Merci. Et avec une belle citation en prime !
Je ne sais pas trop. C'est une question qui me semble plus complexe qu'il n'y paraît.La croissance est issue du capital emprunté. Ce capital emprunté sera dépensé par le public. Je partais du principe que les dépenses publiques profitait d'une manière générale à tout le monde. Tu n'es pas d'accord avec cette phrase ?
Les coûts peuvent tendre vers l'infini pour une augmentation du bénéfice/service rendu très faible. T'es obligé de mettre un stop à un moment donné.Concernant l'éducation et la santé, clairement non.
Réfléchit un peu.
Ce qui est subjectif c'est d'accorder par exemple (donc pas que) plus ou moins d'importance à tel ou tel budget.on ne peut pas considérer comme subjective la nécessité d'éduquer et de soigner
Je ne fais pas partie de ton "on", je ne souhaite pas faire augmenter les impôts des plus riches qui payent déjà énormément d'impôts individuellement et indirectement via leurs entreprises. Je préfère qu'on baisse d'une manière générale les impôts des entreprises, que les salariés et entrepreneurs aient d'avantage le choix où et comment dépenser leurs argents.On ne demande pas de mettre des têtes sur des piques mais d'envisager d'augmenter leur contribution selon des règles rationnelles.
Je dis cela car cela me parais logique.Pourquoi tu dis ça ?
Justifie.
- Plus tu augmentes les taxes en %, et moins ta clientèle aura de pouvoir d'achat. Il y aura un transfert de PIB entre le privé et le public.Ce qui donne le moral à une entreprise, c'est une clientèle. Le reste, franchement...
Ou un contre pouvoir à des états très puissants qui peuvent également être des menaces.Les stocks d'argent privé sont des menaces
À ton avis la hausse de l'imposition de la fortune en Norvège, elle a permis d'avoir plus de recette fiscales, autant ou moins ?Ha. Un certitude dans une hypothèse... ça vaut quoi en dehors de l'hypothèse ?
C'est plus compliqué que ça.
D'un autre côté, elle est plus avantageuse que dans les pays européens voisins, ce qui devrait être réformé, mais ne l'est pas. Pourquoi? Laxisme des chargés de mission payés grassement à ne rien faire? Main d'oeuvre pas chère pour les pauvres employeurs que tu plains (usines, vergers du sud etc.) ?La mise en œuvre d’une politique de santé publique cohérente, notamment en matière de prophylaxie et de lutte contre la propagation des maladies contagieuses, dans l’intérêt général ;
Une meilleure maîtrise de la dépense publique, en partant du postulat que refuser l’accès aux soins primaires à certaines personnes pourrait conduire la société à devoir prendre en charge des dépenses encore plus importantes, notamment hospitalières.
C'est pourtant ce qui est fait pour les JO, voyages, commémorations, réceptions, notes de frais exhorbitantes, créations multiples de commissions et comités, frais de l'Elysée, de Matignon, rentes et indemnités d'anciens présidents, ministres, représentants, aides aux entreprises, aux commerçants, au détriment de la santé, de l'éducation et des étudiants, du logement, des équipements, de l'état des routes, des ponts, des prisons, et j'en oublie, où nous sommes souvent dans les derniers au classement européen.Ce qui est subjectif c'est d'accorder par exemple (donc pas que) plus ou moins d'importance à tel ou tel budget.
Je l'ai déjà posté :
Il ne s’agit pas d’augmentation artificielle mais de suivre l’inflation.Ce n'est pas une question d'opinion mais de mécanique. J'attends toujours ton explication en quoi augmenter le salaire artificiellement (et donc augmenter mécaniquement le prix de vente) changera quelque chose au pouvoir d'achat/inflation le tout sans compter sur la croissance ou sans lorgner sur les autres parts de valeurs ajoutées données au social/Etat/actionnaires.
Un salarié qui défend le patronat ?Faux...Ça se voit que tu n’es pas salarié.
Non, pondre (et appliquer) les lois idoines, ça serait déjà un bon début.Fais un hold-up, à court terme tu pourras redistribuer un peu plus de richesses, sur le long terme tu appauvris tout le monde.reprendre ce qui a gavé les riches.
Les riches ont bien plus donné à l'état qu'ils ont reçu.
Le mot important ici est « probablement ».L isf était un "impôt de marge" (par rapport aux reste des impôts) pour autant le départ annuel provoqué par cet impôt compense ce que l' impot a ramené. Transformes cet Isf en taxe Zuckman, et il ne s'agira pas de compensation (ou petites pertes) mais probablement de perte(pour l'État).
Donc de dépoiler encore plus l’hôpital et l’école qu’ils ne le sont déjà.Quand à l'intérêt général, on aura pas le même avis. Pour moi il est dans l'intérêt général de baisser drastiquement les dépenses publiques/sociales en % de Pib, et miser sur une croissance decarbonné pour augmenter les dépenses sociale/publiques en absolue plutôt que de miser sur une augmentation de l'imposition en pourcentage et de ce fait créer bien moins de richesses pour tous.
Ce n'est pas une démonstration.Je l'ai déjà posté :
https://www.alternatives-economiques.fr ... e/00104705
Lorsqu’il y a des tensions sur le marché du travail et une montée rapide des prix pour des causes exogènes, les salaires nominaux augmentent mais jamais au même rythme que les prix, conclut plutôt le FMI. En fait, les salariés subissent une partie du choc en voyant leur salaire réel diminuer.
Dès que l’inflation finit par se calmer, les salaires nominaux ont tendance à continuer à progresser et les salaires réels à se stabiliser.
Comme déjà répondu, je ne défend pas particulièrement le patronat mais plus l'intérêt général, et le moins de pauvreté pour tous, favoriser la liberté d'entreprendre, les investissements et le travail.Un salarié qui défend le patronat ?
Il y a plus de 1500 milliards de dépenses publiques, cela ne concerne pas que l hôpital et l'école.Donc de dépoiler encore plus l’hôpital et l’école qu’ils ne le sont déjà.
Ce n'est pas une démonstration.
L’intérêt général confondu avec l’intérêt des classes dominantes, on a compris.Comme déjà répondu, je ne défend pas particulièrement le patronat mais plus l'intérêt général, et le moins de pauvreté pour tous, favoriser la liberté d'entreprendre, les investissements et le travail.
Le long terme ?Mais surtout tu ne sembles pas comprendre que je défends sur le long terme* une augmentation des dépenses publiques en valeur absolue ( via une croissance favorisée comme d'autres pays) plutôt qu'une augmentation des dépenses publiques en pourcentage de PIB avec pour conséquence une croissance toujours plus faible et donc des dépenses publiques toujours plus faibles.
* Et à court terme une baisse des dépenses en pourcentage du PIB.
Augmenter les salaires fait augmenter les prix de vente mécaniquement en revanche. Je ne sais pas si on peut parler d'économie, je dirais plus qu'il s'agit du prix du produit/service qui inclue les différents coûts.Il n’y a pas de démonstration en économie, qui n’est pas une science exacte.
Je ne suis pas contre le fait d'interdire et ou normer les productions polluantes, dans l'intérêt général... Cela va impacter les entreprises qui devront s'adapter mais aussi les ménages.L’intérêt général confondu avec l’intérêt des classes dominantes, on a compris.
C'est faux. Je défends une réduction des dépenses publiques en pourcentage de PIB, elles ont augmenté en quarante ans et elle étaient déjà très haute il y a quarante ans.Ça fait plus de quarante ans qu’on voit l’effet à long terme de ce que tu défends.
Une réduction drastique de la pauvreté pour l'instant et des excédent budgétaire. Attendons de voir... J'ouvrirai peut être un topic sur l'Argentine pour retranscrire les évolutions des données.À court terme, on voit ce que ça donne en Argentine.
Non.shisha a écrit : 07 oct. 2025, 18:42 Augmenter les salaires fait augmenter les prix de vente mécaniquement en revanche.
Une diminution qui donne ce qu’on voit aujourd’hui, où l’hôpital et l’école sont dépouillés pour nourrir les rentiers.C'est faux. Je défends une réduction des dépenses publiques en pourcentage de PIB, elles ont augmenté en quarante ans et elle étaient déjà très haute il y a quarante ans.Ça fait plus de quarante ans qu’on voit l’effet à long terme de ce que tu défends.
Ça doit être pour ça qu’il se prend déculottée sur déculottée.Une réduction drastique de la pauvreté pour l'instant et des excédent budgétaire. Attendons de voir... J'ouvrirai peut être un topic sur l'Argentine pour retranscrire les évolutions des données.À court terme, on voit ce que ça donne en Argentine.
Oui.Non
Le budget de la santé a augmenté en pourcentage du PIB. Celui de l éducation n a pas diminué en pourcentage de PIB (en valeur absolue, il a donc augmenté en moyenne d'années en années ).Une diminution qui donne ce qu’on voit aujourd’hui, où l’hôpital et l’école sont dépouillés pour nourrir les rentiers.
Non.
Ça doit être pour ça que tu as supprimé la référence à la Belgique.Une augmentation des coûts de production entraine une augmentation du prix du vente. (À part si on se réduit les marges, augmente la productivité/CA, ou bien une diminution de la fiscalité/cotisations...).
Un "Non" sans justification, c'est du domaine de la croyance.
Pour la santé, c’est normal, la population vieillit.Le budget de la santé a augmenté en pourcentage du PIB. Celui de l éducation n a pas diminué en pourcentage de PIB (en valeur absolue, il a donc augmenté en moyenne d'années en années ).
La référence en question c'est çà ? :être pour ça que tu as supprimé la référence à la Belgique.
Les salaires sont indexés sur l’inflation en Belgique, il n’y a pas d’inflation galopante là-bas.
Dans tous les cas, il est faux de dire qu'on a diminué les dépenses en santé.Pour la santé, c’est normal, la population vieillit.
La part des dépenses de santé dans le PIB a fortement crû sur la période, de 3,5 points de PIB en 1960 à 8,8 points en 2001, mais tend à se stabiliser depuis une décennie.
La part de la DCSi dans le PIB demeure stable à 11,4 % comme en 2023.
Peut-être mais dans les deux cas le budget n'a pas diminué, c'est l'inverse. Encore +, si tu prends en compte la croissance dans le calcul.En revanche, le service rendu dans les deux cas s’est bien cassé la gueule.
Moins de marge, tant mieux, ça fait moins de pognon pour les rentiers.shisha a écrit : 07 oct. 2025, 22:33 Augmenter les salaires dans une entreprise fera que l'entreprise (et si aucun autre paramètre n'intervient du genre productivité ou autre) devra augmenter le prix de vente de son produit/service pour garder les mêmes marges. Même en Belgique. C'est mécanique. Si tu contredis ce fait sans explication de ta part, c'est faire preuve d'irrationalité.
Pas de quoi en faire un plat, donc.Et sinon la Belgique n'a pas une inflation + faible que les autres pays d'Europe. (elle est même légèrement au dessus).
Normal, la population a vieilli.Nikola dit :Dans tous les cas, il est faux de dire qu'on a diminué les dépenses en santé.Pour la santé, c’est normal, la population vieillit.
Normal, la durée de vie moyenne s’est stabilisée.La part des dépenses de santé dans le PIB a fortement crû sur la période, de 3,5 points de PIB en 1960 à 8,8 points en 2001, mais tend à se stabiliser depuis une décennie.
Le budget de l’école a augmenté, c’est normal, l’école a en son sein des gens qui avant étaient au travail.Peut-être mais dans les deux cas le budget n'a pas diminué, c'est l'inverse. Encore +, si tu prends en compte la croissance dans le calcul.En revanche, le service rendu dans les deux cas s’est bien cassé la gueule.
.Moins de marge, tant mieux, ça fait moins de pognon pour les rentiers
Qu'il y ait de l'inflation ou non dans un pays x ou y, n'était pas la question. Cela ne renseigne pas sur les mécanismes/conséquences d'une augmentation de salaire lors d'une période d'inflation ou de non inflation.Pas de quoi en faire un plat, donc.
C’est tous les ans, là-bas.shisha a écrit : 08 oct. 2025, 07:13 Si tu modifies à la baisse la marge alors en effet çà pourrait maintenir le pouvoir d'achat ponctuellement (tu ne pourras pas utiliser cette botte magique plusieurs fois et elle ne sera pas gratuite/sans conséquence non plus). Ce maintient ne durerait pas longtemps si l'inflation dure longtemps et que cumulé elle dépasse la marge reduite.
Moins de marge, si ça veut dire plus de salaires, ça veut dire plus de pognon qui circule et moins de pognon qui file aux Bahamas.Moins de marges, c'est aussi moins de sous pour l'état (impôt sur l IS), moins de sous pour l'entreprise/autofinancement => moins d'investissement pour faire face aux différentes menaces et ou saisir des opportunités pour favoriser la pérennité de l'entreprise. Les dividendes reversés aux actionnaires dans les PME est loin d'être automatique (concerne à peu près 1/3 des PME).
Si, ça veut dire qu’indexer les salaires sur l’inflation n’est pas synonyme d’inflation galopante, contrairement à ce que disent les ultra-libéraux.Qu'il y ait de l'inflation ou non dans un pays x ou y, n'était pas la question. Cela ne renseigne pas sur les mécanismes/conséquences d'une augmentation de salaire lors d'une période d'inflation ou de non inflation.
J ai édité,.je recolleC’est tous les ans, là-bas.
Tu ne peux pas miser sur une baisse de la marge de manière continue pour pouvoir continuer à augmenter ton salaire (c'est impossible mathématiquement), la baisse de la marge, c'est à usage unique et c'est pas gratuit. (Par exemple une inflation de 2,5% sur deux années bouffera déjà ta marge pour les commerce de détail). Déplus, un jour ou l'autre si tu ne veux pas que la boîte coule, il faudra que la boîte fasse un peu de marge aussi.Moins de marges, c'est aussi moins de sous pour l'état (impôt sur l IS), moins de sous pour l'entreprise/autofinancement => moins d'investissement pour faire face aux différentes menaces et ou saisir des opportunités pour favoriser la pérennité de l'entreprise. Les dividendes reversés aux actionnaires dans les PME est loin d'être automatique (concerne à peu près 1/3 des PME).
Une inflation de 2.5% sur quelques années dépassera rapidement cette marge réduite. Les salariés seront par la suite de nouveau confronté à l'inflation et l'entreprise aura encore plus de difficulté à se maintenir dans le marché (vu qu'on.continue de lui prendre sa marge, dans l'exercice de pensé).
Lors d'une période d'inflation (dont la cause n'est pas précisé), augmenter les salaires ne résoudra pas le problème de l'inflation. Rien dans ce que tu as écrit ne le montre.Si, ça veut dire qu’indexer les salaires sur l’inflation n’est pas synonyme d’inflation galopante, contrairement à ce que disent les ultra-libéraux.
Je recolle moi aussi : c’est tous les ans, là-bas et l’inflation n’y est pas galopante.shisha a écrit : 08 oct. 2025, 07:37 Moins de marges, c'est aussi moins de sous pour l'état (impôt sur l IS), moins de sous pour l'entreprise/autofinancement => moins d'investissement pour faire face aux différentes menaces et ou saisir des opportunités pour favoriser la pérennité de l'entreprise. Les dividendes reversés aux actionnaires dans les PME est loin d'être automatique (concerne à peu près 1/3 des PME).
Une inflation de 2.5% sur quelques années dépassera rapidement cette marge réduite. Les salariés seront par la suite de nouveau confronté à l'inflation et l'entreprise aura encore plus de difficulté à se maintenir dans le marché (vu qu'on.continue de lui prendre sa marge, dans l'exercice de pensé).
Je ne savais pas que la Belgique était dans un plus mauvais état économique que la France.Tu ne peux pas miser sur une baisse de la marge de manière continue pour pouvoir continuer à augmenter ton salaire, la baisse de la marge, c'est à un usage unique. (Par exemple une inflation de 2,5% sur deux années bouffera déjà ta marge pour les commerce de détail). Déplus, un jour ou l'autre si tu me veux pas que la boîte coule, il faudra que la boîte fasse un peu de marge aussi.
Non mais ça empêchera les salariés de glisser dans la misère. On voit en France ce que cette politique de baisse du pouvoir d’achat donne économiquement et politiquement.Lors d'une période d'inflation (dont la cause n'est pas précisé), augmenter les salaires ne résoudra pas le problème de l'inflation. Rien dans ce que tu as écrit ne le montre.
La bas ils ne baissent pas la marge en continu. Quand tu arrives au point où tu égalises les coûts et les recettes , ta réduction de marge est fini, tu ne pourras plus compter dessus pour augmenter les salaires. En Belgique ou ailleurs.Je recolle moi aussi : c’est tous les ans, là-bas et l’inflation n’y est pas galopante.
On parlait à la base de période inflationniste, tu as affirmé lors d'une période inflationniste qu'il suffisait d'augmenter les salaires pour maintenir le pouvoir d'achat, je t'ai répondu que cela ne marchera pas.Il ne s’agit pas d’augmenter les salaires mais de maintenir a minima le pouvoir d’achat des salariés.
Baratin.shisha a écrit : 08 oct. 2025, 08:00 La bas ils ne baissent pas la marge en continu. Quand tu arrives au point où tu égalises les coûts et les recettes , ta réduction de marge est fini, tu ne pourras plus compter dessus pour augmenter les salaires. En Belgique ou ailleurs.
Je n’ai pas écrit que ça suffisait, j’ai écrit que c’était un minimum et que ça se pratique ailleurs sans problème.On parlait à la base de période inflationniste, tu as affirmé lors d'une période inflationniste qu'il suffisait d'augmenter les salaires pour maintenir le pouvoir d'achat, je t'ai répondu que cela ne marchera pas.
Sauf que la croissance ne s’obtient pas en sabrant les salaires, l’école et la santé des gens.Maintenant si le sujet se transforme et devient "comment favoriser le maintient et ou l'augmentation du pouvoir d'achat?" Je pense que la recherche d'une croissance supérieure ou égale à l'inflation serait un bon moyen (mais peut être pas le seul) et pas forcément facile à atteindre non plus de manière continue. Plein d'autre paramètres seraient à prendre en compte également j'imagine et ou viendraient influencer cette inflation et croissance (la fin/réduction des énergies fossiles, les guerres, une "mauvaise" politique économique etc par exemple).
Nikola dit :La bas ils ne baissent pas la marge en continu. Quand tu arrives au point où tu égalises les coûts et les recettes , ta réduction de marge est fini, tu ne pourras plus compter dessus pour augmenter les salaires. En Belgique ou ailleurs.
Alors ne commences pas avec ton Baratin :Baratin
Nikola dit :Moins de marge, si ça veut dire plus de salaires,
Tu as surtout écrit "non" à tord à plusieurs reprises au fait suivant :Je n’ai pas écrit que ça suffisait, j’ai écrit que c’était un minimum et que ça se pratique ailleurs sans problème.
Ta référence sur la Belgique ne contredit pas mon affirmation.Une augmentation des coûts de production entraine une augmentation du prix du vente. (À part si on se réduit les marges, augmente la productivité/CA, ou bien une diminution de la fiscalité/cotisations...).
Les dépenses n'ont pas diminué dans la santé et l'éducation, en revanche, on n'obtient pas la croissance en rackettant toujours plus les entreprises.Sauf que la croissance ne s’obtient pas en sabrant les salaires, l’école et la santé des gens.
Ben, ça veut dire que tu transferts une plus grande partie de la marge des rentiers vers les salariés, donc réduire les inégalités qui depuis les années 80, se creusent (merci les rentiers).shisha a écrit : 08 oct. 2025, 10:19 Alors ne commences pas avec ton Baratin :
Moins de marge, si ça veut dire plus de salaires,
écrit le spécialiste de l’enculage de mouches… tout ça pour ne pas reconnaître que la prétendue boucle prix-salaire est du flan.Tu as surtout écrit "non" à tord à plusieurs reprises au fait suivant :
Oui, parce que la population vieillit (pour la santé) et parce que les écoles accueillent des gens qui étaient avant au travail (pour l’école).Les dépenses n'ont pas diminué dans la santé et l'éducation, en revanche, on n'obtient pas la croissance en rackettant toujours plus les entreprises.
Actuellement, l’école et la santé sont dans un état pitoyable, par sous-financement délibéré.C est un dosage, si tu rackettes trop cela se fait au détriment sur le long terme de la santé, éducation et salaires. Mais il n'y a pas que la fiscalité qui rentre en compte ... Le passage des 35 heures a probablement du jouer également. La concurrence/manque de compétitivité aussi peut être.
Ben, ça veut dire que tu transferts une plus grande partie de la marge des rentiers vers les salariés, donc réduire les inégalités qui depuis les années 80, se creusent (merci les rentiers).
tout ça pour ne pas reconnaître que la prétendue boucle prix-salaire est du flan
Oui on connaît la chanson. Et pour financer les hôpitaux/éducation sur le long terme, sur taxer les entreprises et ou toujours plus n'est pas la bonne solution.Les gens en bonne santé et instruits font des gens productifs, sauf qu’ils sont en moins bonne santé (les sans-dents d’Hollande) et moins instruits (je te fais un dessin ?)
Si c’est le sujet, et je n’ai pas écrit que c’était suffisant.
Arrête un peu avec ta scie.Tu voulais des investissements aussi, réduire la marge c'est aussi réduire les investissements de l'entreprise, réduire l IS (qui participe au financement de la santé et l'éducation), réduire les rémunérations des actionnaires et donc réduire l'attractivité des investissements. De même, réduire la marge c'est participer à réduire la croissance (réduction de l'attractivité des investissements) et donc la baisse/stagnation du pouvoir d'achat.
Ça contredit la prétendue boucle prix-salaire mais comme d’habitude, tu fais diversion pour ne pas le reconnaître.Ta référence à la Belgique, ne contredit pas le fait que cela te plaise ou non qu'augmenter les salaires dans une entreprise conduise à une augmentation du prix du vente de service/produit de l'entreprise en question. (Sauf si d'autres paramètres s'ajoutent comme déjà mentionné plusieurs fois).
Il ne s’agit pas de les surtaxer, mais d’arrêter de les financer pour rien (comme le CICE), de leur faire des cadeaux inutiles (je me souviens de la baisse de la TVA sur les restaurants, la bonne blague).Et pour financer les hôpitaux/éducation sur le long terme, sur taxer les entreprises et ou toujours plus n'est pas la bonne solution.
Arrêtes alors avec ton monde imaginaire où récupérer la marge des entreprises n'entraînerait aucune conséquence (pour tous).Arrête un peu avec ta scie.
Non cela ne contredit pas.Ça contredit la prétendue boucle prix-salaire mais comme d’habitude, tu fais diversion pour ne pas le reconnaître.
Ces cadeaux en comparaison aux boulets qu'on leurs impose c'est de la gnognote.Il ne s’agit pas de les surtaxer, mais d’arrêter de les financer pour rien (comme le CICE), de leur faire des cadeaux inutiles (je me souviens de la baisse de la TVA sur les restaurants, la bonne blague).
L'hôpital qui se fout de la charité, comme toujours...., tu changes de sujet
shisha a écrit : 08 oct. 2025, 11:21 Arrêtes alors avec ton monde imaginaire où récupérer la marge des entreprises n'entraînerait aucune conséquence (pour tous).
Eh si, la Belgique n’est pas en crise, que je sache.Non cela ne contredit pas.
Ça contredit la prétendue boucle prix-salaire.Juste citer la Belgique, dire qu'elle a un faible taux d inflation et qu'elle indexe les salaires, ne prouve rien dutout
Comme refiler des miyiards aux rentiers ne va pas les faire investir ni ne va augmenter les salaires, mais c’est le but.Augmenter le salaire va mécaniquement augmenter les coûts de production. Rien dans ton baratin ne montre l'inverse.
Et ne pas augmenter les salaires va faire perdre du pouvoir d’achat aux salariés.Dans un contexte d'inflation, augmenter les salaires a donc un effet nulle sur l'inflation (ce que tu gagnes d'un côté, tu le perds de l'autre).
Mais ce n’est pas le but !Cela ne va pas augmenter l'inflation ni la diminuer
C’est vrai que payer des salaires, rendre les gens instruits (enfin essayer) ou en bonne santé (idem), c’est de trop pour les rentiers.Ces cadeaux en comparaison aux boulets qu'on leurs impose c'est de la gnognote.
L'hôpital qui se fout de la charité, comme toujours.
Comme d'habitude tu modifies ce que je dis/penses. Tu fais du trollage.Pour tous veut dire pour toi pour les rentiers, on l’a compris.
Aucun rapport.Eh si, la Belgique n’est pas en crise, que je sache.
Augmenter le salaire parce que tu redistribues la croissance (supérieur ou égal à cette inflation) , permet de garder voir augmenter ton pouvoir d'achat.Et ne pas augmenter les salaires va faire perdre du pouvoir d’achat aux salariés.
Ça ne me semble pas compliqué à comprendre.
Utilisateurs parcourant ce forum : Aucun utilisateur inscrit
