Combien ne sont plus riches ?shisha a écrit : 10 oct. 2025, 15:37 j'étais tombé sur un extrait d étude qui montrait que sur un nombre défini de milliardaires, dix ans plus tard, ils n'étaient majoritairement plus milliardaires, d'autres milliardaires avaient pris leurs places. (Entre 2000 et 2010).
Instabilité géopolitique, crise climatique, fiscalité, taxes, quotas et règlements
Re: Instabilité géopolitique, crise climatique, fiscalité, taxes, quotas et règlements
Le libre arbitre est à la causalité ce que le corps est à la physique
Re: Instabilité géopolitique, crise climatique, fiscalité, taxes, quotas et règlements
jean7 a écrit : 11 oct. 2025, 12:24Combien ne sont plus riches ?shisha a écrit : 10 oct. 2025, 15:37 j'étais tombé sur un extrait d étude qui montrait que sur un nombre défini de milliardaires, dix ans plus tard, ils n'étaient majoritairement plus milliardaires, d'autres milliardaires avaient pris leurs places. (Entre 2000 et 2010).
Je n'arrive plus à remettre la main sur cet article

Re: Instabilité géopolitique, crise climatique, fiscalité, taxes, quotas et règlements
Oui, l'inverse est vrai aussi.Un don peut être éminemment plus profitable qu'un investissement.
Pas d'accord. Les investissements/la prise de risque, ont grandement participé à l'évolution du monde (pour le meilleur et pour le pire).Ce ne sont pas ces comportements qui ont fait progresser le monde.
Dernière modification par shisha le 11 oct. 2025, 13:35, modifié 1 fois.
Re: Instabilité géopolitique, crise climatique, fiscalité, taxes, quotas et règlements
En gros, des gens qui étaient presque miyiardaires ont perdu des sous (enfin, de la valeur d’actions) après une grosse crise et/ou après avoir investi chez Maddoff.shisha a écrit : 11 oct. 2025, 13:26 C'était la majorité. Pour autant le nombre de riches n'avaient pas diminué, d'autres étaient devenu milliardaires. C'était probablement une période spéciale du fait de la crise 2008.
L’homme descend du singe, or l’homme est fait à l’image de Dieu. Donc Dieu est King Kong.
-+- Cavanna, François -+-
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Re: Instabilité géopolitique, crise climatique, fiscalité, taxes, quotas et règlements
Précisément, le comportement que tu décris revient à rechigner à prendre un risque au prétexte que le gain est insuffisant.shisha a écrit : 11 oct. 2025, 13:34 Pas d'accord. Les investissements/la prise de risque, ont grandement participé à l'évolution du monde (pour le meilleur et pour le pire).
En quelque sorte, c'est :
Risquer pour gagner beaucoup, d'accord, risquer pour gagner peu, pas d'accord.
Et ce dans un contexte extrêmement normé puisqu'il ne s'agit que de compter de la monnaie en entrée et de la monnaie en sortie.
Ce n'est pas un comportement audacieux, téméraire, aventureux, novateur, visionnaire.
Ce n'est pas ce comportement là qui a grandement participé à l'évolution du monde.
En fait, plus que de croire que tu te trompe, j'espère que tu te trompe.
Le libre arbitre est à la causalité ce que le corps est à la physique
Re: Instabilité géopolitique, crise climatique, fiscalité, taxes, quotas et règlements
Heu, tu as dit que la majorité ,'était plus milliardaire.shisha a écrit : 11 oct. 2025, 13:26Je n'arrive plus à remettre la main sur cet articlejean7 a écrit : 11 oct. 2025, 12:24Combien ne sont plus riches ?shisha a écrit : 10 oct. 2025, 15:37 j'étais tombé sur un extrait d étude qui montrait que sur un nombre défini de milliardaires, dix ans plus tard, ils n'étaient majoritairement plus milliardaires, d'autres milliardaires avaient pris leurs places. (Entre 2000 et 2010).Je comprendrais votre scepticisme. C'était la majorité.
Millionnaire, c'est toujours riche (enfin, pour moi)..
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Re: Instabilité géopolitique, crise climatique, fiscalité, taxes, quotas et règlements
Ouijean7 a écrit : 11 oct. 2025, 17:10Heu, tu as dit que la majorité ,'était plus milliardaire.shisha a écrit : 11 oct. 2025, 13:26Je n'arrive plus à remettre la main sur cet articlejean7 a écrit : 11 oct. 2025, 12:24Combien ne sont plus riches ?shisha a écrit : 10 oct. 2025, 15:37 j'étais tombé sur un extrait d étude qui montrait que sur un nombre défini de milliardaires, dix ans plus tard, ils n'étaient majoritairement plus milliardaires, d'autres milliardaires avaient pris leurs places. (Entre 2000 et 2010).Je comprendrais votre scepticisme. C'était la majorité.
Millionnaire, c'est toujours riche (enfin, pour moi)..
Re: Instabilité géopolitique, crise climatique, fiscalité, taxes, quotas et règlements
Risquer pour gagner peu (proportionnellement par rapport à la somme investie) c'est très fréquent, mais il vaut mieux dans ce cas là que le risque ne soit pas très important.Risquer pour gagner beaucoup, d'accord, risquer pour gagner peu, pas d'accord.
La carotte financière (qui peut se traduire par pouvoir en vivre pour la grande majorité des cas même très modestement : la moitié des patrons, après avoir investi du temps et de l'argent pour de l'incertitude, travaillent 50heures par semaine pour moins qu'un Smic) peut être une carotte qui s'ajoute à une autre carotte, celle de transmettre sa passion éventuelle, rendre un service/bien que l'on estime utile à la société et ou avoir un certain degré de liberté.
Maintenant l'acte d'investir sans participer à la vie de l'entreprise est certe moins complet/regroupe moins de dimensions. Pour autant cela peut avoir son utilité et réponds à certaines règles (utilité des investissements pour l'entreprise/société d'un côté, risque et récompense du risque pour l'autre).
Créer une entreprise, se lancer dans des projets, risquer ses économies/capital /anticiper un minimum le marché (et donc la société) peut regrouper plusieurs si ce n'est tous les qualificatifs que tu as énumérés. En fonction de la situation, forcément le degré de ces adjectifs sera différent voir absent.Ce n'est pas un comportement audacieux, téméraire, aventureux, novateur, visionnaire.
Je crois que tu dramatises un shouilla. L'intention du gain financier éventuel (ou rémunération tout court) n'est pas le seul moteur, il est souvent lié à d'autres intentions. Quand bien même il n'y aurait pas cette autre intention, pour pouvoir avoir un gain financier/une rémunération, souvent*, cela se traduit par le devoir de rendre un service aux autres.En fait, plus que de croire que tu te trompe, j'espère que tu te trompe.
*Pas systématique, car la nuisance (plus ou moins visible/subtil/indirecte et aussi en fonction de l'échelle de temps retenue) peut être plus importante que le service rendu.
Re: Instabilité géopolitique, crise climatique, fiscalité, taxes, quotas et règlements
Et tu pense qu'ils diraient "à moins de 5500 euro par mois, je ne le fait plus" ?shisha a écrit : 11 oct. 2025, 18:54 La carotte financière (qui peut se traduire par pouvoir en vivre pour la grande majorité des cas même très modestement : la moitié des patrons, après avoir investi du temps et de l'argent pour de l'incertitude, travaillent 50heures par semaine pour moins qu'un Smic) peut être une carotte qui s'ajoute à une autre carotte, celle de transmettre sa passion éventuelle, rendre un service/bien que l'on estime utile à la société et ou avoir un certain degré de liberté.
Une utilité fonctionnelle. Certainement.shisha a écrit : 11 oct. 2025, 18:54
Maintenant l'acte d'investir sans participer à la vie de l'entreprise est certes moins complet/regroupe moins de dimensions. Pour autant cela peut avoir son utilité et réponds à certaines règles (utilité des investissements pour l'entreprise/société d'un côté, risque et récompense du risque pour l'autre).
Une AI pourrait l'assumer alors ?
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Re: Instabilité géopolitique, crise climatique, fiscalité, taxes, quotas et règlements
Si Anne Hidalgo n’arrive pas à s’en sortir avec 4900 euro nets par mois, alors eux... 

Русский военный корабль, иди нахуй !


Re: Instabilité géopolitique, crise climatique, fiscalité, taxes, quotas et règlements
Jean dit :
Si le risque de perdre concerne des dizaines de millions/milliards est plus ou moins important et que le "seul" bénéfice possible soit de gagner au maximum 5500 par mois alors mécaniquement c'est un frein (si cette somme gagné en fonction de la somme investie représente par exemple 0,1 % de rendement annuel net d'impôts mais que tu as à côté 2% d'inflation....).
Le choix peut vite ressembler entre perdre et perdre. Même en admettant que cette inflation soit de 0,09%, l'intérêt serait plus que mitigé au vu du risque de la perte du capital.
=> Autant être dans la consommation, investir ailleurs ou apeller cela un don/visée non lucrative...
Il y aussi le cas (pas si rare) où les personnes investissent dans leurs passions/projet, se développe petit à petit, deviennent rentable, très rentable car le "marché apprécie beaucoup" le produit/service réalisé. Et de fil en aiguille, ces personnes deviennent riches sans pour autant l'avoir recherché initialement.
Quand une somme est investie, le raisonnement concernant la rémunération se fait en pourcentage. En fonction du montant investi et du degré de risque (et de la personnalité de l'investisseur) cela sera donc je le fais, je le fais moins ou je ne le fais pas.Et tu pense qu'ils diraient "à moins de 5500 euro par mois, je ne le fait plus" ?
Si le risque de perdre concerne des dizaines de millions/milliards est plus ou moins important et que le "seul" bénéfice possible soit de gagner au maximum 5500 par mois alors mécaniquement c'est un frein (si cette somme gagné en fonction de la somme investie représente par exemple 0,1 % de rendement annuel net d'impôts mais que tu as à côté 2% d'inflation....).
Le choix peut vite ressembler entre perdre et perdre. Même en admettant que cette inflation soit de 0,09%, l'intérêt serait plus que mitigé au vu du risque de la perte du capital.
=> Autant être dans la consommation, investir ailleurs ou apeller cela un don/visée non lucrative...
Il y aussi le cas (pas si rare) où les personnes investissent dans leurs passions/projet, se développe petit à petit, deviennent rentable, très rentable car le "marché apprécie beaucoup" le produit/service réalisé. Et de fil en aiguille, ces personnes deviennent riches sans pour autant l'avoir recherché initialement.
Une bonne partie des placements est effectué par des algorithmes je crois. Pour autant l'AI n' est pas le propriétaire (pas encore ^^).Une AI pourrait l'assumer alors ?
Re: Instabilité géopolitique, crise climatique, fiscalité, taxes, quotas et règlements
Tant mieux pour elles, mais je n'ai absolument rien non plus cotre les gens qui deviennent riches en le voulant !shisha a écrit : 12 oct. 2025, 08:56 Et de fil en aiguille, ces personnes deviennent riches sans pour autant l'avoir recherché initialement.
Je trouve seulement que les données économiques montrent qu'il y a des accumulations anormales* de richesse et des gains anormaux* et que la fiscalité qui pourtant assume une fonction de répartition compensatoire renonce à le faire de la même façon quand il s'agit des ultrarichesses et ultragains.
Et que les raisons avancées pour ce renoncement me semblent bien peu rationelles.
* pas au sens moral du terme. Au sens qu'ils montrent que la fiscalité ne traite pas tout le monde selon la même logique.
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Re: Instabilité géopolitique, crise climatique, fiscalité, taxes, quotas et règlements
Jean dit :
La logique sera forcément différente car on compare des choses différentes.
*Sans prendre en compte d'ailleurs la première imposition des bénéfices (IS) sinon cela monterait à 47.5%.
Car on compare des revenus différents (travail vs financiers*) dans un contexte de concurrence/de pays ayant des intérêts géostratégiques différents, voir on compare parfois des revenus avec des titres de propriétés/non revenus.pas au sens moral du terme. Au sens qu'ils montrent que la fiscalité ne traite pas tout le monde selon la même logique.
La logique sera forcément différente car on compare des choses différentes.
*Sans prendre en compte d'ailleurs la première imposition des bénéfices (IS) sinon cela monterait à 47.5%.
Re: Instabilité géopolitique, crise climatique, fiscalité, taxes, quotas et règlements
Donc,shisha a écrit : 12 oct. 2025, 12:09Car on compare des revenus différents (travail vs financiers*) dans un contexte de concurrence/de pays ayant des intérêts géostratégiques différents, voir on compare parfois des revenus avec des titres de propriétés/non revenus.... la fiscalité ne traite pas tout le monde selon la même logique.
Pour faire fortune en échappant au fisc, y'a la finance et le hold-up.
Pour ne pas faire fortune et ne pas échapper au fisc, y'a le travail.
La richesse, il y a ceux qui la font, et ceux qui l'accumulent en faisant joujou avec.
Rien n'est justifiable dans ce binz.
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Re: Instabilité géopolitique, crise climatique, fiscalité, taxes, quotas et règlements
Jean dit :
Pas de binz
Les impôts actuels se justifient et répondent à une logique, et encore plus dans un contexte de concurrence. Et non, la finance, est bien taxée aussi.
Créons/finançons et investissons dans une EURL, voyons comment cette fiscalité/cotisation est si inexistante, alors çà commence par un bon 20% de TVA sur le CA, ensuite des cotisations sociales salariales/patronales (la moitié du salaire brut), impôt sur les bénéfices (25%), impôt sur les dividendes (30% soit 47,5 % sur les bénéfices totaux), Impot sur les revenus issus du travail etc...
Quand tu travailles, tu ne prends pas le risque de perdre ton capital.99,99% des gens qui travaillent payent moins d'impôts proportionnellement que ceux qui tirent leurs revenus principalement de la finance.
L'impôt est progressif jusqu'au 0.1% . Si tu trouve injustifié que les 0,0001% payent moins d'impôts proportionnellement que les 0,1%, dis toi qu'il n'est pas compté dedans l'impôt sur l'IS, de même que si tu tiens tant à avoir cette droite progressive, tu peux baisser l'impôt des 99,99% les plus pauvres afin de ne pas se tirer une balle dans le pied en augmentant l'impôt des revenus financiers (balle dans le pied, vis à vis des autres pays et la concurrence/et ou de l'impact potentiel sur le volume de création de richesses).
Quand à la fortune, ce n'est pas le détendeur qui en profite le plus. En général on est moins amener à faire joujou avec notre argent que lorsqu on gère l'argent des autres (comme l'état) car on en paye directement les conséquences, voir le premier message de ce fil.
.Rien n'est justifiable dans ce binz
Pas de binz
Les impôts actuels se justifient et répondent à une logique, et encore plus dans un contexte de concurrence. Et non, la finance, est bien taxée aussi.
Créons/finançons et investissons dans une EURL, voyons comment cette fiscalité/cotisation est si inexistante, alors çà commence par un bon 20% de TVA sur le CA, ensuite des cotisations sociales salariales/patronales (la moitié du salaire brut), impôt sur les bénéfices (25%), impôt sur les dividendes (30% soit 47,5 % sur les bénéfices totaux), Impot sur les revenus issus du travail etc...
Quand tu travailles, tu ne prends pas le risque de perdre ton capital.99,99% des gens qui travaillent payent moins d'impôts proportionnellement que ceux qui tirent leurs revenus principalement de la finance.
L'impôt est progressif jusqu'au 0.1% . Si tu trouve injustifié que les 0,0001% payent moins d'impôts proportionnellement que les 0,1%, dis toi qu'il n'est pas compté dedans l'impôt sur l'IS, de même que si tu tiens tant à avoir cette droite progressive, tu peux baisser l'impôt des 99,99% les plus pauvres afin de ne pas se tirer une balle dans le pied en augmentant l'impôt des revenus financiers (balle dans le pied, vis à vis des autres pays et la concurrence/et ou de l'impact potentiel sur le volume de création de richesses).
Quand à la fortune, ce n'est pas le détendeur qui en profite le plus. En général on est moins amener à faire joujou avec notre argent que lorsqu on gère l'argent des autres (comme l'état) car on en paye directement les conséquences, voir le premier message de ce fil.
Dernière modification par shisha le 13 oct. 2025, 00:17, modifié 1 fois.
Re: Instabilité géopolitique, crise climatique, fiscalité, taxes, quotas et règlements
La TVA est payée par les clients, pas par la boîte.
On te l’a déjà dit, il me semble.
C’est sûr qu’il vaut mieux des gens en mauvaise santé, ça coûte moins cher.ensuite des cotisations sociales salariales/patronales (la moitié du salaire brut),
À condition que l’intégralité des bénéfices deviennent des dividendes.impôt sur les bénéfices (25%), impôt sur les dividendes (30% soit 47,5 % sur les bénéfices totaux),
Remarque que tous ces impôts et cotisations ne se cumulent pas, ils concernent des lignes comptables différentes.Impot sur les revenus issus du travail etc...
Tu risques ta vie (les statistiques d’accidents mortels au travail sont mauvaises en France) ou ta santé (l’espérance de vie, en bonne santé ou non, dépend fortement de la catégorie sociale), tu risques de retrouver à la rue si la boîte qui fait vivre un petit bled arrive à pied par la Chine, tu risques de te faire virer si tu déplais au patron alors que si le patron est un vrai connard, on ne peut pas le virer.Quand tu travailles, tu ne prends pas le risque de perdre ton capital.
Au fait, on attend le document qui parlait des miyiardaires qui se retrouvent miyionnaires.
En même temps, la plupart arrivent rarement à un taux d’imposition qui dépasse les 30%.99,99% des gens qui travaillent payent moins d'impôts proportionnellement que ceux qui tirent leurs revenus principalement de la finance.
La concurrence à bon dos pour laisser faire (et enrichir encore plus) des gens déjà riches.tu peux baisser l'impôt des 99,99% les plus pauvres afin de ne pas se tirer une balle dans le pied en augmentant l'impôt des revenus financiers (balle dans le pied, vis à vis des autres pays et la concurrence/et ou de l'impact potentiel sur le volume de création de richesses).
Quand à la fortune, ce n'est pas le détendeur qui en profite le plus.

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Re: Instabilité géopolitique, crise climatique, fiscalité, taxes, quotas et règlements
Nikola :
Les clients payent la TVA car les clients payent la TVA (ta justification?).
Les clients payent-ils aussi les cotisations sociales, les impôts sur les bénéfice car c'est inclue dans le prix du produit et que l'entreprise n'agit que comme un intermédiaire ?
Si "non" pour ces cas là, pourquoi ? Et pourquoi cela serait le cas uniquement pour la TVA ? Je n'ai pas eu de réponse à cette question.
Merci de ne pas me sortir les écritures comptables comme justification car cela serait faire preuve de tautologie.
Maintenant si on se met du point de vue des dividendes reversés, c'est un bénéfice qui se fait bien taxé une deuxième fois (cette part du bénéfice donc pas le bénef total est taxée à 47.5%, part de l'IS + dividendes).
Mais tu troques ton temps de travail contre une certaine rémunération. Le tout sans risque de perdre du capital. Contrairement à la finance/investissements qui troquent contre de l'incertitude avec risque de perte. Ce ne sont pas les mêmes règles (notes qu'investir en Bourse ou créer une entreprise, c'est autorisé à tout le monde, si certains se l'interdisent parce que c'est pêcher, c'est leurs problèmes (tout en bénéficiant bien de ces investissements indirectement néanmoins..)).
Pas d'entreprise = pas de tva.La TVA est payée par les clients, pas par la boîte.
On te l’a déjà dit, il me semble.
Les clients payent la TVA car les clients payent la TVA (ta justification?).
Les clients payent-ils aussi les cotisations sociales, les impôts sur les bénéfice car c'est inclue dans le prix du produit et que l'entreprise n'agit que comme un intermédiaire ?
Si "non" pour ces cas là, pourquoi ? Et pourquoi cela serait le cas uniquement pour la TVA ? Je n'ai pas eu de réponse à cette question.
Merci de ne pas me sortir les écritures comptables comme justification car cela serait faire preuve de tautologie.
Une EURL qui n'a pas de salariés en dehors du patron.C’est sûr qu’il vaut mieux des gens en mauvaise santé, ça coûte moins cher.
Oui et non. Oui si on regarde le bénéfice totale de l'entreprise.À condition que l’intégralité des bénéfices deviennent des dividendes.
Maintenant si on se met du point de vue des dividendes reversés, c'est un bénéfice qui se fait bien taxé une deuxième fois (cette part du bénéfice donc pas le bénef total est taxée à 47.5%, part de l'IS + dividendes).
C'est l'investissement et le travail qui permettent toutes ces "lignes".Remarque que tous ces impôts et cotisations ne se cumulent pas, ils concernent des lignes comptables différentes.
OuiTu risques
Mais tu troques ton temps de travail contre une certaine rémunération. Le tout sans risque de perdre du capital. Contrairement à la finance/investissements qui troquent contre de l'incertitude avec risque de perte. Ce ne sont pas les mêmes règles (notes qu'investir en Bourse ou créer une entreprise, c'est autorisé à tout le monde, si certains se l'interdisent parce que c'est pêcher, c'est leurs problèmes (tout en bénéficiant bien de ces investissements indirectement néanmoins..)).
Pas "on" mais toi, je me suis déjà exprimé sur le sujet/j'ai répondu à Jean.Au fait, on attend le document qui parlait des miyiardaires qui se retrouvent miyionnaires.
Voilà...En même temps, la plupart arrivent rarement à un taux d’imposition qui dépasse les 30%.
Il ne s'agit pas que de concurrence, même si il est vrai que cela y joue, il s'agit aussi de volume d'investissement.La concurrence à bon dos pour laisser faire (et enrichir encore plus) des gens déjà riches.
Il n'y a qu'à voir où vont les principales richesses créées de l'entreprise. Contrairement aux patrimoines immobiliers des particuliers qui ne profitent qu'à leurs détenteurs.![]()
Re: Instabilité géopolitique, crise climatique, fiscalité, taxes, quotas et règlements
Du coup, pour donner une chance à l'actuel ne faudrait-il pas qu'il existe deux monnaies ?
Ou un système tel que l'argent de ces sommes échappant à la logique commune ne puisse servir qu'à des investissements et des remboursements de dettes ? Séparer l'argent et l'argent de la finance ?
Ou un système tel que l'argent de ces sommes échappant à la logique commune ne puisse servir qu'à des investissements et des remboursements de dettes ? Séparer l'argent et l'argent de la finance ?
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Re: Instabilité géopolitique, crise climatique, fiscalité, taxes, quotas et règlements
shisha a écrit : 12 oct. 2025, 20:06 Créons/finançons et investissons dans une EURL, voyons comment cette fiscalité/cotisation est si inexistante, alors çà commence par un bon 20% de TVA sur le CA, ensuite des cotisations sociales salariales/patronales (la moitié du salaire brut), impôt sur les bénéfices (25%), impôt sur les dividendes (30% soit 47,5 % sur les bénéfices totaux), etc...
Non. On ne pare que de l'impôt sur les revenus des "unités de consommation". Ce qui en gros dans ta liste est de 30% seulement pour les dividendes.shisha a écrit : 12 oct. 2025, 20:0699,99% des gens qui travaillent payent moins d'impôts proportionnellement que ceux qui tirent leurs revenus principalement de la finance.
Les impôts internes à une société ne sont pas concernés par cette discussion.
Quand tu travaille, ton capital, c'est uniquement ta vie. Et le risque de tout perdre est réel (Personnellement, je suis passé deux ou trois fois à deux assez près de ce risque pour en témoigner dont une fois dans des circonstances de travail absolument banale et commune à tous les travailleurs.shisha a écrit : 12 oct. 2025, 20:06 Quand tu travailles, tu ne prends pas le risque de perdre ton capital.
Le grosse majorité du budget de l'état n'est pas un jeu. Ce sont principalement les frais de maintenance et d'investissement du pays.shisha a écrit : 12 oct. 2025, 20:06En général on est moins amener à faire joujou avec notre argent que lorsqu on gère l'argent des autres (comme l'état) car on en paye directement les conséquences, voir le premier message de ce fil.
Il y a effectivement des comportements ou activités choquantes. Pour ça il y a la cour des comptes et je suis tout à fait favorable à l'idée d'en étendre la porté.
Un pays sans état ou don l'état n'assume pas les dépenses publiques ??? Il y a dans le monde je crois des villes ou des quartiers qui ressemblent à ça...
En quelque sorte, il est souvent dit de l'état que c'est la plus grosse mafia existante dans un pays. C'est pas faux. Mais si elle est démocratiquement élue, et oeuvre effectivement à la protection, l'éducation, la santée... de tous selon des règles démocratiquement établies...
Le libre arbitre est à la causalité ce que le corps est à la physique
Re: Instabilité géopolitique, crise climatique, fiscalité, taxes, quotas et règlements
Réponse que tu n'as pas du lire alors.shisha a écrit : 12 oct. 2025, 20:46Pas d'entreprise = pas de tva.La TVA est payée par les clients, pas par la boîte.
On te l’a déjà dit, il me semble.
Les clients payent la TVA car les clients payent la TVA (ta justification?).
Les clients payent-ils aussi les cotisations sociales, les impôts sur les bénéfice car c'est inclue dans le prix du produit et que l'entreprise n'agit que comme un intermédiaire ?
Si "non" pour ces cas là, pourquoi ? Et pourquoi cela serait le cas uniquement pour la TVA ? Je n'ai pas eu de réponse à cette question.
"La taxe sur la valeur ajoutée (TVA) est un impôt indirect payé par les consommateurs et collecté par les entreprises." (Ministère de l'économie)
"La TVA est payée par les consommateurs finaux" (Nouveaux entrepreneurs)
"La TVA est un impôt indirect sur la consommation, payé par les consommateurs mais collecté par les entreprises." (École supérieure de gestion et d'expertise comptable)
"La TVA (taxe sur la valeur ajoutée) est un impôt qui pèse sur les particuliers lors de leurs achats de biens ou de services. Les entreprises ne sont pas redevables de cet impôt, mais elles sont chargées de collecter la TVA pour le compte de l’État puis de la reverser. Parallèlement, la TVA payée par les entreprises lors de leurs achats professionnels est remboursée par l’État : c’est la TVA déductible." (Capital)
"La taxe sur la valeur ajoutée (TVA) est un impôt général sur la consommation qui est directement facturé aux clients sur les biens qu’ils consomment ou les services qu’ils utilisent en France." (impots.gouv.fr)
...
La TVA n'entre pas dans le compte de résultat d'une entreprise. Ce ne sont pas des charges. Elle est fixe pour une famille de produit / service. Elle ne dépend pas de paramètres liés à l'entreprise.
Les cotisations sociales, les impôts sur les bénéfice entrent dans le compte de résultat d'une entreprise. Ce sont des charges. Elles sont variables suivant des paramètres liés à l'entreprise.
Note : La TVA sur le produit vendu par l'entreprise est perçue par l'entreprise. Suivant ton raisonnement, ce serait donc non pas une charge mais un bénéfice supplémentaire (invisible des impôts en plus).
Si ça ne te convient pas, je te conseille d'aller poser la question sur un forum d'économie ou de fiscalistes.
Accessoirement, ton obstination sur cette erreur (sur un point d'économie particulièrement basique) ne rend pas tes autres affirmations dans ce domaine très crédibles. (sans parler de ton autre erreur grossière de cumuler l'IS avec les IR/ID).
D'autre part, tu amalgames systématiquement toutes les entreprises / entrepreneurs. Ce qui n'est pas le cas des autres intervenants qui font bien la distinction entre la majorité des entrepreneurs (qui participent "normalement" à l'économie) et les ultra-riches qui profitent bien trop d'un système capitaliste mal contrôlé (cf la citation sur ce post)
Thunderbolt and lightning very, very frightening me (Galileo)
Re: Instabilité géopolitique, crise climatique, fiscalité, taxes, quotas et règlements
Alors ponds un message clair (ça nous changera).shisha a écrit : 12 oct. 2025, 20:46 Les clients payent la TVA car les clients payent la TVA (ta justification?).
Les entreprises paient la TVA sur ce qu’elles achètent, pas sur ce qu’elles vendent.
Et encore un exemple hors-sujet pour enculer les mouches.Une EURL qui n'a pas de salariés en dehors du patron.
C’est vrai que perdre la vie est moins grave que perdre du capital.Mais tu troques ton temps de travail contre une certaine rémunération. Le tout sans risque de perdre du capital. Contrairement à la finance/investissements qui troquent contre de l'incertitude avec risque de perte. Ce ne sont pas les mêmes règles (notes qu'investir en Bourse ou créer une entreprise, c'est autorisé à tout le monde, si certains se l'interdisent parce que c'est pêcher, c'est leurs problèmes (tout en bénéficiant bien de ces investissements indirectement néanmoins..)).
Ben si, j’attends aussi.Pas "on" mais toi, je me suis déjà exprimé sur le sujet/j'ai répondu à Jean.
Tout simplement parce que les salariés gagnent peu de fric, mais tu ne l'as même pas compris.Voilà...En même temps, la plupart arrivent rarement à un taux d’imposition qui dépasse les 30%.
Ben, aux locataires, si on te suit.Il n'y a qu'à voir où vont les principales richesses créées de l'entreprise. Contrairement aux patrimoines immobiliers des particuliers qui ne profitent qu'à leurs détenteurs.
L’homme descend du singe, or l’homme est fait à l’image de Dieu. Donc Dieu est King Kong.
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Re: Instabilité géopolitique, crise climatique, fiscalité, taxes, quotas et règlements
TVA sur les achats qui est remboursée par l'état (TVA déductible). Donc aucun impact sur les comptes de l'entreprise.nikola a écrit : 13 oct. 2025, 06:20 Les entreprises paient la TVA sur ce qu’elles achètent, pas sur ce qu’elles vendent.
"Les professionnels, assujettis redevables de la TVA, peuvent récupérer la TVA supportée lors des achats réalisés dans le cadre de leur activité." (impots.gouv.fr)
Thunderbolt and lightning very, very frightening me (Galileo)
Re: Instabilité géopolitique, crise climatique, fiscalité, taxes, quotas et règlements
Inso dit :
Tes interventions sont complètement biaisés et cette intervention supplémentaire le montre. Tu n'interviens pas/ne soulignes pas les biais, erreurs de raisonnement, mauvaise foi de ceux qui partagent à peu près les même convictions que toi.
Concernant la TVA :
Tu ne répond pas à la question du pourquoi on fait une différence entre la TVA et les cotisations par exemple. Tu ne fais que dire la TVA est payé par les clients car la TVA est payée par les clients et ou car on enregistre pas de la même manière comptablement (alors que j'avais deja dit que se justifier de cette manière était tautologique). La variante de dire qu'un tel ou un tel le dit n'explique pas pour autant, on reste dans la tautologie.
D'un côté, on considère que le TVA n'est pas un coût pour l'entreprise et que les clients la payent.
Et de l'autre, pour les cotisations sociales par exemple, on considère que c'est un coût directe pour l'entreprise et donc que les clients ne la payent pas.
Or augmenter ou diminuer cette tva/ces cotisations, auront à peu près les mêmes conséquence pour les entreprises, individuellement (très peu voir pas de conséquences sauf au moment de la transition) et globalement (aura des conséquences sur les entreprises globalement).
Es tu d'accord avec ce "or" ?
Expliquer ces éventuelles différences sur les conséquences me convaincrait peut être. Personnellement j'ai du mal à voir des différences.
À partir du moment où l'on s'accorderait pour dire que ces baisses/augmentations ont à peu près le même impact sur les entreprises (augmenter/diminuer le prix du produit, impacte le pouvoir d achat et donc les entreprises globalement), à peu de chose près, alors faire un scission/schisme entre d'un côté dire que c est les clients qui payent (TVA)et de l'autre que c'est l'entreprise (cotisations) me semble trop exagéré/pas correct.
Pour le moment, cette différence (entre TVA et cotisations sociales, coût de l'entreprise ou non coût, payé par les clients ou non) traduit plus pour moi l'expression d'une convention fiscale plutôt qu'une réalité économique.
Les achats clients sont nécessaires pour payer les produits/services, incluant la tva (mais aussi les salaires bruts, avant fournisseurs, benefice, impôt) et les entreprises sont indispensables pour produire ce service et produit.
Elle n'est pas reconnu comme un coût par convention fiscale mais concrètement elle a beaucoup d'effet similaires.
Dire que la finance permet d'échapper aux taxes comme l'affirme Jean est une erreur grossière (mais pour souligner cette erreur grossière, il ne faut pas compter sur toi apparemment).
Que cela apparaisse dans deux cases différentes ne change pas le fait que le bénéfice est taxé deux fois.
Quand t'es un ultra riche et que tes sources de revenus sont principalement liés aux bénéfices de l'entreprise, il me semble pertinent de rappeller que l'IS (impôt sur le bénéfice de l'entreprise) n'est pas comptabilisé dans l'IR. Il n'y a pas d'erreur dans ce rappel, je ne fais que rappeller un fait.
Et pourquoi le rappeller, me dirais tu peut être car Les bénéfices d'une entreprise sont la part de la valeur ajouté appartenant aux propriétaires de l'entreprise. Alors bien sûr, cet argent pourra être réinvesti comme on les sait déjà.
Les ultras riches participent via leurs entreprises, à payer indirectement l'IS.
Par contre quand une entreprise fait faillite et ou gagne trois franc six sous, cette logique de faire partager les pertes/faibles revenus des entrepreneurs n'apparaît pas, comme c'est étrange... (Je ne dis pas qu'il faut que cela soit le cas).
LolD'autre part, tu amalgames systématiquement
Ce qui n'est pas le cas des autres intervenants
Tes interventions sont complètement biaisés et cette intervention supplémentaire le montre. Tu n'interviens pas/ne soulignes pas les biais, erreurs de raisonnement, mauvaise foi de ceux qui partagent à peu près les même convictions que toi.
Concernant la TVA :
Réponse que tu n'as pas du lire alors.
Tu ne répond pas à la question du pourquoi on fait une différence entre la TVA et les cotisations par exemple. Tu ne fais que dire la TVA est payé par les clients car la TVA est payée par les clients et ou car on enregistre pas de la même manière comptablement (alors que j'avais deja dit que se justifier de cette manière était tautologique). La variante de dire qu'un tel ou un tel le dit n'explique pas pour autant, on reste dans la tautologie.
D'un côté, on considère que le TVA n'est pas un coût pour l'entreprise et que les clients la payent.
Et de l'autre, pour les cotisations sociales par exemple, on considère que c'est un coût directe pour l'entreprise et donc que les clients ne la payent pas.
Or augmenter ou diminuer cette tva/ces cotisations, auront à peu près les mêmes conséquence pour les entreprises, individuellement (très peu voir pas de conséquences sauf au moment de la transition) et globalement (aura des conséquences sur les entreprises globalement).
Es tu d'accord avec ce "or" ?
Expliquer ces éventuelles différences sur les conséquences me convaincrait peut être. Personnellement j'ai du mal à voir des différences.
À partir du moment où l'on s'accorderait pour dire que ces baisses/augmentations ont à peu près le même impact sur les entreprises (augmenter/diminuer le prix du produit, impacte le pouvoir d achat et donc les entreprises globalement), à peu de chose près, alors faire un scission/schisme entre d'un côté dire que c est les clients qui payent (TVA)et de l'autre que c'est l'entreprise (cotisations) me semble trop exagéré/pas correct.
Pour le moment, cette différence (entre TVA et cotisations sociales, coût de l'entreprise ou non coût, payé par les clients ou non) traduit plus pour moi l'expression d'une convention fiscale plutôt qu'une réalité économique.
Le raisonnement que je tiens est : L'entreprise effectue des recettes en vendant des produits/services. Le prix de ces produits inclus tout un tas de choses dont la TVA/salaire brut/bénéfice/coût fournisseur etc.La TVA sur le produit vendu par l'entreprise est perçue par l'entreprise. Suivant ton raisonnement, ce serait donc non pas une charge mais un bénéfice supplémentaire (invisible des impôts en plus).
Les achats clients sont nécessaires pour payer les produits/services, incluant la tva (mais aussi les salaires bruts, avant fournisseurs, benefice, impôt) et les entreprises sont indispensables pour produire ce service et produit.
Elle est fixe en fonction des familles de produits ok. Mais la TVA reversé à l'état dépend aussi des paramètres liés à l'entreprise comme le choix/quantité de matière première acheté et vendu. Le montant de la TVA collecté, à déduire et à reverser dépendent entièrement de la stratégie/paramètres liés à l'entreprise. Elles vont agir sur la trésorerie.Elle est fixe pour une famille de produit / service. Elle ne dépend pas de paramètres liés à l'entreprise.
Elle n'est pas reconnu comme un coût par convention fiscale mais concrètement elle a beaucoup d'effet similaires.
C'est un fait que le dividende reversé est un bénéfice de l'entreprise qui a déjà été taxé.sans parler de ton autre erreur grossière de cumuler l'IS avec les IR/ID
Dire que la finance permet d'échapper aux taxes comme l'affirme Jean est une erreur grossière (mais pour souligner cette erreur grossière, il ne faut pas compter sur toi apparemment).
Que cela apparaisse dans deux cases différentes ne change pas le fait que le bénéfice est taxé deux fois.
Quand t'es un ultra riche et que tes sources de revenus sont principalement liés aux bénéfices de l'entreprise, il me semble pertinent de rappeller que l'IS (impôt sur le bénéfice de l'entreprise) n'est pas comptabilisé dans l'IR. Il n'y a pas d'erreur dans ce rappel, je ne fais que rappeller un fait.
Et pourquoi le rappeller, me dirais tu peut être car Les bénéfices d'une entreprise sont la part de la valeur ajouté appartenant aux propriétaires de l'entreprise. Alors bien sûr, cet argent pourra être réinvesti comme on les sait déjà.
Les ultras riches participent via leurs entreprises, à payer indirectement l'IS.
C'est le même système. Tu voudrais piquer encore plus ceux qui gagnent beaucoup alors qu'ils participent déjà Infiniment plus que toi ou moi à l'effort collectif fiscalement parlant.D'autre part, tu amalgames systématiquement toutes les entreprises / entrepreneurs. Ce qui n'est pas le cas des autres intervenants qui font bien la distinction entre la majorité des entrepreneurs (qui participent "normalement" à l'économie) et les ultra-riches qui profitent bien trop d'un système capitaliste mal contrôlé (cf la citation sur ce post)
Par contre quand une entreprise fait faillite et ou gagne trois franc six sous, cette logique de faire partager les pertes/faibles revenus des entrepreneurs n'apparaît pas, comme c'est étrange... (Je ne dis pas qu'il faut que cela soit le cas).
Dernière modification par shisha le 13 oct. 2025, 18:12, modifié 14 fois.
Re: Instabilité géopolitique, crise climatique, fiscalité, taxes, quotas et règlements
Es tu d'accord que cette vision que tu as (l'état qui "pique") est loin d'être partagée par tout le monde.shisha a écrit : 13 oct. 2025, 10:34 C'est le même système. Tu voudrais piquer encore plus ceux qui gagnent beaucoup alors qu'ils participent déjà Infiniment plus que toi ou moi à l'effort collectif fiscalement parlant.
C'est contestable étant donné que l''état aide déjà énormément les entreprises en difficultés puisqu'une part non négligeable des aides de l'état aux entreprises (environ 200 milliards par an pour la France) est précisément motivée par le maintien en vie d'entreprises qui, sinon, feraient faillite.shisha a écrit : 13 oct. 2025, 10:34 Par contre quand une entreprise fait faillite et ou gagne trois franc six sous, cette logique de faire partager les pertes/faibles revenus des entrepreneurs n'apparaît pas, comme c'est étrange... (Je ne dis pas qu'il faut que cela soit le cas).
Ôte-toi de mon soleil !
Re: Instabilité géopolitique, crise climatique, fiscalité, taxes, quotas et règlements
À Nikola
Si je précise sans salarié autre que le patron c'est justement pour éviter tout ton enculage de mouche avec la santé des salariés. Le patron lui même unique salarié de sa boîte, préférerait peut être se payer sa santé avec les sous qu'il gagne plutôt que de payer des cotisations.
Parce que l'état/social prennent la plus grosse part et la redistribue. Si ces salariés n'ont pas l'impression de profiter de cette redistribution, c'est une autre question.
Non encore un exemple de ta part pour répondre à côté/enculer les mouches.Et encore un exemple hors-sujet pour enculer les mouches.
Si je précise sans salarié autre que le patron c'est justement pour éviter tout ton enculage de mouche avec la santé des salariés. Le patron lui même unique salarié de sa boîte, préférerait peut être se payer sa santé avec les sous qu'il gagne plutôt que de payer des cotisations.
Non pas aussi. Il n y a que toi qui attend alors que j'ai déjà précisé que j'arrivais pas à remettre la main sur l'article et que je comprendrais votre scepticisme sur l affirmation que j'ai tenue à propos des milliardaires qui était devenus millionnaire entre 2000 et 2010.Ben si, j’attends aussi
Tout simplement parce que les salariés gagnent peu de fric, mais tu ne l'as même pas compris.
Parce que l'état/social prennent la plus grosse part et la redistribue. Si ces salariés n'ont pas l'impression de profiter de cette redistribution, c'est une autre question.
Dernière modification par shisha le 13 oct. 2025, 13:35, modifié 2 fois.
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