Mais quel immonde malhonnête personnage tu es. Je n'ai pas le temps de répondre dans les détails, mais ce seul passage demontre toute la filsdeputerie à laquelle tu t'adonnes de sans la moindre vergogne.Je souligne le problème de la charge de la preuve, c'est-à-dire comment déterminer au-delà de tout doute raisonnable l'occurrence d'un viol lorsqu'on a qu'une parole contre une autre et en bon idéologue malhonnête que tu es tu m'accuses de relativiser et mettre sur pied d'égalité violeur et victime. Question si demain une femme de ton entourage t'accuse de viol (ou de toute autre crime) penses-tu que les enquêteurs doivent la croire sur parole, ignorer la tienne et ne pas se soucier de preuves ou alors penses-tu qu'ils devraient enquêter et prouver les allégations? Réponds simplement à cette question si tu as encore une once d'honnêteté.Inso a écrit : 22 avr. 2025, 07:47relativiser le viol et à mettre sur un faux "pied d'égalité" la victime et le violeur.
Utilité de la prison? De la punition ?
Re: Utilité de la prison? De la punition ?
- Dominique18
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Re: Utilité de la prison? De la punition ?
Poncif éculé et répété à loisir: la justice est laxiste.Inso a écrit : 22 avr. 2025, 07:47 .....
La loi consentement est en cours de validation au sénat et j'espère bien qu'elle va passer, ça va aider les victimes et rendre la défense des violeurs plus difficile.
Dans ce cas, pourquoi se donne-t-elle les moyens de chercher à évoluer? (point de nombreuses fois évoqué dans cette discussion).
Lien d'Inso:
La recherche d'une société "parfaite", avec des réponses de type binaire, est une illusion récurrente entretenue avec un soubassement idéologique, qui varie suivant les desideratas personnels, les époques. La complexité de ces affaires juridiques a été maintes fois soulignée par les intervenants sur ce fil de discussion....La proposition de loi fait suite aux conclusions du rapport de la mission d'information, créée fin 2023 pour tenter d’apporter de nouvelles réponses au débat sur la définition pénale du viol. Ce débat a été relancé à l’occasion de la discussion d’une directive européenne sur la lutte contre les violences faites aux femmes.
Selon les députées auteures de ce rapport et de la proposition de loi, Marie-Charlotte Garin et Véronique Riotton, le code pénal doit être modifié car la définition du viol et des agressions sexuelles échoue dans ses trois grandes fonctions, répressive, protectrice et expressive :
- les agresseurs et leurs comportements violents ne sont pas sanctionnés ;
- les victimes ne sont pas correctement protégées ;
- le droit ne rend pas compréhensible l'interdit de jouir du corps d'autrui sans son accord.
Elles considèrent que si la jurisprudence a considérablement fait progresser l'appréhension judiciaire des violences sexuelles, l'interprétation que les juges font de la législation ne parvient pas à combler le silence de la loi sur la notion de consentement...
Il est beaucoup plus facile (et reposant pour l'esprit) d'opter vers le tout répressif sans nuances plutôt que de chercher à comprendre les multiples dynamiques inhérentes au fonctionnement des sociétés qui demandent des ajustements constants.
Il faut bien avoir en tête que le patriarcat, dans les sociétés modernes, européennes puisqu'il en est question, a perduré très longtemps, et que des comportements n'ont jamais été sanctionnés par la loi parce que la parole des victimes était occultée.
Dans le monde rural, il était courant (même si minoritaire) que les employées (voire les employés) soient abusés dans les exploitations agricoles, c'était une sorte de norme où l'omerta et le non-dit prédominait. Le droit de cuissage institutionnalisé... C'était de la faute des victimes qui avaient commis de toute façon commis un impair. Elles ne pouvaient pas compter sur le soutien de leurs familles par crainte du scandale, et de la perte de privilèges. Le patron était maître chez lui et avait tous les droits, en demeurant intouchable, d'autant plus que la taille de l'exploitation était importante.
Au fin fond des campagnes reculées, qui allait s'inquiéter de ce qui pouvait réellement s'y passer?
La libération de la parole n'est intervenue que très tardivement pour les victimes.
Idem pour les comportements déviants constatés au sein de l'Eglise, qui ont toujours eu lieu, et ce quelles que soient les époques (cf.Le nom de la rose, une fiction d'Umberto Eco qui va au-delà d'un simple fait d'imagination de son auteur).
A noter que le pape n'a jamais reçu Jean-Marc Sauvé responsable de la commission indépendante sur les abus sexuels dans l'Eglise (CIASE), ce qui est un comble. Cette rencontre n'est désormais plus possible, peut-être au cours du prochain pontificat? Combien de décennies de "culture" de l'omerta, avec abus multiples à la clé, et plusieurs centaines de milliers de victimes? Si ce n'est pas une "culture", ça s'en rapproche fortement.
Lien d'Uno:
https://actu.fr/auvergne-rhone-alpes/ly ... 29253.html
La justice n'est pas laxiste, elle suit un code de procédures imposé, code qui peut générer des contradictions formelles comme il est stipulé dans le lien d'Inso, contradictions reconnues par cette même justice qui travaille, cela prendra du temps, à les résoudre autant que faire se peut.INFO ACTU LYON. Un enfant âgé de 13 ans aurait été victime d’un viol à la piscine municipale Garibaldi de Lyon, dans le 3e arrondissement, lundi 7 avril 2025. Le suspect a été interpellé le jour-même.
La personne mise en cause a été présentée mercredi 9 avril par le parquet de Lyon à un juge d’instruction, avec réquisitions de mandat de dépôt, dans le cadre d’une information judiciaire ouverte du chef de viol sur mineur de 15 ans...
Le suspect a été mis en examen et placé sous contrôle judiciaire, assorti notamment d’une interdiction de se rendre dans les piscines et tous les établissements sportifs accueillant des mineurs ainsi que l’interdiction d’exercer une activité impliquant un contact avec des mineurs.
Les investigations se poursuivent sous l’autorité du magistrat instructeur...
Inso, comme la plupart des intervenants, a indiqué que la justice, dans sa globalité, était un outil fondamental (l'une des bases des sociétés démocratiques) pour réguler au mieux ces sociétés et permettre aux individus (aux citoyens) de vivre confortablement à l'intérieur des groupes sociaux et des structures sociétales. Demander à la justice de tout pouvoir résoudre quant aux dysfonctionnements constatés est illusoire, mais elle essaie cependant, avec les moyens dont elle dispose, suivant les pouvoirs qui lui sont accordés, de veiller au grain, et rien n'est plus difficile face à l'extrême dynamique actuelle des sociétés modernes qui engendre des situations qui augmentent en nombre.
Dernière modification par Dominique18 le 22 avr. 2025, 10:38, modifié 3 fois.
Re: Utilité de la prison? De la punition ?
Tss tss, ces insultes parce que j'ai juste souligné tes contradictions ? Mais quel snowflake tu fais !
Tss tss, pas bien de déformer les choses.uno a écrit : 22 avr. 2025, 08:15Question si demain une femme de ton entourage t'accuse de viol (ou de toute autre crime) penses-tu que les enquêteurs doiventla croire sur parole, ignorer la tienne et ne pas se soucier de preuvesou alors penses-tu qu'ils devraient enquêter et prouver les allégations? Réponds simplement à cette question si tu as encore une once d'honnêteté.

Je n'ai jamais dis qu'il faille "la croire sur parole, ignorer la tienne et ne pas se soucier de preuves ".
Bien évidemment qu'ils doivent enquêter. Mais statistiquement et en cas de doute, il faut accorder davantage de foi à la victime qu'à l'agresseur.
C'est d'ailleurs assez amusant de te voir exiger des condamnations perpétuelles pour un risque de récidive de 5% mais que tu refuses la parole des victimes pour 2 à 3% de faux témoignages

Franchement, sur le coup, tu n'es clairement pas cohérent, ça se voit gros comme le nez au milieu de la figure et tu le sais très bien. Alors évite la "sortie de secours" des insultes et de la vierge effarouchée s'il te plaît, c'est juste ridicule.
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Re: Utilité de la prison? De la punition ?
Dominique18 a écrit : 22 avr. 2025, 08:28 Il faut bien avoir en tête que le patriarcat, dans les sociétés modernes, européennes puisqu'il en est question, a perduré très longtemps, et que des comportements n'ont jamais été sanctionnés par la loi parce que la parole des victimes était occultée.

Et ça perdure encore, dans le showbiz, dans le clergé, dans les familles de M. et Mme Toutlemonde etc...
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Re: Utilité de la prison? De la punition ?
Dans le monde du sport par exemple... il a fallu combien de décennies pour que les choses bougent?Inso a écrit : 22 avr. 2025, 09:03Dominique18 a écrit : 22 avr. 2025, 08:28 Il faut bien avoir en tête que le patriarcat, dans les sociétés modernes, européennes puisqu'il en est question, a perduré très longtemps, et que des comportements n'ont jamais été sanctionnés par la loi parce que la parole des victimes était occultée.![]()
Et ça perdure encore, dans le showbiz, dans le clergé, dans les familles de M. et Mme Toutlemonde etc...
Effectivement, on ne peut pas parler "d'institutionnalisation", de "culture", si on cherche à jouer sur les termes et les structures pour continuer à dénoncer des types de sociétés qui présentent un fonctionnement pernicieux séculaire à l'opposé de nos valeurs démocratiques (droits des personnes, égalité femmes-hommes,...). Nous sommes cependant en présence de comportements humains où les échelles hiérarchiques de dominance, sous-jacentes, fonctionnent à plein pour couvrir ces agissements.
Si on réunit les différents domaines (clergé, sport, familles,....) nous obtenons, non plusieurs centaines de milliers de victimes, mais certainement plusieurs millions au cours des décennies écoulées.
Re: Utilité de la prison? De la punition ?
En cas de doute tu n'es justement pas sûr qu'il y a une victime et un agresseur, banane. Si demain on t'accuse de viol, et qu'il n'y a aucune preuve autre que la parole de celle qui t'accuse, les enquêteurs doivent te désigner et la justice te condamné en raison des pseudo-arguments statistiques que tu donnes ici? Encore une fois n'esquive pas et répond à la question.Inso a écrit : 22 avr. 2025, 08:46Mais statistiquement et en cas de doute, il faut accorder davantage de foi à la victime qu'à l'agresseur
Les non-lieus viennent de ce problème technique il faut être con pour penser qu'il s'agit là d'une culture du viol ou d'une non-volontée à croire les victimes, et tu sais parfaitement cela tu es simplement malhonnête.

Re: Utilité de la prison? De la punition ?
Voyons voir. Il y a peut-être eu des sondages.uno a écrit : 22 avr. 2025, 06:55Justement à part les viols faisant l'objet de condamnation on n'a pas vraiment idée du nombre réel des viols ainsi comptabilisé, Je ne peux pas corriger des chiffres qui demeurent par définition incertains.
Mais tu proclame sans l'ombre d'une hésitation que les juges sont laxistes envers les violeurs...uno a écrit : 22 avr. 2025, 06:55J'ignore totalement comment les viols ne faisant pas l'objet de plaintes ont été comptabilisé et on ignore totalement combien des plaintes pour viols faisant l'objet d'un non-lieu, étaient des viols ou des accusations mensongères (car cela hélas existent également).
Et il n'y aurait aucune contradiction ?
Le libre arbitre est à la causalité ce que le corps est à la physique
Re: Utilité de la prison? De la punition ?
Les violences sexuelles resteront toujours délicate a juger quand il n'y a ni témoin ni trace de violence. Dans un tribunal, on ne parle pas en terme de violeur et de victime mais d'accusé/accusation. La présomption d'innocence doit être respectée et une parole ne vaut pas plus qu'une autre (sauf si assermentée).Inso a écrit : 22 avr. 2025, 07:47 Donc tu es favorable à des peines à perpétuité systématiques contre les violeurs, mais tu nous sors tous les poncifs visant à discréditer / relativiser le viol et à mettre sur un faux "pied d'égalité" la victime et le violeur. Tu insistes aussi sur ces cas "impossibles à résoudre" car on ne prend pas en compte la parole des victimes, ouvrant ainsi un boulevard au laxisme judiciaire en la matière.
C'est complètement contradictoire.
Oui statistiquement, la parole des accusatrices est très largement plus fiable que celle des accusés. Mais ce n'est pas applicable en justice pénale qui requiert une culpabilité au dela de tout doute raisonnable. C'est différent en justice civile.
Mais pour autant, ca ne signifie pas que la justice fonctionne correctement pour les violences sexuelles et qu'il n'y a pas effectivement une culture du viol dans les institutions judiciaires.
En première ligne la police qui refuse simplement, en toute illégalité, d'enregistrer des plaintes, ou recoit les plaignantes de facon odieuse.
https://www.radiofrance.fr/franceinter/ ... on-4050339
https://www.lemonde.fr/idees/article/20 ... _3232.html
Re: Utilité de la prison? De la punition ?
Parfois je me demande comment vous faites pour balancer des chiffres comme démonstration sans jamais vous arrêter dessus et réfléchir deux minutes. Premièrement les 5% de récidives c'est parmi les violeurs déjà reconnus coupables. Donc les 95% qui ne récidiveraient pas (oui je met le conditionnel j'y reviens) sont des coupables avérés de viols.Inso a écrit : 22 avr. 2025, 08:46Tss tss, pas bien de déformer les choses.![]()
Je n'ai jamais dis qu'il faille "la croire sur parole, ignorer la tienne et ne pas se soucier de preuves ".
Bien évidemment qu'ils doivent enquêter. Mais statistiquement et en cas de doute, il faut accorder davantage de foi à la victime qu'à l'agresseur.
C'est d'ailleurs assez amusant de te voir exiger des condamnations perpétuelles pour un risque de récidive de 5% mais que tu refuses la parole des victimes pour 2 à 3% de faux témoignages.
Rien à voir avec 2% à 3% d'innocents banane.
Mais surtout vous prenez les 5% de récidives sans les remettre en perspective avec d’autres chiffres à savoir que la majorité des viols n'ont soit pas fait l'objet de plaintes soit on fait l'objet de non-lieu faute de preuves. Il ne vient pas à l'idée que le chiffre de 5% soit une très importante sous-estimation, et que de nombreux violeurs récidiveent sans entrer dans les statistiques. Relâcher des prédateurs dont on prouvé qu'ils sont des prédateurs ne semble pas te poser problème malgré un taux supposé de «seulement» 5%, en revanche vas-y que tu accuses malhonnêtement ton contradicteur de mettre sur le même plan violeurs et victimes quand il te rappelle simplement les difficultés pour les enquêteurs de démontrer l'occurrence d'un viol.
L'incohérence est de ton côté et tu le sais parfaitement c'est pour cela que tu as recours à une malhonnêteté à ka limite de la diffamation.

Re: Utilité de la prison? De la punition ?
Aucune d'ailleurs aucun n'explique ici quelles seraient mes contradictions. La difficulté technique à avérer l'occurrence d'un viol n'est pas une question de laxisme judiciaire. Le laxisme c'est remettre en liberté (après une peine ridicule) un violeur dont le ou les viol(s) ne fait/ne font aucun doute.
Re: Utilité de la prison? De la punition ?
En droit français, ça s'appelle un jugement suivant l'intime conviction du juge et c'est tout à fait valide. Le juge fait alors appel à différents éléments de l'enquête (psycho, témoignages...) qui ne constituent pas une preuve formelle mais qui peuvent être invoqués par le juge pour établir son jugement. La loi consentement va d'ailleurs aider les juges à mieux traiter ces cas.uno a écrit : 22 avr. 2025, 09:27 Si demain on t'accuse de viol, et qu'il n'y a aucune preuve autre que la parole de celle qui t'accuse, les enquêteurs doivent te désigner et la justice te condamné en raison des pseudo-arguments statistiques que tu donnes ici?
Ce que tu sembles décrire est la "common law" anglo-saxonne qui exige des preuves hors de tout doute raisonnable ou, suivant la formulation de Blackstone "il vaut mieux que dix coupables s'échappent plutôt qu'un seul innocent ne souffre."
Donc tu soutiens un laxisme judiciaire avant jugement et une répression la plus dure après jugement.

J'ai bien répondu à la question (que tu avais pourtant bien déformé). Il me semble que c'est surtout toi qui te contorsionnes sur ces points.
À te relire, je te vois bloqué dans une dissonance cognitive.
Coincé entre ton soutient de la répression la plus dure et l'impossibilité idéologique de soutenir une victime de viol (ce qui pourrait être interprété comme du #meeto voire du wokisme, l'horreur quoi).
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Re: Utilité de la prison? De la punition ?
Il va falloir des sources car un jugement sur l'intime conviction sans autre preuve que la personne qui accuse (et sans preuve physiqueou autrede l'occurrencedu crime), c'est juste dément, aucun rationaliste ne pourrait défendre cela et ensuite se dire qu'on est quand même vachement plus rationnel qu'à l'époque de l'inquisition. Donc si tu te faisais mettre au trou suite à une simple accusation car un juge avait l'intime conviction de ra culpabilité tu l'accepterais? Tu esquives toujours de répondre à la question. C'est dément et ne correspond très probablement pas à la réalité judiciaire de terrain. Mais comme tu es un malhonnête patenté tu parles de laxisme judiciaire pour désigner le fait qu'on ne peut condamné un individu faute de preuves attestant de l'occurrence du crime supposé. Tu redéfini les termes de manière orwellienne pour sauver ta narration mensongère et diffamatoire, tout en défendant qu'on relâche des violeurs avérés dans la nature.Inso a écrit : 22 avr. 2025, 11:19En droit français, ça s'appelle un jugement suivant l'intime conviction du juge et c'est tout à fait valide.
Re: Utilité de la prison? De la punition ?
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Re: Utilité de la prison? De la punition ?
Réitération de ton mensonge par confusion volontaire du soutien à une victime avérée, avec la question technique des enquêteur qui doivent justement déterminer que la personne qui accuse est bien la victime qu'elle dit être et que donc le crime à bien eu lieu. Tu as trouvé ici ton os à ronger en jouant à l'abruti finit à la pisse qui ne comprendrai pas ces deux situations/concepts alors que tu saisi très bien la différence mais tu décides sciemment de ne pas la faire. Aucune différence avec un créationniste qui fendrait ne oas comprendre la différence entre «transition» et «ancêtre».Inso a écrit : 22 avr. 2025, 11:19À te relire, je te vois bloqué dans une dissonance cognitive.
Coincé entre ton soutient de la répression la plus dure et l'impossibilité idéologique de soutenir une victime de viol (ce qui pourrait être interprété comme du #meeto voire du wokisme, l'horreur quoi).

Dernière modification par uno le 22 avr. 2025, 11:45, modifié 1 fois.
Re: Utilité de la prison? De la punition ?
Diatribe sans lien avec le sujetuno a écrit : 22 avr. 2025, 11:37 Réitération de ton mensonge
[...]
Tu as trouvé ici ton os à ronger en jouant à l'abruti finit à la pisse

Mais si ça te soulage

Si tu le dis

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Re: Utilité de la prison? De la punition ?
Dans l'article que tu met ici en lien est question explicitement de preuves rapportées, je doute que la seule accusation face office de preuve. Etc'est là tout le problème et toue la tragédie de nombreux cas de viols et la nécessité de chercher des moyens pour permettre aux victimes potentiels d'avoir des preuves au cas où leur chemin croiserait celui d'un violeur. Bref non Inso on ne peut condamné une personne au trou sans autre preuve qu'une accusation d'un événement dont on peut prouvé l'occurrence. Surtout qu'en droit il y a une autre notion celui du doute raisonnable.
Re: Utilité de la prison? De la punition ?
A Uno
Une personne qui a fini sa peine, elle a réglé sa dette. Si tu souhaites sacrifier 95% de personne par principe de précaution alors tu ne devrais logiquement pas à avoir de mal à sacrifier quelque % de personnes innocentes par rapport aux témoignages véridiques et faux évoquées ci-dessus.
Si tu fais une différence, c'est en grande partie, car dans ces 95 % de personnes qui ne récidivent pas, ils ne sont pas des personnes à tes yeux mais des ordures ou monstres dégénérés.
Et sinon, sans parler du principe de précaution, mais de peine encourue en fonction du préjudice causé.
Allonger la peine car la société/juges trouvent que c'est trop peu cher payé par rapport au préjudice provoqué, pourquoi pas, mais entre rajouter quelques années et perpétuité, il y a une belle différence.
Ces coupables ont eux même été majoritairement victimes par le passé (sans forcément passé par la case tribunal). Tu écartes l'histoire de l'individu d'un revers de main alors qu'elle permet souvent en grande partie de comprendre le cheminement, l'évolution sombre ... bref les facteurs déterminants qui ont influencé la personne X à commettre X préjudices.
Pour moi, au lieu de parler de personne monstrueuse/d'ordure, tu devrais parler d'acte monstrueux. En étiquetant une personne de monstre/ordure, tu favorises (si la société entière faisait comme toi) à ce que la personne s'identifie comme telle diminuant ainsi, la probabilité que la personne redevienne saine d'esprit/moins agité/moins violente.
Faire ce genre d'étiquetage, même dans un scénario de prison à vie, pourrait donc d'une certaine manière augmenter le nombre de victime quand on sait qu'une grande partie des actes violents ne vont pas jusqu'au tribunal (soit par faute de preuve comme évoqué soit car pas de plaintes effectuées). Une personne redevenant "saine d'esprit"/guérie/moins violente a moins de chance de continuer à réaliser des vices que des personnes qui s'identifient comme des monstres.
Une personne qui a fini sa peine, elle a réglé sa dette. Si tu souhaites sacrifier 95% de personne par principe de précaution alors tu ne devrais logiquement pas à avoir de mal à sacrifier quelque % de personnes innocentes par rapport aux témoignages véridiques et faux évoquées ci-dessus.
Si tu fais une différence, c'est en grande partie, car dans ces 95 % de personnes qui ne récidivent pas, ils ne sont pas des personnes à tes yeux mais des ordures ou monstres dégénérés.
Et sinon, sans parler du principe de précaution, mais de peine encourue en fonction du préjudice causé.
Allonger la peine car la société/juges trouvent que c'est trop peu cher payé par rapport au préjudice provoqué, pourquoi pas, mais entre rajouter quelques années et perpétuité, il y a une belle différence.
Ces coupables ont eux même été majoritairement victimes par le passé (sans forcément passé par la case tribunal). Tu écartes l'histoire de l'individu d'un revers de main alors qu'elle permet souvent en grande partie de comprendre le cheminement, l'évolution sombre ... bref les facteurs déterminants qui ont influencé la personne X à commettre X préjudices.
Pour moi, au lieu de parler de personne monstrueuse/d'ordure, tu devrais parler d'acte monstrueux. En étiquetant une personne de monstre/ordure, tu favorises (si la société entière faisait comme toi) à ce que la personne s'identifie comme telle diminuant ainsi, la probabilité que la personne redevienne saine d'esprit/moins agité/moins violente.
Faire ce genre d'étiquetage, même dans un scénario de prison à vie, pourrait donc d'une certaine manière augmenter le nombre de victime quand on sait qu'une grande partie des actes violents ne vont pas jusqu'au tribunal (soit par faute de preuve comme évoqué soit car pas de plaintes effectuées). Une personne redevenant "saine d'esprit"/guérie/moins violente a moins de chance de continuer à réaliser des vices que des personnes qui s'identifient comme des monstres.
Re: Utilité de la prison? De la punition ?
Ben non sacrifier des personnes innocentes y compris des gamins à des ordures dégénérées n'est pas acceptable, condamner à perpétuité des dégénéré voilà un sacrifice acceptable. Mes valeurs c'est de s'organiser pour le bien-être des citoyens innocents en sacrifiant les violeurs, les tiennes c'est de sacrifier une part des citoyens innocents au bénéfice du bien-être des violeurs. C'est toute la folie de notre monde contemporain. Sinon je ne vais pas me répéter sur les doutes légitimes autour du chiffre de 5%, car ne concernant que les viols de récidivistes qui ont été enregistré.shisha a écrit : 22 avr. 2025, 14:23 A Uno
Une personne qui a fini sa peine, elle a réglé sa dette. Si tu souhaites sacrifier 95% de personne par principe de précaution alors tu ne devrais logiquement pas à avoir de mal à sacrifier quelque % de personnes innocentes par rapport aux témoignages véridiques et faux évoquées ci-dessus.
Re: Utilité de la prison? De la punition ?
Ces personnes dégénérées étaient également inoncentes à un moment donné, et ont été probablement souilllé sans que toi ou la justice n'eu été là pour la protéger. Pire, peut-être qu'elle a été souillé par une personne qui aurait pu guérir/redevenir + saine si la société d'Uno ne l'avait pas encouragé par étiquetage à s'identifier comme un monstre (et donc continuer à perpétuer ces actes).uno a écrit : 22 avr. 2025, 14:42Ben non sacrifier des personnes innocentes y compris des gamins à des ordures dégénérées n'est pas acceptable, condamner à perpétuité des dégénéré voilà un sacrifice acceptable. Mes valeurs c'est de s'organiser pour le bien-être des citoyens innocents en sacrifiant les violeurs, les tiennes c'est de sacrifier une part des citoyens innocents au bénéfice du bien-être des violeurs. C'est toute la folie de notre monde contemporain. Sinon je ne vais pas me répéter sur les doutes légitimes autour du chiffre de 5%, car ne concernant que les viols de récidivistes qui ont été enregistré.shisha a écrit : 22 avr. 2025, 14:23 A Uno
Une personne qui a fini sa peine, elle a réglé sa dette. Si tu souhaites sacrifier 95% de personne par principe de précaution alors tu ne devrais logiquement pas à avoir de mal à sacrifier quelque % de personnes innocentes par rapport aux témoignages véridiques et faux évoquées ci-dessus.
Re: Utilité de la prison? De la punition ?
On est tous innocents au début de notre vie mais ensuite nous faisons des choix dont il faut assumer les conséquences. Si on fait le choix d'être un monstre il faut s'attendre à être traité comme tel. Les violeurs ont choisi de violer, aucune excuse, et on ne prend plus le risque de les laisser dans la nature. Le monstre ne peut nuire que si il est libre.shisha a écrit : 22 avr. 2025, 14:49Ces personnes dégénérées étaient également inoncentes à un moment donné, et ont été probablement souilllé sans que toi ou la justice n'eu été là pour la protéger. Pire, peut-être qu'elle a été souillé par une personne qui aurait pu guérir/redevenir + saine si la société d'Uno ne l'avait pas encouragé par étiquetage à s'identifier comme un monstre (et donc continuer à perpétuer ces actes).
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Re: Utilité de la prison? De la punition ?
Tout à fait.Inso à uno a écrit : 22 avr. 2025, 07:47 Donc tu es favorable à des peines à perpétuité systématiques contre les violeurs, mais tu nous sors tous les poncifs visant à discréditer / relativiser le viol et à mettre sur un faux "pied d'égalité" la victime et le violeur. Tu insistes aussi sur ces cas "impossibles à résoudre" car on ne prend pas en compte la parole des victimes, ouvrant ainsi un boulevard au laxisme judiciaire en la matière.
C'est complètement contradictoire.
Accessoirement, tous ces poncifs que tu nous sors sont typiques de la culture du viol.
"Par le saumon qui se meut!.. I want my food!.. Slice me tender"..
Re: Utilité de la prison? De la punition ?
Ce qui est effrayant, c'est à quel point tes certitudes sont sélectives.uno a écrit : 22 avr. 2025, 15:29 On est tous innocents au début de notre vie mais ensuite nous faisons des choix dont il faut assumer les conséquences. Si on fait le choix d'être un monstre il faut s'attendre à être traité comme tel. Les violeurs ont choisi de violer, aucune excuse, et on ne prend plus le risque de les laisser dans la nature. Le monstre ne peut nuire que si il est libre.
Tu es certain que les juges se trompent où pire sont complaisants avec les violeurs.
Tu es certain que les monstres ont fait le choix d'être des monstres (note que c'est une question hors sujet. Qu'un monstre soit ou non responsable de son état ne change rien à la nécessité d'en protéger les victimes potentielles ! Mais pour toi, visiblement, la qualification d'ordure ou de monstre revêt une importance irréductible...).
Mais tu n'es pas certain qu'on puisse avoir une estimation du nombre de viols qui vaille comme base de réflexion. (Alors que tu n'hésite généralement pas à faire parler les sondages bien au delà de ce qu'ils sont capables de révéler.)
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Re: Utilité de la prison? De la punition ?
J'hésite entre la mauvaise foi la plus débridée ou l'aveuglement idéologique enfoncé dans votre inconscient à coups de masse. Tu approuves un malhonnête qui m'accuse de mettre victimes et violeurs sur un pied d'égalité, assertion mensongère qu'aucune personne de bonne foi (et ayant le minimum en termes de capacités cognitives) ne peut décemment lire/comprendre/deviner de mes propos, surtout après mes rappels et précisions. Un bel exemple de comment vos désaccords idéologiques avec ma petite personne vous font oublier toute décence intellectuelle et comme toujours je pèse mes mots.
Dernière modification par uno le 22 avr. 2025, 15:55, modifié 1 fois.
Re: Utilité de la prison? De la punition ?
Ça dépasse les seuls juges, le fait que la loi permette la remise en liberté de détraqués violents et dangereux est déjà un problème.jean7 a écrit : 22 avr. 2025, 15:43Tu es certain que les juges se trompent où pire sont complaisants avec les violeurs.
Donne-moi une seule raison de ne pas qualifier un violeur d'enfants ainsi. Pour le reste lorsqu'on remet en liberté des dégénéré pareil on prend le risque à ce que des innocents soient à nouveau violés voir pire.jean7 a écrit : 22 avr. 2025, 15:43Tu es certain que les monstres ont fait le choix d'être des monstres (note que c'est une question hors sujet. Qu'un monstre soit ou non responsable de son état ne change rien à la nécessité d'en protéger les victimes potentielles ! Mais pour toi, visiblement, la qualification d'ordure ou de monstre revêt une importance irréductible...).
Re: Utilité de la prison? De la punition ?
Question.
Selon https://www.justice.gouv.fr/sites/defau ... damnes.pdf,
Il y a récidive légale :
- En matière délictuelle, quand, après une première condamnation pour un délit, suit dans un délai de cinq ans une nouvelle
condamnation pour le même délit, ou un délit assimilé par la loi.
- En matière criminelle, après une première condamnation pour un crime ou un délit puni de 10 ans d’emprisonnement, suit
une nouvelle condamnation pour un crime (art. 132-8 du Code pénal), sans limite de délai
Donc, un gars qui prend pour 10 ans pour un motif non sexuel (ok, c'est pas un ange !)...
Qui comment un crime sexuel à sa sortie de taule...
Il rentre ou non dans les 5% de violeurs récidiviste ?
(je n'ai pas la réponse)
Selon https://www.justice.gouv.fr/sites/defau ... damnes.pdf,
Il y a récidive légale :
- En matière délictuelle, quand, après une première condamnation pour un délit, suit dans un délai de cinq ans une nouvelle
condamnation pour le même délit, ou un délit assimilé par la loi.
- En matière criminelle, après une première condamnation pour un crime ou un délit puni de 10 ans d’emprisonnement, suit
une nouvelle condamnation pour un crime (art. 132-8 du Code pénal), sans limite de délai
Donc, un gars qui prend pour 10 ans pour un motif non sexuel (ok, c'est pas un ange !)...
Qui comment un crime sexuel à sa sortie de taule...
Il rentre ou non dans les 5% de violeurs récidiviste ?
(je n'ai pas la réponse)
Le libre arbitre est à la causalité ce que le corps est à la physique
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