L'astro-chronobiologie, ensemble et cohérence
L'astro-chronobiologie, ensemble et cohérence
Principes de base à l'Astro-chronobiologie
par Roger Héquet
(Extrait du Temps sidéral Vécu)
Historiquement, les bases de "l'astro-chronobiologie" : terme générique original qui dans mon esprit se devrait de faire le lien on l'aura compris entre l'astrologie et la chronobiologie, sont nées la nuit du 18 au 19 Avril 1995 d'une quasi révélation, une intuition, un cadeau de la providence peut-être, j'aime surtout à le croire, qu'accompagnaient aussi 15 ans de passion pour l'astrologie; 15 ans de recherches. S'en suivirent trois années de vérifications étendues aux domaines les plus variés, et d'expérimentations systématiques. Depuis, les bases ainsi découvertes se sont constituées en système plus complexe.
Depuis près d'un demi-siècle, contemporaine de Bergson et de sa première perception de la "durée", la Chronobiologie n'a de cesse de nous faire connaître la réalité d'autres "temps", d'autres dynamiques internes à nos fonctionnements, au moyen de ce que nous nommons désormais des horloges biologiques internes. De véritables horloges régulatrices de la quasi-totalité, en l'état actuel de nos connaissances, de nos fonctions humaines. Je suis maintenant convaincu que le zodiaque est, depuis des millénaires, la plus ancienne et la plus parfaite représentation symbolique d'une de ces horloges. Le thème astrologique en est l'écran sur lequel le temps, au moyen de mesures extrêmement précises, marque, sanctionne chacun de nos jours à vivre en nous emportant au-devant de ces rendez-vous "hasardeux" qui jalonnent une destinée "inexpliquée" : celle de chacun.
L'astro-chronobiologie, avec ce que je démontrerai dans les pages suivantes de sa réalité d'exécution qui fait qu'une astrologie évènementielle ou prédictive est possible, mathématiquement mesurable, reste sans aucun doute encore à confronter aux théories scientifiques généralistes, explicatives de la physique de notre univers.
Sans, oh combien, me prévaloir de cette connaissance précise des éléments dont disposent les astrophysiciens ou biologistes pour permettre une explication physique du phénomène, je me suis pourtant risqué à adjoindre aux conséquences de cette expérimentation un principe simple. Une théorie de base :
En chacun de nos gènes serait inscrit le patrimoine d'un "instant universel". La mesure d'un "temps" de l'Univers et de sa "forme", son espace. L'homme serait en cela ce que la physique nomme un espace-temps sujet. En l'instant de sa naissance à la vie serait contenue en puissance une sorte d'identité "idéale" particulière, spécifique à chacun. En puissance dans le sens où la mesure humaine d'une identité quelconque est toujours fonction du "Je" alors que, nous dit Raymond Ruyer, philosophe des sciences : " Ce n'est pas le "je" qui fait la présence, c'est la présence qui fait le "je". Je n'est que "Je ici et maintenant". Ainsi pour parvenir à soi, au pleinement soi, à cet idéal de soi, il nous appartiendrait de participer à la vie, d'être dans sa présence. D'être en situation.
Le carte du ciel astrologique serait la transcription symbolique du parcours propre à chacun d'entre nous pour l'emmener au-devant de ces "ici et maintenant" qui lui seront plus particulièrement destinés.
Une fois cet instant inscrit dans notre patrimoine génétique, cette Idée de soi, cet "ici et maintenant cosmique", ce "Je cosmologique premier" nous aura donc dotés d'une sorte de "seconde" nature. Sidérale. Sans doute au moins aussi intransigeante que celle que nous revendiquons à chacune de nos "fatigues émotionnelles". Nous n'aurions alors de cesse, du premier aux derniers de nos jours, de tenter de nous dépasser pour l'atteindre. De nous éloigner, en conscience, du premier de nos jours détenteur de seules promesses, pour en saisir l'opposé; quelques fruits au moins. Chacun de nous faisant en sorte dans l'intention de chacun de ses pas, et tout au long de son existence, de donner vie, de la rationalité, une réalité à ce qui serait humainement parlant : un bonheur d'être, potentiel. L'Idée de son bonheur. En cela le vivant serait essentiellement "pragmatique".
Platon le constatait déjà : l'intention et son fait, le sens de soi, peut être un moteur essentiel, pratique à notre existence. L'Idée, l'origine de l'intention, le Principe biblique, ce que les Kabbalistes nomment le Yod - première lettre du nom sacré de Dieu qui en compte quatre : ce nombre étant celui de la Réalisation - cette Idée donc pourrait en être le moteur essentiel, fondamental.
Il y a ainsi une idée dans tout nombre. Entre soi et l'autre comme étant le premier de ces nombres, comme dans tout l'univers dans lequel l'espace et le temps se disputent leur participation à l'équilibre de l'ensemble de leur milieu.
Le témoignage de ce combat nous est donné en astrologie par Pluton qui puise dans nos espaces intérieurs les plus profonds, de quoi alimenter notre continuité temporelle. Ainsi, plus grande sera la connaissance de Soi, de ces espaces sidéraux dont nous sommes porteurs, de ces profondeurs que nous finirons généralement par "raisonner", plus nous disposerons du temps pour les "habiter". Les "exister".
Pascal soulignait que la mémoire était nécessaire pour toutes les opérations de la raison. Comment pourtant réfléchir ce qui n'est pas encore, sinon parce que nous sommes en effet des êtres pour le moins raisonnants faute d'être tout à fait raisonnables, ayant les moyens d'une connaissance anticipée, préalable de l'effectif, de la "réalité" qui nous servira de miroir ?
L'utilisation des statistiques, des sondages en sociologie qui tendent, à des fins bien que plus limitées, à cette connaissance anticipée d'ensembles socioculturels précis, préalable de ce que sera ici le parcours de "chacun et de ses semblables", puise dans la même intuition d'un "a priori" spécifique des besoins ou désirs humains. Ce sera ainsi dans l'appréhension et dans l'étude de cette même "mémoire utile" caricaturée de ces groupes qu'il pourra être extrait, en matière de commerce par exemple, des "raisons" pour ces groupes d'acheter tel ou tel produit, dans telle ou telle circonstance ; ou, des raisons de se comporter de telle manière, confrontés à quelque situation particulière ...
En matière d'existence en d'autres dimensions alors, cette mémoire devenue "d'utilité essentielle", sa connaissance possible et la raison qu'elle supposera aussi à chacun de nos pas, l'intelligence qu'elle prétendra à nos parcours et la sérénité que cette intelligence porte en conséquence, ne saurait être déposée qu'au plus profond de nous-mêmes, et à l'instant des premiers effets d'une cause première ... Dans notre génétique, et à l'instant de notre naissance ! Dans une fonction que j'appellerai de "durée fondamentale" qui serait dépositaire de notre patrimoine existentiel, de la continuité de nos existences, et de son sens. Du Karma, dira le Bouddhiste.
Pour Bergson, la durée serait tension et "mesurerait précisément la puissance d'agir, la quantité d'activité libre et créatrice qu'un être peut introduire dans le monde". De cette tension - qui, en psychologie servirait de base névrotique - j'en aurais extrait certaines forces qui la sous-entendent. Une dynamique en conséquence, dont l'astrologie j'en suis pleinement certain nous en permet symboliquement la lecture. La mesure existentielle. Son parcours et sa finalité. Lorsque le rêve ne nous en donnerait peut-être lui, qu'un aperçu désordonné, dans l'absence où nous serions du temps "ordinaire" sur lequel se structure notre conscience.
"Il est de l'essence des choses de l'esprit" reprend Bergson, "de ne pas se prêter à la mesure. Le premier mouvement de la science moderne devrait donc être de chercher si l'on ne pourrait pas substituer aux phénomènes de l'esprit certains phénomènes qui en fussent les équivalents et qui seraient mesurables". C'est ce que, astrologue, je me suis toujours efforcé de faire.
Ce sont maintenant des milliards d'étoiles et de galaxies qui nous partagent le vivant dont nous sommes porteurs, alors n'en doutons pas : quelque idée ou principe est derrière tout cela comme derrière toute relation à l'autre. Relations d'attraction, de répulsion, d'attention, de nécessité ... De nécessité organique. Sexuelle sans doute.
Ajoutons que ce n'est pas la complexité de l'humain, la logique qu'il déploie qui "crée" le vivant; mais c'est parce que le vivant est complexe et qu'il suit ainsi une logique fondatrice de toute complexité que l'homme est apparu ! Fallait-il encore quelque nécessité à ce phénomène, au processus qui déclencha de telles forces pour que, des conséquences d'un instant d'équilibre absolu, durable infiniment alors, l'univers poursuive son expansion. Idéalement. En "Principe". Intelligemment.
Devenus vivants, plus exactement existants, notre génétique, de même que sur un registre d'état civil, enregistrera ainsi nos lieux et dates de naissance. Non pas bien sûr ici en terme de région, de ville et d'heure, de territoire; mais en celui, générique, d'Espace et de Temps. Mesures de valeurs absolues.
Peut-être cet espace est-il uniquement celui de notre système solaire, comme l'astrologie actuelle le considère ? Peut-être est-il universel, comme je le pense. Sans avoir bien entendu les moyens de sa mesure.
Le Temps auquel je pense ne se mesurera plus lui qu'en terme de durée. Sa seule "préoccupation" sera dès lors de coller toujours à sa réalité première. A sa nature. Son origine. C'est le temps de l'Etre et de la connaissance des infrastructures vitales de celui-ci. Du savoir de la nécessité de sa présence dans le processus du vivant.
Il ne s'agit donc plus du temps linéaire dit "horizontal", commun, sur lequel nous fondons généralement nos démarches essentielles et l'ambition qui les habitent. Il ne s'agit plus ainsi, de ce temps "spatial", Neptunien, au sein duquel l'Espace est encore seul fondamental, jusqu'à sa stabilité : le commencement de sa durée. D'un peu alors, d'éternité. Non pas d'un temps qui passe, et qui fait dès lors dans notre monde que l'autre reste séparé de soi, dans une logique "individualiste", étymologiquement "diabolique" : le "Diable" étant "celui" qui sépare. Toujours pas non plus d'un temps que j'appellerai "d'information préalable" auquel nos existences ont appris ou apprennent à se mesurer et qui, d'êtres essentiels que nous sommes, nous forme au seul projet existentiel, nous substitue à son image et nous offre désormais en guise ici d'éternité : le souvenir. Et pour tout avenir : la raison, son prolongement naturel ...
Il ne s'agira ici que du temps de soi : de sa durée d'être. Comme à la suite d'un processus d'absorption de l'espace dans le temps, celle ci tendra à plutôt faire "glisser", progresser l'autre au plus près de soi, au plus près d'une origine devenant, redevenant commune. Ce "temps en puissance", cette dynamique de l'espace sans autre itinéraire que celui de l'Idée qui lui donna naissance agira verticalement, sur le parcours peut-être des champs de forces unissant ce que les bouddhistes nomment : les "chakras". Son "mouvement" allant ainsi du Soi au moi, et inversement. Du principe, à son incarnation. De ce que je suis, à celui que je connais. Sans cesse. Au gré peut-être alors de notre respiration.
Sans ce principe ultime et fondamental de la durée attaché aux processus du vivant et qui fait que l'univers n'est pas seulement progressiste mais aussi évolutif, qualitatif et non plus uniquement quantitatif, il n'y aurait de même pas d'état de conscience. Pas d'intelligence. Pas de vie. De la force d'inertie. Fixer nos intentions sur les choses, de soi et d'ailleurs, c'est ce que la durée fait de mieux !
D'un point de vue métaphysique, sa mesure est bien entendu l'éternité. Sa mesure physique sera l'infini.
L'existence semble être une sorte de contraction ou, en langage informatique : de compression, de cette éternité essentielle. De cet infini "mesurable" dans son idéal. En cela la conscience humaine est le produit de la confrontation de cette Idée de soi à une réalité donnée comme hors de Soi. Son complément. Avoir conscience c'est comme laisser un peu de place en soi, pour l'autre. Objet ou sujet. On se sert un peu. Humains, nous portons les signes de l'immensité de l'univers et du vivant qui l'anime ; nous en portons le sens. Mais du fait de cette contraction, de cette place donnée à ce qui n'est pas soi, "quelques fichiers" nécessaires à sa lecture nous sont cachés. La science "passe son temps" à chercher à les "décompacter". Je fais de même.
Il est intéressant d'observer symboliquement que l'arrivée de la vie sur terre d'un nourrisson s'annonce toujours, à quelques rares exceptions, par les contractions de sa mère.
L'hors de soi, le monde qui nous entoure et c'est sans doute assez paradoxal, est plus limité que ce qui nous compose. Sans aller bien sûr jusqu'à faire de cette réalité extérieure le produit exclusif d'une projection mentale de notre part; mais l'autre est "seulement" une nécessité de soi. Son existant. Sa forme : la mesure de son espace.
Nous inscrire ainsi dans l'existence oblige de la même manière à une contraction de ce que je nomme notre identité cosmologique. Notre identité essentielle. De même, que de verser de l'eau dans un vase, obligera l'eau à se contracter. La forme de ce vase, ou du récipient, donne son sens à l'eau qu'il contiendra.
par Roger Héquet
(Extrait du Temps sidéral Vécu)
Historiquement, les bases de "l'astro-chronobiologie" : terme générique original qui dans mon esprit se devrait de faire le lien on l'aura compris entre l'astrologie et la chronobiologie, sont nées la nuit du 18 au 19 Avril 1995 d'une quasi révélation, une intuition, un cadeau de la providence peut-être, j'aime surtout à le croire, qu'accompagnaient aussi 15 ans de passion pour l'astrologie; 15 ans de recherches. S'en suivirent trois années de vérifications étendues aux domaines les plus variés, et d'expérimentations systématiques. Depuis, les bases ainsi découvertes se sont constituées en système plus complexe.
Depuis près d'un demi-siècle, contemporaine de Bergson et de sa première perception de la "durée", la Chronobiologie n'a de cesse de nous faire connaître la réalité d'autres "temps", d'autres dynamiques internes à nos fonctionnements, au moyen de ce que nous nommons désormais des horloges biologiques internes. De véritables horloges régulatrices de la quasi-totalité, en l'état actuel de nos connaissances, de nos fonctions humaines. Je suis maintenant convaincu que le zodiaque est, depuis des millénaires, la plus ancienne et la plus parfaite représentation symbolique d'une de ces horloges. Le thème astrologique en est l'écran sur lequel le temps, au moyen de mesures extrêmement précises, marque, sanctionne chacun de nos jours à vivre en nous emportant au-devant de ces rendez-vous "hasardeux" qui jalonnent une destinée "inexpliquée" : celle de chacun.
L'astro-chronobiologie, avec ce que je démontrerai dans les pages suivantes de sa réalité d'exécution qui fait qu'une astrologie évènementielle ou prédictive est possible, mathématiquement mesurable, reste sans aucun doute encore à confronter aux théories scientifiques généralistes, explicatives de la physique de notre univers.
Sans, oh combien, me prévaloir de cette connaissance précise des éléments dont disposent les astrophysiciens ou biologistes pour permettre une explication physique du phénomène, je me suis pourtant risqué à adjoindre aux conséquences de cette expérimentation un principe simple. Une théorie de base :
En chacun de nos gènes serait inscrit le patrimoine d'un "instant universel". La mesure d'un "temps" de l'Univers et de sa "forme", son espace. L'homme serait en cela ce que la physique nomme un espace-temps sujet. En l'instant de sa naissance à la vie serait contenue en puissance une sorte d'identité "idéale" particulière, spécifique à chacun. En puissance dans le sens où la mesure humaine d'une identité quelconque est toujours fonction du "Je" alors que, nous dit Raymond Ruyer, philosophe des sciences : " Ce n'est pas le "je" qui fait la présence, c'est la présence qui fait le "je". Je n'est que "Je ici et maintenant". Ainsi pour parvenir à soi, au pleinement soi, à cet idéal de soi, il nous appartiendrait de participer à la vie, d'être dans sa présence. D'être en situation.
Le carte du ciel astrologique serait la transcription symbolique du parcours propre à chacun d'entre nous pour l'emmener au-devant de ces "ici et maintenant" qui lui seront plus particulièrement destinés.
Une fois cet instant inscrit dans notre patrimoine génétique, cette Idée de soi, cet "ici et maintenant cosmique", ce "Je cosmologique premier" nous aura donc dotés d'une sorte de "seconde" nature. Sidérale. Sans doute au moins aussi intransigeante que celle que nous revendiquons à chacune de nos "fatigues émotionnelles". Nous n'aurions alors de cesse, du premier aux derniers de nos jours, de tenter de nous dépasser pour l'atteindre. De nous éloigner, en conscience, du premier de nos jours détenteur de seules promesses, pour en saisir l'opposé; quelques fruits au moins. Chacun de nous faisant en sorte dans l'intention de chacun de ses pas, et tout au long de son existence, de donner vie, de la rationalité, une réalité à ce qui serait humainement parlant : un bonheur d'être, potentiel. L'Idée de son bonheur. En cela le vivant serait essentiellement "pragmatique".
Platon le constatait déjà : l'intention et son fait, le sens de soi, peut être un moteur essentiel, pratique à notre existence. L'Idée, l'origine de l'intention, le Principe biblique, ce que les Kabbalistes nomment le Yod - première lettre du nom sacré de Dieu qui en compte quatre : ce nombre étant celui de la Réalisation - cette Idée donc pourrait en être le moteur essentiel, fondamental.
Il y a ainsi une idée dans tout nombre. Entre soi et l'autre comme étant le premier de ces nombres, comme dans tout l'univers dans lequel l'espace et le temps se disputent leur participation à l'équilibre de l'ensemble de leur milieu.
Le témoignage de ce combat nous est donné en astrologie par Pluton qui puise dans nos espaces intérieurs les plus profonds, de quoi alimenter notre continuité temporelle. Ainsi, plus grande sera la connaissance de Soi, de ces espaces sidéraux dont nous sommes porteurs, de ces profondeurs que nous finirons généralement par "raisonner", plus nous disposerons du temps pour les "habiter". Les "exister".
Pascal soulignait que la mémoire était nécessaire pour toutes les opérations de la raison. Comment pourtant réfléchir ce qui n'est pas encore, sinon parce que nous sommes en effet des êtres pour le moins raisonnants faute d'être tout à fait raisonnables, ayant les moyens d'une connaissance anticipée, préalable de l'effectif, de la "réalité" qui nous servira de miroir ?
L'utilisation des statistiques, des sondages en sociologie qui tendent, à des fins bien que plus limitées, à cette connaissance anticipée d'ensembles socioculturels précis, préalable de ce que sera ici le parcours de "chacun et de ses semblables", puise dans la même intuition d'un "a priori" spécifique des besoins ou désirs humains. Ce sera ainsi dans l'appréhension et dans l'étude de cette même "mémoire utile" caricaturée de ces groupes qu'il pourra être extrait, en matière de commerce par exemple, des "raisons" pour ces groupes d'acheter tel ou tel produit, dans telle ou telle circonstance ; ou, des raisons de se comporter de telle manière, confrontés à quelque situation particulière ...
En matière d'existence en d'autres dimensions alors, cette mémoire devenue "d'utilité essentielle", sa connaissance possible et la raison qu'elle supposera aussi à chacun de nos pas, l'intelligence qu'elle prétendra à nos parcours et la sérénité que cette intelligence porte en conséquence, ne saurait être déposée qu'au plus profond de nous-mêmes, et à l'instant des premiers effets d'une cause première ... Dans notre génétique, et à l'instant de notre naissance ! Dans une fonction que j'appellerai de "durée fondamentale" qui serait dépositaire de notre patrimoine existentiel, de la continuité de nos existences, et de son sens. Du Karma, dira le Bouddhiste.
Pour Bergson, la durée serait tension et "mesurerait précisément la puissance d'agir, la quantité d'activité libre et créatrice qu'un être peut introduire dans le monde". De cette tension - qui, en psychologie servirait de base névrotique - j'en aurais extrait certaines forces qui la sous-entendent. Une dynamique en conséquence, dont l'astrologie j'en suis pleinement certain nous en permet symboliquement la lecture. La mesure existentielle. Son parcours et sa finalité. Lorsque le rêve ne nous en donnerait peut-être lui, qu'un aperçu désordonné, dans l'absence où nous serions du temps "ordinaire" sur lequel se structure notre conscience.
"Il est de l'essence des choses de l'esprit" reprend Bergson, "de ne pas se prêter à la mesure. Le premier mouvement de la science moderne devrait donc être de chercher si l'on ne pourrait pas substituer aux phénomènes de l'esprit certains phénomènes qui en fussent les équivalents et qui seraient mesurables". C'est ce que, astrologue, je me suis toujours efforcé de faire.
Ce sont maintenant des milliards d'étoiles et de galaxies qui nous partagent le vivant dont nous sommes porteurs, alors n'en doutons pas : quelque idée ou principe est derrière tout cela comme derrière toute relation à l'autre. Relations d'attraction, de répulsion, d'attention, de nécessité ... De nécessité organique. Sexuelle sans doute.
Ajoutons que ce n'est pas la complexité de l'humain, la logique qu'il déploie qui "crée" le vivant; mais c'est parce que le vivant est complexe et qu'il suit ainsi une logique fondatrice de toute complexité que l'homme est apparu ! Fallait-il encore quelque nécessité à ce phénomène, au processus qui déclencha de telles forces pour que, des conséquences d'un instant d'équilibre absolu, durable infiniment alors, l'univers poursuive son expansion. Idéalement. En "Principe". Intelligemment.
Devenus vivants, plus exactement existants, notre génétique, de même que sur un registre d'état civil, enregistrera ainsi nos lieux et dates de naissance. Non pas bien sûr ici en terme de région, de ville et d'heure, de territoire; mais en celui, générique, d'Espace et de Temps. Mesures de valeurs absolues.
Peut-être cet espace est-il uniquement celui de notre système solaire, comme l'astrologie actuelle le considère ? Peut-être est-il universel, comme je le pense. Sans avoir bien entendu les moyens de sa mesure.
Le Temps auquel je pense ne se mesurera plus lui qu'en terme de durée. Sa seule "préoccupation" sera dès lors de coller toujours à sa réalité première. A sa nature. Son origine. C'est le temps de l'Etre et de la connaissance des infrastructures vitales de celui-ci. Du savoir de la nécessité de sa présence dans le processus du vivant.
Il ne s'agit donc plus du temps linéaire dit "horizontal", commun, sur lequel nous fondons généralement nos démarches essentielles et l'ambition qui les habitent. Il ne s'agit plus ainsi, de ce temps "spatial", Neptunien, au sein duquel l'Espace est encore seul fondamental, jusqu'à sa stabilité : le commencement de sa durée. D'un peu alors, d'éternité. Non pas d'un temps qui passe, et qui fait dès lors dans notre monde que l'autre reste séparé de soi, dans une logique "individualiste", étymologiquement "diabolique" : le "Diable" étant "celui" qui sépare. Toujours pas non plus d'un temps que j'appellerai "d'information préalable" auquel nos existences ont appris ou apprennent à se mesurer et qui, d'êtres essentiels que nous sommes, nous forme au seul projet existentiel, nous substitue à son image et nous offre désormais en guise ici d'éternité : le souvenir. Et pour tout avenir : la raison, son prolongement naturel ...
Il ne s'agira ici que du temps de soi : de sa durée d'être. Comme à la suite d'un processus d'absorption de l'espace dans le temps, celle ci tendra à plutôt faire "glisser", progresser l'autre au plus près de soi, au plus près d'une origine devenant, redevenant commune. Ce "temps en puissance", cette dynamique de l'espace sans autre itinéraire que celui de l'Idée qui lui donna naissance agira verticalement, sur le parcours peut-être des champs de forces unissant ce que les bouddhistes nomment : les "chakras". Son "mouvement" allant ainsi du Soi au moi, et inversement. Du principe, à son incarnation. De ce que je suis, à celui que je connais. Sans cesse. Au gré peut-être alors de notre respiration.
Sans ce principe ultime et fondamental de la durée attaché aux processus du vivant et qui fait que l'univers n'est pas seulement progressiste mais aussi évolutif, qualitatif et non plus uniquement quantitatif, il n'y aurait de même pas d'état de conscience. Pas d'intelligence. Pas de vie. De la force d'inertie. Fixer nos intentions sur les choses, de soi et d'ailleurs, c'est ce que la durée fait de mieux !
D'un point de vue métaphysique, sa mesure est bien entendu l'éternité. Sa mesure physique sera l'infini.
L'existence semble être une sorte de contraction ou, en langage informatique : de compression, de cette éternité essentielle. De cet infini "mesurable" dans son idéal. En cela la conscience humaine est le produit de la confrontation de cette Idée de soi à une réalité donnée comme hors de Soi. Son complément. Avoir conscience c'est comme laisser un peu de place en soi, pour l'autre. Objet ou sujet. On se sert un peu. Humains, nous portons les signes de l'immensité de l'univers et du vivant qui l'anime ; nous en portons le sens. Mais du fait de cette contraction, de cette place donnée à ce qui n'est pas soi, "quelques fichiers" nécessaires à sa lecture nous sont cachés. La science "passe son temps" à chercher à les "décompacter". Je fais de même.
Il est intéressant d'observer symboliquement que l'arrivée de la vie sur terre d'un nourrisson s'annonce toujours, à quelques rares exceptions, par les contractions de sa mère.
L'hors de soi, le monde qui nous entoure et c'est sans doute assez paradoxal, est plus limité que ce qui nous compose. Sans aller bien sûr jusqu'à faire de cette réalité extérieure le produit exclusif d'une projection mentale de notre part; mais l'autre est "seulement" une nécessité de soi. Son existant. Sa forme : la mesure de son espace.
Nous inscrire ainsi dans l'existence oblige de la même manière à une contraction de ce que je nomme notre identité cosmologique. Notre identité essentielle. De même, que de verser de l'eau dans un vase, obligera l'eau à se contracter. La forme de ce vase, ou du récipient, donne son sens à l'eau qu'il contiendra.
Première force TSV
Le T.S.V. (Temps Sidéral Vécu) est la force basique du système. Celle, première, que je découvris dés 1995.
Cette force fait progresser un point du thème natal et cyclique, ou l'ensemble de ces thèmes, de 4 minutes angulaires par jour. Ce qui fera donc, par extension, progresser chaque point autour du zodiaque (planètes et pointes de maisons) : de 24 degrés par année vécue et donc de 360° en 15 ans.
De cette progression annuelle découle une progression mensuelle : de 2 degrés (24 degrés pour 12 mois). Ce qui nous permet d'effectuer pour cette force un calcul simple :
- Un enfant par exemple de 10 ans, verra les points de son thème natal progresser de 24 degrés par an, soit pour 10 ans : de 240 degrés.
- De la même manière, un adolescent de 15 ans verra les siens progresser de 360 degrés. Revenir ainsi à leur position radicale.
Mathématiquement : tous les 15 ans, un tour complet du zodiaque est ainsi effectué par les points progressés au moyen de cette force. Chacun de ceux-ci se replaçant exactement à sa longitude, son emplacement d'origine.
Ce parcours effectué est donc nommé un " cycle d'existence ".
- A 15 ans, tous les points du thème considéré sont de nouveau prêts à effectuer un second cycle : jusqu'à 30 ans. Et ainsi de suite ...
- Cette force T.S.V. induit évidemment de soustraire d'un calcul brut autant de fois 360 degrés qu'il y a eu de cycles d'existence.
- Prenons pour exemple une personne de 35 ans. Sa force T.S.V. brute serait de :
- 24 degrés par année (x 35ans) = 840 degrés
- desquels il sera nécessaire de soustraire autant de fois 360 degrés que possible (ici : 2 fois) soit, à 35 ans, un T.S.V. de 840 - 720 = 120 degrés.
Cette force basique mesure l'essentiel du quotidien, d'un jour donné, avec un écart, un orbe, acceptable de plus ou moins 4 minutes angulaires, soit pour le jour même en temps réel.
Les supports à l'utilisation de cette force sont les thèmes natals et cycliques.
Prenons de nouveau pour exemple d'introduction le T.S.V. de Jeanne Calment.
Calculé pour le jour de sa mort : à 122 ans, 5 mois et 10 jours (soit, depuis ses 120 ans : 2 ans, 5 mois et 10 jours x par 4mn par jour, 2° par mois, 24° par an) il était de 58°40mn.
Conséquence directe : si je fais progresser la longitude de son Pluton natal de 58°40mn autour du zodiaque, il se place exactement en quinconce de son Saturne natal (en secteur VIII).
Seul aspect obtenu.
Pour James Dean, " jouons " sur les contrastes…. le T.S.V. du jour de sa disparition dans un accident de la route au volant de sa Porche : à 24 ans, 7 mois et 22 jours (soit depuis ses 15 ans : 9 ans, 7 mois et 22 jours x par 4mn par jour) était alors de 231°28mn.
Là aussi nous pouvons constater que si je fais progresser de ce T.S.V. le Pluton de l'acteur : celui-ci se place quinconce de la Lune noire, en VI
Et si je fais de même pour la Lune, initialement en secteur II, elle se met après sa progression, en sextile de la Pointe VIII et trigone de la Pointe VI natales.
Egalement, la conjonction Jupiter / Soleil noir natale, progressée de 231°28, se place en quinconce de Mars et sextile de Vénus, en secteur III (secteur traditionnel du mouvement, des moyens de communications, des transports et trajets. De la respiration en astrologie médicale).
Pour le jour même. Or, ces aspects ne se rencontrerons que tous les 15 ans.
Expérimentation de la force TSV natal
La Force TSV du journaliste Patrick Bourat pour ce jour du 22/12/2002 où il se fit renversé par un char américain, était de 126°06 (A compté de ses 45 ans - commencement de son cycle - il avait vécu 5 ans (x par 24° par an : 120°) + 3 mois (x par 2° par mois) et 1 jour et demi (x par 4mn par jour).
Soit donc un TSV de 126°06
Nous obtenons que Vénus TSV natal, c'est à dire progressée du TSV, en secteur I, se place en sesqui carré de la Lune natale (en VIII). Orbe de 3mn52
Uranus TSV à présent, en IX, se positionne lui, en sextile de Mercure natal (en VIII). Orbe de 4mn
Mars TSV, en II, s'est placé en opposition de Vénus natale, en VIII. Orbe de 2mn38
Jupiter TSV enfin, en VIII, sextile du MC natal. Orbe de 1mn16
Un même " plan comptable " visant uniquement les secteurs serait ici aussi vite fait : 4 secteurs VIII (je ne compte par le secteur II pourtant lié d'une même dialectique avec le VIII son opposé) ; 1 secteur I ; 1 secteur II ; 1 secteur X, 1 secteur IX
La liste des aspects est complète et ceux ci ne se renouvellent que tous les 15 ans.
Bien entendu, tous les facteurs seront ensuite à prendre en considération. L'ensemble du thème progressé resterait à étudier. Nous ne mesurons ici que le fait.
Le TSV cyclique
Le thème cyclique est bien sur toujours le même. Celui des 45 ans de Patrick Bourat. Même heure, même lieu.
Le TSV cyclique est réalisé à compter de l'entrée dans le cycle. Ici il sera de 123°06 (de l'entrée dans le cycle, le 20/09/1997, au 22/12/2002, 5 ans 3 mois et 2 jours : x par 24° par an, 2° par mois et 4mn par jour).
Le MC TSV cyclique est en II. A toujours considérer ce secteur avec son opposé le VIII. Comme d'ailleurs il doit être fait à l'approche de chacun des secteurs.
La Lune cyclique TSV était entrée en VIII depuis 1 mois (2°) et Mars cyclique TSV était entré en Bélier depuis 5 ce qui le rend traditionnellement particulièrement " dominant ".
Pluton cyclique TSV (en II) se place, ce jour là, en sesqui carré de Mars cyclique (en IX). Orbe de 4mn. Le secteur XI contient les interventions extérieurs. Le IX (secteur que la tradition nous donne avec raison pour spirituel ou philosophique) renvoie à des dimensions mal aisées d'interprétation.
Neptune cyclique TSV, en IV, sera lui en semi carré de saturne natal, en II. Orbe de 1mn 06.
Il est de plus trigone de la Part de fortune, en VIII. Orbe de 1mn 26
Enfin l'axe des Pointes III-IX TSV cycliques, se place en quinconce d'Uranus cyclique (en XII). Orbe de 2mn30
Il importe avant tout de considérer le secteur. Il structure la forme synthétisée de l'espace - temps retenu dans sa recherche, pour en faire la " Situation ". Les autres points (astres,…) étant eux l' " Intention " à la " chose ". Aussi sa finalité. Ses moyens d'être.
Comparaison TSV cyclique - positions natales
La Lune TSV cyclique de Patrick Bourra, en VIII cyclique, est en conjonction apparente (30mn) de son Soleil natal, en VIII natal, et en sextile exact de son MC natal. Orbe de 3mn45
Saturne TSV cyclique, en VII cyclique, se place en conjonction de la Lune noire vraie natale. Orbe de 3mn50
Cette force fait progresser un point du thème natal et cyclique, ou l'ensemble de ces thèmes, de 4 minutes angulaires par jour. Ce qui fera donc, par extension, progresser chaque point autour du zodiaque (planètes et pointes de maisons) : de 24 degrés par année vécue et donc de 360° en 15 ans.
De cette progression annuelle découle une progression mensuelle : de 2 degrés (24 degrés pour 12 mois). Ce qui nous permet d'effectuer pour cette force un calcul simple :
- Un enfant par exemple de 10 ans, verra les points de son thème natal progresser de 24 degrés par an, soit pour 10 ans : de 240 degrés.
- De la même manière, un adolescent de 15 ans verra les siens progresser de 360 degrés. Revenir ainsi à leur position radicale.
Mathématiquement : tous les 15 ans, un tour complet du zodiaque est ainsi effectué par les points progressés au moyen de cette force. Chacun de ceux-ci se replaçant exactement à sa longitude, son emplacement d'origine.
Ce parcours effectué est donc nommé un " cycle d'existence ".
- A 15 ans, tous les points du thème considéré sont de nouveau prêts à effectuer un second cycle : jusqu'à 30 ans. Et ainsi de suite ...
- Cette force T.S.V. induit évidemment de soustraire d'un calcul brut autant de fois 360 degrés qu'il y a eu de cycles d'existence.
- Prenons pour exemple une personne de 35 ans. Sa force T.S.V. brute serait de :
- 24 degrés par année (x 35ans) = 840 degrés
- desquels il sera nécessaire de soustraire autant de fois 360 degrés que possible (ici : 2 fois) soit, à 35 ans, un T.S.V. de 840 - 720 = 120 degrés.
Cette force basique mesure l'essentiel du quotidien, d'un jour donné, avec un écart, un orbe, acceptable de plus ou moins 4 minutes angulaires, soit pour le jour même en temps réel.
Les supports à l'utilisation de cette force sont les thèmes natals et cycliques.
Prenons de nouveau pour exemple d'introduction le T.S.V. de Jeanne Calment.
Calculé pour le jour de sa mort : à 122 ans, 5 mois et 10 jours (soit, depuis ses 120 ans : 2 ans, 5 mois et 10 jours x par 4mn par jour, 2° par mois, 24° par an) il était de 58°40mn.
Conséquence directe : si je fais progresser la longitude de son Pluton natal de 58°40mn autour du zodiaque, il se place exactement en quinconce de son Saturne natal (en secteur VIII).
Seul aspect obtenu.
Pour James Dean, " jouons " sur les contrastes…. le T.S.V. du jour de sa disparition dans un accident de la route au volant de sa Porche : à 24 ans, 7 mois et 22 jours (soit depuis ses 15 ans : 9 ans, 7 mois et 22 jours x par 4mn par jour) était alors de 231°28mn.
Là aussi nous pouvons constater que si je fais progresser de ce T.S.V. le Pluton de l'acteur : celui-ci se place quinconce de la Lune noire, en VI
Et si je fais de même pour la Lune, initialement en secteur II, elle se met après sa progression, en sextile de la Pointe VIII et trigone de la Pointe VI natales.
Egalement, la conjonction Jupiter / Soleil noir natale, progressée de 231°28, se place en quinconce de Mars et sextile de Vénus, en secteur III (secteur traditionnel du mouvement, des moyens de communications, des transports et trajets. De la respiration en astrologie médicale).
Pour le jour même. Or, ces aspects ne se rencontrerons que tous les 15 ans.
Expérimentation de la force TSV natal
La Force TSV du journaliste Patrick Bourat pour ce jour du 22/12/2002 où il se fit renversé par un char américain, était de 126°06 (A compté de ses 45 ans - commencement de son cycle - il avait vécu 5 ans (x par 24° par an : 120°) + 3 mois (x par 2° par mois) et 1 jour et demi (x par 4mn par jour).
Soit donc un TSV de 126°06
Nous obtenons que Vénus TSV natal, c'est à dire progressée du TSV, en secteur I, se place en sesqui carré de la Lune natale (en VIII). Orbe de 3mn52
Uranus TSV à présent, en IX, se positionne lui, en sextile de Mercure natal (en VIII). Orbe de 4mn
Mars TSV, en II, s'est placé en opposition de Vénus natale, en VIII. Orbe de 2mn38
Jupiter TSV enfin, en VIII, sextile du MC natal. Orbe de 1mn16
Un même " plan comptable " visant uniquement les secteurs serait ici aussi vite fait : 4 secteurs VIII (je ne compte par le secteur II pourtant lié d'une même dialectique avec le VIII son opposé) ; 1 secteur I ; 1 secteur II ; 1 secteur X, 1 secteur IX
La liste des aspects est complète et ceux ci ne se renouvellent que tous les 15 ans.
Bien entendu, tous les facteurs seront ensuite à prendre en considération. L'ensemble du thème progressé resterait à étudier. Nous ne mesurons ici que le fait.
Le TSV cyclique
Le thème cyclique est bien sur toujours le même. Celui des 45 ans de Patrick Bourat. Même heure, même lieu.
Le TSV cyclique est réalisé à compter de l'entrée dans le cycle. Ici il sera de 123°06 (de l'entrée dans le cycle, le 20/09/1997, au 22/12/2002, 5 ans 3 mois et 2 jours : x par 24° par an, 2° par mois et 4mn par jour).
Le MC TSV cyclique est en II. A toujours considérer ce secteur avec son opposé le VIII. Comme d'ailleurs il doit être fait à l'approche de chacun des secteurs.
La Lune cyclique TSV était entrée en VIII depuis 1 mois (2°) et Mars cyclique TSV était entré en Bélier depuis 5 ce qui le rend traditionnellement particulièrement " dominant ".
Pluton cyclique TSV (en II) se place, ce jour là, en sesqui carré de Mars cyclique (en IX). Orbe de 4mn. Le secteur XI contient les interventions extérieurs. Le IX (secteur que la tradition nous donne avec raison pour spirituel ou philosophique) renvoie à des dimensions mal aisées d'interprétation.
Neptune cyclique TSV, en IV, sera lui en semi carré de saturne natal, en II. Orbe de 1mn 06.
Il est de plus trigone de la Part de fortune, en VIII. Orbe de 1mn 26
Enfin l'axe des Pointes III-IX TSV cycliques, se place en quinconce d'Uranus cyclique (en XII). Orbe de 2mn30
Il importe avant tout de considérer le secteur. Il structure la forme synthétisée de l'espace - temps retenu dans sa recherche, pour en faire la " Situation ". Les autres points (astres,…) étant eux l' " Intention " à la " chose ". Aussi sa finalité. Ses moyens d'être.
Comparaison TSV cyclique - positions natales
La Lune TSV cyclique de Patrick Bourra, en VIII cyclique, est en conjonction apparente (30mn) de son Soleil natal, en VIII natal, et en sextile exact de son MC natal. Orbe de 3mn45
Saturne TSV cyclique, en VII cyclique, se place en conjonction de la Lune noire vraie natale. Orbe de 3mn50
Seconde force TSC vrai
Le Temps Sidéral Cyclique vrai ( T.S.C. vrai ) nous fera connaître l'année exacte de l'évènement considéré.
Nous venons de voir que le Temps Sidéral Cyclique moyen était basé sur une dynamique d'évolution autour du zodiaque : de 1° pour un cycle (15 ans) même débuté.
Un degré pour 15 ans fait : 4 minutes angulaires par an (4 mn / an x 15 ans = 60 mn = 1°).
Maintenant, si pour le T.S.C. moyen nous avons considéré un cycle commencé comme devant être comptabilisé 1°, pour le TSC vrai il sera considéré le temps exact.
De deux manières complémentaires:
A partir du thème natal (que nous allons voir maintenant) et à partir de ce que nous appèlerons plus loin un " thème cyclique ".
A partir du thème natal : nous comptabiliserons:
- un degré par cycle effectué,
plus 4 minutes de longitude par année supplémentaire.
- A partir du thème cyclique il sera fait de même en considérant pourtant l'entrée dans un cycle nouveau comme
étant la date de naissance du thème étudié. A l'heure et pour le lieu de naissance.
La tolérance, l'orbe, attachés à ce paramètre sera donc de plus ou moins 4 minutes angulaires.
Nous voyons que nous sommes loin des 3°, 5° ou même 10° utilisés traditionnellement.
Il sera donc important, avant toute utilisation sérieuse de cette force, de vérifier et d'éventuellement rectifier l'heure de naissance de la personne étudiée à, souvent, 20 secondes prés. Ce qu'un système mathématique fait très bien (après quand même quelque travail.).
Bien sur un thème peut être plus " parlant " qu'un autre, n'oublions pas que nous sommes encore dans une dimension symbolique. L'utilisation de l'ensemble du système de base sera nécessaire pour permettre une connaissance, une compréhension, sérieuse du fait, d'un temps (lecture TSC moyen ; TSC vrai natal et cyclique ; TSV natal et cyclique ; lecture de phase que nous verrons plus tard).
Expérimentation du TSC vrai
Agé de 50 ans lors de son décès, la force TSC vrai du journaliste Patrick Bourat était de 3° (3 x 15 ans :45 ans) + 20 mn (4mn par année sup. x par 5 ans).
Si nous faisons à présent progresser son thème natal de 3°20, nous obtenons, pour cette année 2003 à laquelle cette progression correspond, que 3 aspects se forment : Le premier nous montre que Mercure (en VIII) progressé de 3°20 se place en conjonction du Soleil natal (en VIII). Orbe de 1mn. Ces aspects TSC vrai ne se rencontre qu'une fois dans une existence humaine.
Le second touche Jupiter, en III, qui progressé aussi de 3°20 se place en trigone de Mercure natal, en VIII. Orbe de 3mn
Enfin, le dernier nous montre Vénus, en VIII, qui progressée de 3°20 se place en sextile de la Lune noire vraie natale, en VII. Orbe de prés de 4mn.
Il sera intéressant ici encore de faire une sorte de " plan comptable " sur les secteurs :
Ainsi nous aurions, dans les aspects obtenus sur ce seul support natal et pour cette année spécifique, dans l'utilisation d'une force chargée de détecter les aspects essentiels : 4 secteurs VIII, 1 secteur VII et 1 secteur III.
Nous venons de voir que le Temps Sidéral Cyclique moyen était basé sur une dynamique d'évolution autour du zodiaque : de 1° pour un cycle (15 ans) même débuté.
Un degré pour 15 ans fait : 4 minutes angulaires par an (4 mn / an x 15 ans = 60 mn = 1°).
Maintenant, si pour le T.S.C. moyen nous avons considéré un cycle commencé comme devant être comptabilisé 1°, pour le TSC vrai il sera considéré le temps exact.
De deux manières complémentaires:
A partir du thème natal (que nous allons voir maintenant) et à partir de ce que nous appèlerons plus loin un " thème cyclique ".
A partir du thème natal : nous comptabiliserons:
- un degré par cycle effectué,
plus 4 minutes de longitude par année supplémentaire.
- A partir du thème cyclique il sera fait de même en considérant pourtant l'entrée dans un cycle nouveau comme
étant la date de naissance du thème étudié. A l'heure et pour le lieu de naissance.
La tolérance, l'orbe, attachés à ce paramètre sera donc de plus ou moins 4 minutes angulaires.
Nous voyons que nous sommes loin des 3°, 5° ou même 10° utilisés traditionnellement.
Il sera donc important, avant toute utilisation sérieuse de cette force, de vérifier et d'éventuellement rectifier l'heure de naissance de la personne étudiée à, souvent, 20 secondes prés. Ce qu'un système mathématique fait très bien (après quand même quelque travail.).
Bien sur un thème peut être plus " parlant " qu'un autre, n'oublions pas que nous sommes encore dans une dimension symbolique. L'utilisation de l'ensemble du système de base sera nécessaire pour permettre une connaissance, une compréhension, sérieuse du fait, d'un temps (lecture TSC moyen ; TSC vrai natal et cyclique ; TSV natal et cyclique ; lecture de phase que nous verrons plus tard).
Expérimentation du TSC vrai
Agé de 50 ans lors de son décès, la force TSC vrai du journaliste Patrick Bourat était de 3° (3 x 15 ans :45 ans) + 20 mn (4mn par année sup. x par 5 ans).
Si nous faisons à présent progresser son thème natal de 3°20, nous obtenons, pour cette année 2003 à laquelle cette progression correspond, que 3 aspects se forment : Le premier nous montre que Mercure (en VIII) progressé de 3°20 se place en conjonction du Soleil natal (en VIII). Orbe de 1mn. Ces aspects TSC vrai ne se rencontre qu'une fois dans une existence humaine.
Le second touche Jupiter, en III, qui progressé aussi de 3°20 se place en trigone de Mercure natal, en VIII. Orbe de 3mn
Enfin, le dernier nous montre Vénus, en VIII, qui progressée de 3°20 se place en sextile de la Lune noire vraie natale, en VII. Orbe de prés de 4mn.
Il sera intéressant ici encore de faire une sorte de " plan comptable " sur les secteurs :
Ainsi nous aurions, dans les aspects obtenus sur ce seul support natal et pour cette année spécifique, dans l'utilisation d'une force chargée de détecter les aspects essentiels : 4 secteurs VIII, 1 secteur VII et 1 secteur III.
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Re: Première force TSV
Magnifique!roger Hequet a écrit :Prenons de nouveau pour exemple d'introduction le T.S.V. de Jeanne Calment.
Calculé pour le jour de sa mort : [...] il était de 58°40mn.
Conséquence directe : si je fais progresser la longitude de son Pluton natal de 58°40mn autour du zodiaque, il se place exactement en quinconce de son Saturne natal (en secteur VIII).
Seul aspect obtenu.
Edifiant! Fantastique!roger Hequet a écrit :Prenons de nouveau pour exemple d'introduction le Pour James Dean, " jouons " sur les contrastes…. le T.S.V. du jour de sa disparition [...] était alors de 231°28mn.
Là aussi nous pouvons constater que si je fais progresser de ce T.S.V. le Pluton de l'acteur : celui-ci se place quinconce de la Lune noire, en VI
Et si je fais de même pour la Lune, initialement en secteur II, elle se met après sa progression, en sextile de la Pointe VIII et trigone de la Pointe VI natales.
Egalement, la conjonction Jupiter / Soleil noir natale, progressée de 231°28, se place en quinconce de Mars et sextile de Vénus, en secteur III (secteur traditionnel du mouvement, des moyens de communications, des transports et trajets. De la respiration en astrologie médicale).
Toute ironie mise à part, vous ne prouvez rien, vous ne dites rien de bien concret. En êtes-vous conscient? Toute la "cohérence" semble donnée par l'hermétisme de votre vocabulaire. Mais, concrètement, il n'y a pas grand chose à tirer:
Pour Calment: que dalle! Pour Dean: des mises en relation insignifiantes. Pour Bourat, il est impossible de saisir en quoi consiste votre "expérimentation" et à quoi mène votre charabia.
Bon, je n'entrerai pas dans des discussions pour démontrer qu'il y a une énôôôrme différence entre des rythmes biologiques parfaitement étudiables et votre astro-chronomachin. Non, ce qui m'amuse le plus c'est: quel zodiaque? Il y en a eu plusieurs des zodiaques au cours des millénaires... comment faites-vous votre choix?roger Hequet a écrit :Je suis maintenant convaincu que le zodiaque est, depuis des millénaires, la plus ancienne et la plus parfaite représentation symbolique d'une de ces horloges
Jean-François
Marquer ou non des points
.
Salut JF,
À Roger, tu dis :
Nous attendons toujours de lui des prédictions un peu spécifiques.
Jusqu'ici, sa prédiction la moins floue est ici.
S'il pouvait nous donner une liste (épurée de toute pseudo-technicalité) de prédictions franches, Roger commencerait à parler la même langue que nous.
Bien sûr, comme le fait remarquer José K.,
S'il nous fournissait une liste de plusieurs prédictions (aussi spécifiques que possible), il augmenterait ses chances de marquer, ici et là, quelques points. Mais il augmenterait aussi ses "malchances" de ne pas en marquer. Je pense qu'il cherche à éviter ça, et tout le monde le comprend fort bien.
Il aimerait pouvoir à la fois "vaincre sans péril" et "triompher avec gloire". Et ça l'embête que ce soit contradictoire.
Denis
P.S. Je m'excuse de dire des évidences... Le f'rai plus.
Salut JF,
À Roger, tu dis :
Je pense qu'il ne l'est pas.vous ne dites rien de bien concret. En êtes-vous conscient?
Nous attendons toujours de lui des prédictions un peu spécifiques.
Jusqu'ici, sa prédiction la moins floue est ici.
C'est un "résumé" du gros ragoût qui précédait, dans lequel quelques bribes de semblants de prédictions sont noyées dans plein de "Part Fortuna TSV sesqui carré de Vénus radicale, en XII" et autres "pseudo-technicalités".échéances menaçantes pour Israël (...) entre le 11 et 12 Janvier...
S'il pouvait nous donner une liste (épurée de toute pseudo-technicalité) de prédictions franches, Roger commencerait à parler la même langue que nous.
Bien sûr, comme le fait remarquer José K.,
Attendons donc les 11~12 Janvier. Si, ces jours-là, en Israël, ça pète spectaculairement plus que la moyenne (ex. assassinat de Sharon ou méga-attentat de 1000 morts), Roger aura marqué un petit point. Sinon, il restera les mains vides.Des "échéances menaçantes pour Israël", il y en a tous les jours.
S'il nous fournissait une liste de plusieurs prédictions (aussi spécifiques que possible), il augmenterait ses chances de marquer, ici et là, quelques points. Mais il augmenterait aussi ses "malchances" de ne pas en marquer. Je pense qu'il cherche à éviter ça, et tout le monde le comprend fort bien.
Il aimerait pouvoir à la fois "vaincre sans péril" et "triompher avec gloire". Et ça l'embête que ce soit contradictoire.
Denis
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Re: Marquer ou non des points
Je suis d'accord avec toi. Ma question soulignait (aussi) une évidence... avec pour but, passablement romantico-naïf, que ça pourrait commencer un début de cheminement d'autocritique chez Roger. Un tout petit peu permettrait peut-être d'arriver à obtenir:Denis a écrit :À Roger, tu dis :Je pense qu'il ne l'est pasvous ne dites rien de bien concret. En êtes-vous conscient?
Dans les prédictions, il en a fait d'autres: Thomas est né et a rencontrer quelqu'un d'important qui a changé une partie de sa vie... Prédiction un peu moins intéressante si on sait que Thomas lui avait déjà dit tout ça. Mais, à défaut d'information transcendante, faut admirer l'effort et le style pour le dire.Denis a écrit :Nous attendons toujours de lui des prédictions un peu spécifiques
Autre évidence: on a là un bel exemple de ce que l'immersion totale dans un système hermétique provoque comme détachement de la réalité. Celle-ci n'est plus une référence nécessaire quand le système s'autosuffit. La cohérence de se dernier peut rester superficielle car elle peut être corrigée sans problème, vu que tout est artificiel... oeuvre de f(r)iction.
Jean-François
Re: Marquer ou non des points
Je me permets juste une petite remarque extérieure au débat technique : au final, que ce soit astro-chronobiologie, astrologie classique ou d’autres approches plus énergétiques comme la lithothérapie (travail sur les fréquences des pierres et des chakras), on tourne toujours autour de cette même idée : chaque individu porte une signature énergétique unique dès sa naissance, et tout l’enjeu c’est de mieux la comprendre pour avancer. Après, la difficulté reste toujours de quantifier et de vérifier tout ça de manière vraiment "scientifique", et c’est là que les positions divergent forcément. Mais ça n’enlève pas l’intérêt d’explorer différentes grilles de lecture, même si elles restent partiellement empiriques.Denis a écrit : 11 nov. 2003, 21:28 .
Salut JF,
À Roger, tu dis :Je pense qu'il ne l'est pas.vous ne dites rien de bien concret. En êtes-vous conscient?
Nous attendons toujours de lui des prédictions un peu spécifiques.
Jusqu'ici, sa prédiction la moins floue est ici.C'est un "résumé" du gros ragoût qui précédait, dans lequel quelques bribes de semblants de prédictions sont noyées dans plein de "Part Fortuna TSV sesqui carré de Vénus radicale, en XII" et autres "pseudo-technicalités".échéances menaçantes pour Israël (...) entre le 11 et 12 Janvier...
S'il pouvait nous donner une liste (épurée de toute pseudo-technicalité) de prédictions franches, Roger commencerait à parler la même langue que nous.
Bien sûr, comme le fait remarquer José K.,Attendons donc les 11~12 Janvier. Si, ces jours-là, en Israël, ça pète spectaculairement plus que la moyenne (ex. assassinat de Sharon ou méga-attentat de 1000 morts), Roger aura marqué un petit point. Sinon, il restera les mains vides.Des "échéances menaçantes pour Israël", il y en a tous les jours.
S'il nous fournissait une liste de plusieurs prédictions (aussi spécifiques que possible), il augmenterait ses chances de marquer, ici et là, quelques points. Mais il augmenterait aussi ses "malchances" de ne pas en marquer. Je pense qu'il cherche à éviter ça, et tout le monde le comprend fort bien.
Il aimerait pouvoir à la fois "vaincre sans péril" et "triompher avec gloire". Et ça l'embête que ce soit contradictoire.
Denis
P.S. Je m'excuse de dire des évidences... Le f'rai plus.
Re: Marquer ou non des points
Par définition, l'empirisme est une méthode censée apporter des connaissances. Or, dans les domaines cités, ces "explorations" n'en ont amené aucune.Emma5 a écrit : 15 juin 2025, 12:21 Mais ça n’enlève pas l’intérêt d’explorer différentes grilles de lecture, même si elles restent partiellement empiriques.
On reste donc au niveau de la pure croyance.
Thunderbolt and lightning very, very frightening me (Galileo)
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Re: Marquer ou non des points
Ça n'est pas forcément une question de "signature énergétique". De toute façon, même si chaque partisan d'une discipline la conviction un "savoir", il suffit de poser quelques questions sur les bases mêmes de celui-ci pour s'apercevoir que c'est surtout de l'approximation et du flou.Emma5 a écrit : 15 juin 2025, 12:21on tourne toujours autour de cette même idée : chaque individu porte une signature énergétique unique dès sa naissance
Déjà, qu'est-ce que serait une "signature énergétique unique" et comment cela se mesurerait? Si c'est par l'imagination, c'est de l'ordre du fantasme.
Comme le signale Inso, ces disciplines sont souvent très loin d'une démarche empirique sérieuse. Même quand il y a un côté empirique potentiel (comme la position des planètes en astrologie), tous les pratiquants ne s'y connaissent pas forcément. De plus, le côté le moins intéressant de ces disciplines est qu'elles ne visent pas à comprendre ce qui est mais à se justifier. C'est pourquoi elles tiennent moins de la science que du papotage socialMais ça n’enlève pas l’intérêt d’explorer différentes grilles de lecture, même si elles restent partiellement empiriques

Jean-François
“Belief is the wound that knowledge heals.” (Ursula Le Guin, The Telling)
("La foi est la blessure que le savoir guérit", Le dit d'Aka)
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Re: Marquer ou non des points
Bonjour Emma,Emma5 a écrit : 15 juin 2025, 12:21 Je me permets juste une petite remarque extérieure au débat technique : au final, que ce soit astro-chronobiologie, astrologie classique ou d’autres approches plus énergétiques comme la lithothérapie (travail sur les fréquences des pierres et des chakras), on tourne toujours autour de cette même idée : chaque individu porte une signature énergétique unique dès sa naissance, et tout l’enjeu c’est de mieux la comprendre pour avancer. Après, la difficulté reste toujours de quantifier et de vérifier tout ça de manière vraiment "scientifique", et c’est là que les positions divergent forcément. Mais ça n’enlève pas l’intérêt d’explorer différentes grilles de lecture, même si elles restent partiellement empiriques.
Je n'ai pas lu l'ensemble de vos messages, faute de temps, mais de mon côté je m'intéresse à tous ces sujets. J'aimerais comprendre ce que vous voulez dire par ''partiellement empirique'' ? Et aussi, vous parler de ''signature énergétique'', vous pouvez expliquer ? Merci.
Re: Marquer ou non des points
Autrement dit : Aussi fleuri soit le papier d'emballage, on tourne toujours autour de la notion, imprécise autant qu'improbable, selon laquelle le destin de chacun est prédéterminé et que certains individus prétendent pouvoir le définir, sans avoir à expliquer ni pourquoi ni comment …Emma5 a écrit : 15 juin 2025, 12:21 Je me permets juste une petite remarque extérieure au débat technique : au final, que ce soit astro-chronobiologie, astrologie classique ou d’autres approches plus énergétiques comme la lithothérapie (travail sur les fréquences des pierres et des chakras), on tourne toujours autour de cette même idée : chaque individu porte une signature énergétique unique dès sa naissance, et tout l’enjeu c’est de mieux la comprendre pour avancer. Après, la difficulté reste toujours de quantifier et de vérifier tout ça de manière vraiment "scientifique", et c’est là que les positions divergent forcément. Mais ça n’enlève pas l’intérêt d’explorer différentes grilles de lecture, même si elles restent partiellement empiriques.
"As democracy is perfected, the office of President represents, more and more closely, the inner soul of the people. On some great and glorious day, the plain folks of the land will reach their heart's desire at last and the White House will be adorned by a downright moron." - H. L. Mencken
Re: L'astro-chronobiologie, ensemble et cohérence
Bonjour à tous 
Je découvre ce fil avec beaucoup d’intérêt (et de curiosité, je l’avoue).
Qu’on adhère ou non à la démarche de Roger, il faut reconnaître que l’idée d’un temps personnel structuré par une logique cosmique ou énergétique soulève des questions fascinantes.
Je serais curieuse de savoir si certains ici ont testé l’approche du Temps Sidéral Vécu (TSV) ou ont tenté d’en tirer des observations concrètes ? Ou peut-être avez-vous trouvé des parallèles intéressants avec d'autres disciplines, comme l’astrologie humaniste, les cycles lunaires ou même la numérologie ?
Je ne cherche pas à relancer un débat stérile, mais plutôt à ouvrir un espace de réflexion — entre scepticisme sain et ouverture d’esprit
Merci d’avance pour vos retours ou vos pistes de lecture complémentaires,
Émilie
Je découvre ce fil avec beaucoup d’intérêt (et de curiosité, je l’avoue).
Qu’on adhère ou non à la démarche de Roger, il faut reconnaître que l’idée d’un temps personnel structuré par une logique cosmique ou énergétique soulève des questions fascinantes.
Je serais curieuse de savoir si certains ici ont testé l’approche du Temps Sidéral Vécu (TSV) ou ont tenté d’en tirer des observations concrètes ? Ou peut-être avez-vous trouvé des parallèles intéressants avec d'autres disciplines, comme l’astrologie humaniste, les cycles lunaires ou même la numérologie ?
Je ne cherche pas à relancer un débat stérile, mais plutôt à ouvrir un espace de réflexion — entre scepticisme sain et ouverture d’esprit
Merci d’avance pour vos retours ou vos pistes de lecture complémentaires,
Émilie
Re: L'astro-chronobiologie, ensemble et cohérence
Comme par exemple : qu’est-ce que c’est que ce charabia ?Emilie35 a écrit : 09 juil. 2025, 10:12 Qu’on adhère ou non à la démarche de Roger, il faut reconnaître que l’idée d’un temps personnel structuré par une logique cosmique ou énergétique soulève des questions fascinantes.

Quoi-t-est-ce ?Je serais curieuse de savoir si certains ici ont testé l’approche du Temps Sidéral Vécu (TSV)
L’homme descend du singe, or l’homme est fait à l’image de Dieu. Donc Dieu est King Kong.
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Re: L'astro-chronobiologie, ensemble et cohérence
Comme il n'y a pas eu de réaction de sa part aux messages qui ont suivi sa présentation, il est difficile de penser que "Emilie35" cherche à discuter. Enfin:
Jean-François
* Contrairement à la Physique, qui explique bien mieux la "logique énergétique cosmique" que des systèmes essentiellement rhétoriques comme celui d'Héquet.
On a essayé de tirer des observations concrètes de l'auteur même de ce système foutraque. Tout ce qu'on a obtenu c'est beaucoup de charabia verbeux dans lequel surnageait des "postdictions" (des prédictions après coup).Emilie35 a écrit : 09 juil. 2025, 10:12Je serais curieuse de savoir si certains ici ont testé l’approche du Temps Sidéral Vécu (TSV) ou ont tenté d’en tirer des observations concrètes ?
C'est quoi la différence? Comme le système de Roger Héquet n'explique absolument rien*, on a cherché à savoir s'il permettait au moins de prévoir des trucs. Mais ça c'est révélé assez vain.Je ne cherche pas à relancer un débat stérile, mais plutôt à ouvrir un espace de réflexion — entre scepticisme sain et ouverture d’esprit
Jean-François
* Contrairement à la Physique, qui explique bien mieux la "logique énergétique cosmique" que des systèmes essentiellement rhétoriques comme celui d'Héquet.
“Belief is the wound that knowledge heals.” (Ursula Le Guin, The Telling)
("La foi est la blessure que le savoir guérit", Le dit d'Aka)
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Re: L'astro-chronobiologie, ensemble et cohérence
Héquet explique comment il conçoit cette "force" (sic) dans le 2e message de l'enfilade. Ça ressemble moins à un phénomène réel qu'une forme de fascination pour de la numérologie à saveur astrologique.nikola a écrit : 09 juil. 2025, 11:38Quoi-t-est-ce ?Je serais curieuse de savoir si certains ici ont testé l’approche du Temps Sidéral Vécu (TSV)
Mais pour une explication qui fait encore mieux ressortir le côté WTF du concept, il y a le résumé du bouquin d'Héquet paru en 2002:
" grâce à la découverte d'un micro-élément biologique fondamental, elle permet de dater avec une précision jamais atteinte jusqu'alors en astrologie les événements de notre existence. Le Temps sidéral vécu autorise en effet, au moyen d'aspects toujours exacts et avec des orbes et des écarts toujours inférieurs à quelques minutes, une datation à six jours près."
Ce truc permettrait de savoir ce qui est arrivé dans votre vie passée, à 6 jours près.
"Cet élément, qui prend naissance dans une variation physique et astrologique de la Terre, se transforme, une fois codé dans les gènes humains, en une dynamique capable d'entraîner les représentations astrologiques de tout individu autour du zodiaque. Ce zodiaque devient alors l'horloge sur laquelle se mesure le temps de notre vie, et des événements qui la parsèment, de la naissance à la mort."
Cette "force" (sic) serait codée dans les gènes et ça expliquerait votre carte du ciel.
Jean-François
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Re: L'astro-chronobiologie, ensemble et cohérence
jé rien conprit
L’homme descend du singe, or l’homme est fait à l’image de Dieu. Donc Dieu est King Kong.
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Re:Le zozodiaque
Alors le message contient de belles phrases, mais celle-là rentre en contradiction avec le reste.
Elle-il va faire quoi après ? quel est sont but ? Pour moi le mystère reste entier.

On joue à deviner ?
Je me lance:
1) C'est un(e) préado qui joue avec l'IA, en s'inventant une identité pour flatter son égo.
2) De la pub

(Emilie35 nous dira si on tombe juste, si c'est froid, si on chauffe etc...)

Oh Papy ! Tu nous as déjà oubliés ?
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Re: L'astro-chronobiologie, ensemble et cohérence
@ nikolaJean-Francois a écrit : 09 juil. 2025, 11:52 Mais pour une explication qui fait encore mieux ressortir le côté WTF du concept, il y a le résumé du bouquin d'Héquet paru en 2002:
" grâce à la découverte d'un micro-élément biologique fondamental, elle permet de dater avec une précision jamais atteinte jusqu'alors en astrologie les événements de notre existence. Le Temps sidéral vécu autorise en effet, au moyen d'aspects toujours exacts et avec des orbes et des écarts toujours inférieurs à quelques minutes, une datation à six jours près."
C'est pourtant simple, ça explique pourquoi tu n'as pas gagné l'euromillion malgré avoir joué les bons chiffres à 6 numéros près

"As democracy is perfected, the office of President represents, more and more closely, the inner soul of the people. On some great and glorious day, the plain folks of the land will reach their heart's desire at last and the White House will be adorned by a downright moron." - H. L. Mencken
Re: L'astro-chronobiologie, ensemble et cohérence
Bonjour à tous 
Merci pour vos réponses - même critiques, elles sont toujours bonnes à entendre.
Pour être tout à fait honnête, je ne suis ni "préado", ni "publicitaire IA", ni même convaincue à 100 % par l’astro-chronobiologie.
Mais je m’intéresse sincèrement à ces approches alternatives, autant qu’à la manière dont elles sont reçues, acceptées… ou démontées.
Je n’ai pas d’agenda caché : juste l’envie de mieux comprendre ce que certains perçoivent comme des systèmes cohérents, là où d’autres y voient du charabia.
Alors oui, le discours de Roger est verbeux et parfois franchement opaque (même pour moi). Mais ça n’empêche pas que l’intuition d’un temps subjectif ou d’une signature de naissance soit une piste à explorer — pas forcément pour la prédiction d’événements, mais peut-être pour une lecture symbolique de soi.
@Jean-François @Florence @Nikola et les autres : je suis preneuse si vous avez des contre-exemples de disciplines pseudo-scientifiques qui ont malgré tout contribué à ouvrir des pistes en psychologie, sociologie ou autre. Histoire de voir s’il y a des précédents intéressants.
Et sinon, promis, je n’essaye pas de "relancer un débat stérile". Juste de garder un peu de nuance dans un monde qui adore tout trancher
Bien à vous,
Émilie
Merci pour vos réponses - même critiques, elles sont toujours bonnes à entendre.
Pour être tout à fait honnête, je ne suis ni "préado", ni "publicitaire IA", ni même convaincue à 100 % par l’astro-chronobiologie.
Je n’ai pas d’agenda caché : juste l’envie de mieux comprendre ce que certains perçoivent comme des systèmes cohérents, là où d’autres y voient du charabia.
Alors oui, le discours de Roger est verbeux et parfois franchement opaque (même pour moi). Mais ça n’empêche pas que l’intuition d’un temps subjectif ou d’une signature de naissance soit une piste à explorer — pas forcément pour la prédiction d’événements, mais peut-être pour une lecture symbolique de soi.
@Jean-François @Florence @Nikola et les autres : je suis preneuse si vous avez des contre-exemples de disciplines pseudo-scientifiques qui ont malgré tout contribué à ouvrir des pistes en psychologie, sociologie ou autre. Histoire de voir s’il y a des précédents intéressants.
Et sinon, promis, je n’essaye pas de "relancer un débat stérile". Juste de garder un peu de nuance dans un monde qui adore tout trancher
Bien à vous,
Émilie
Dernière modification par Emilie35 le 14 juil. 2025, 15:39, modifié 1 fois.
Re: L'astro-chronobiologie, ensemble et cohérence
Pourquoi accompagner ton message d’un lien hors-sujet mais qui sent bon la réclame ?
L’homme descend du singe, or l’homme est fait à l’image de Dieu. Donc Dieu est King Kong.
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Re: L'astro-chronobiologie, ensemble et cohérence
Le lien vers la page publicitaire dans votre signature est effectivement bien visible mais celui derrière le smiley est caché

Quel est l'intérêt d'une "lecture symbolique du soi"? Intérêt d'autant moins évident s'il s'agirait d'employer un langage aussi obscur qu'abscons pour faire une telle "lecture". C'est un peu comme si vous vouliez utiliser l'assyrien pour faire de l'introspectionais ça n’empêche pas que l’intuition d’un temps subjectif ou d’une signature de naissance soit une piste à explorer — pas forcément pour la prédiction d’événements, mais peut-être pour une lecture symbolique de soi

Jean-François
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Re: L'astro-chronobiologie, ensemble et cohérence
Ya un truc qui cloche: l'astro-chono machin, c'est juste un concept ésotérique mis en avant par UNE personne.
Pourquoi de la pub sur les pierres, qu'on retrouve dans pas mal de concepts ésotériques, est mise sur un fil aussi peu attractif ?
Pourquoi de la pub sur les pierres, qu'on retrouve dans pas mal de concepts ésotériques, est mise sur un fil aussi peu attractif ?
Voila, on va partir sur ça. Mais le marketing est à revoir.
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Re: L'astro-chronobiologie, ensemble et cohérence
En me fiant aux résultats d'une recherche sur le net, j'ai l'impression qu'il n'y a rien de récent publié concernant l'ACB. Ça en ferait un concept verbo-ésotérique, qui est toujours resté assez confidentiel et est maintenant en voie de disparition totale.Mirages a écrit : 14 juil. 2025, 16:23Ya un truc qui cloche: l'astro-chono machin, c'est juste un concept ésotérique mis en avant par UNE personne
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Re: L'astro-chronobiologie, ensemble et cohérence
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