être "dedans", je confirme.
Ça me renvoie à un passage de grade "musclé". 35 ° à l'extérieur, à l'ombre. A l'intérieur, je ne sais pas. Vieille structure métallique, pas d'isolation, pas de climatisation.
Nous étions une promotion de 14, aucun n'a failli, et pourtant... Le genre de conditions qu'on refuserait en temps normal.
L'article de l'Express: tu as raison, il est réservé aux abonnés. Pourtant, j'ai réussi à le lire intégralement.
J'aurais dû l'enregistrer. Dommage, il était bien réalisé.
Quels points ?
Celui-ci par exemple :
Lesquels ?Se référer à des théories et des modèles et à la règlementation pour analyser et réguler les pratiques,
Ou
Comment ? Par rapport à quoi? Quelle évaluation et de quoi ?Réaliser des actions de consultance, d’expertise et d’audit via une évaluation élargie,