Oh que non! Pure hypocrisie de la part d'un individu dont l'attitude est de jouer les vierges effarouchées.
Red herring à la clé.
Autant dire que l'effet Streisand se dégonfle...
Une rumeur n'a rien d'une "assertion problématique": ça, c'est un procédé rhétorique à la petite semaine pour masquer des incompétences et des incohérences.
Assertion: proposition que l'on avance et que l'on soutient comme vraie.
Rumeur: La rumeur est un commentaire propagé de manière délibérée, par tout moyen de communication, sans se soucier de la véracité des propos véhiculés. C'est une des techniques de manipulation utilisées par un agresseur/une agresseuse à l'encontre de sa proie.
La nuance est d'importance.
Recentrons sur du factuel éprouvé: la rumeur rapporte beaucoup. Elle ne disparaîtra pas de sitôt *.
...Après, ce que je veux surtout dire, c'est qu'une rumeur, ou plus généralement une assertion problématique, si on veut la contrer efficacement il faut commencer par l'appréhender, factuellement, dans sa singularité. Si on brule cette étape, en mode "circulez rien à voir", il n'y a pas à s'étonner de l'effet Streisand...
Ce qui indique :
- une profonde méconnaissance du sujet
- prendre autrui pour un parfait imbécile
- être content et fier de soi
- ne pas se poser plus de questions
- ne surtout pas faire l'effort d'étudier et d'apprendre rigoureusement
- pratiquer le raisonnement circulaire
Illustration?
...Le plus méchant (et dégueulasse) que j'ai vu dans les commentaires est qu'elle en aurait bien profité, de la rumeur. Mais je n'ai vu personne la ramener avec la rumeur elle-même..
Le marché des fake-news représente une manne financière colossale ****. Tant qu'il y aura des crétins décérébrés pour nourrir la machine (
vous reprendrez bien un petit clic?), les manipulateurs derrière le dispositif se porteront très bien.
Dès qu'on va fouiner sous prétexte de "réinformation", sur des sites douteux, il n'y a pas de raison que le délire cesse, parce que c'est un délire, avec un public qui adore se faire peur et se palucher les neurones. Rien de nouveau, le phénomène est de fort longue date connu.
C'est désespérant au possible.
Que les personnes ne s'aperçoivent pas qu'elles ne sont qu'un produit **, qui n'a qu'une fonction, produire du fric, cela devrait interpeller.
Sheila *, en quelques phrases, le détaille très bien :
https://x.com/QuelleEpoqueOff/status/19 ... 08017.html
Source: le marché de la fake-news, la machine à fric
https://www.francetvpro.fr/contenu-de-presse/19149238
https://www.clemi.fr/ressources/ressour ... nformation ***
Lire les études de Gérald Bronner, Thierry Ripoll, Pierre-Henri Taguieff,... C'est autrement plus profond que le survol de pages web.
* Sheila continue de rapporter (ce qui a été constaté puisque tu as parcouru plusieurs vidéos You Tube où tu as pu lire des affirmations)
* avec les algorithmes qui vont bien avec.
*** ne pas hésiter à rechercher avec le moteur de recherche en ulisant le terme désinformation
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2,6 milliards de dollars par an. Voilà l’étendue des revenus générés chaque année par les sites d’infox, grâce aux recettes publicitaires selon un rapport Newsguard et Comscore. Le financement principal de l’industrie de la désinformation se fonde donc en grande partie sur la publicité. Un procédé tout à fait légal qui ouvre les portes d’un marché colossal avec à la clé des revenus importants. Dans le magazine Complément d’enquête (France 2, le 02/09/2021), intitulé « Fake News, la machine à fric », Laurent Nicolas, expert en publicité digitale, calcule que le site américain d’infox Gateway Pundit engrange chaque mois 200 000 euros de recettes publicitaires, grâce à ses 50 millions de pages vues.
Ce rendement lucratif attire aujourd’hui de nouveaux acteurs de la désinformation, comme par exemple, les fermes à clics. Installées dans des pays comme la Macédoine, le Kosovo, la Birmanie ou encore le Cambodge, elles produisent et diffusent massivement des articles plagiés et des infox dans le but de générer encore plus de profits. Leur façon de procéder est très simple : le même article est publié sur de nombreuses pages sur les réseaux sociaux afin de maximiser les clics et donc les revenus publicitaires...
Il est évident que ce n'est pas sur les sites pourris que l'in risque de trouver ce genre d'information documentée et sourcée