Les rumeurs mensongères sur Brigitte Macron

[Dominique18]

Tes preuves, où sont-elles ?

J'ai déjà donné des sources, dont on pense ce qu'on veut. Si tu les qualifies d'office, sans aucune preuve, manifestement sans y être allé voir, de "sites pourris", ça sert à quoi ? Je ne vais pas copier des centaines de pages...

Tu ne disposes d'aucune preuve recevable, validée. Aucune!
Toujours l'inversion de la charge de la preuve...
Par contre, je peux t'en fournir une.
Prends le catalogue des 3 Suisses, ou de La Redoute. De préférence un vieux catalogue.
Pas la peine que je t'indique la marche à suivre (cf. en relation avec la photo assortie de tes commentaires d'une haute élévation spirituelle), je te fais confiance pour l'usage que tu peux en faire pour nourrir tes fantasmes .
Tu jugeras par toi-même : il n'y a pas photo!
Audiard serait ravi avec un client comme toi.

[jroche]

Tu ne disposes d'aucune preuve recevable, validée. Aucune!

C'est quoi une "preuve recevable validée", en général et dans ce cas particulier ? Validée par qui ? Par les autorités françaises ?

Il y a des dizaines de pages passant en revue, littéralement de la tête aux pieds, la morphologie de Brigitte Macron, et aussi sa démarche, ses gestes, experts consultés à l'appui. Elles soutiennent le caractère masculin à quasiment tous les niveaux observables. Et c'est vérifiable pour l'essentiel par tout un chacun, et c'est juste un élément parmi bien d'autres du faisceau de présomptions. Dégager une preuve formelle absolue, unique, de tout ça, à quoi bon ? Toute preuve singulière est attaquable, dans les deux sens. Il faudrait démonter ça point par point. L'Elysée, ou les Macron de leurs deniers, n'ont pas les moyens d'appointer quelqu'un ? Ce serait bien moins cher a priori que les millions de dollars d'honoraires de Tom Clare (dont on ne sait pas, soit dit en passant, qui va les payer).

Pour revenir à ce procès, il est clair qu'il s'attaque non pas à des gens qui ont développé ou répandu la rumeur, mais à des gens qui ont persiflé à partir d'elle, une seule fois pour certains. Ca peut se défendre, mais espèrerait-on faire croire qu'il n'y a que ça ?

[Dominique18]

Tu continues à raconter n'importe quoi, comme la belle brochette de tocards qui s'est fait toper.
Les premières protagonistes y figurent, celles qui sont à l'origine.

https://www.ledauphine.com/faits-divers ... minimisent

Ce n'est pas parce que des milliers de pages ont été écrites que les faits sont avérés, tu le sais bien, surtout quand leur contenu repose sur du vide. Comme tes considérations rhétoriques qui partent dans tous les sens.Tu brasses du vent.
Tu n'arrêtes pas d'être empêtré dans tes contradictions et tu n'as strictement rien à argumenter, tout en prenant des professionnels, représentants de la justice, pour de parfaits abrutis incompétents.
Et une fois de plus, l'inversion de la charge de la preuve. Tu t'agites, tu t'agites, en pure perte.
Je te l'ai dit: miser sur des tocards, incapables d'assumer *, c'est accepter de faire partie des loosers.

* plusieurs, faut-il en tenir une couche..., font référence à "l'esprit Charlie" ainsi qu'à la liberté d'expression. Complètement secoués. Il y a infraction pénale, demeurés comme ils sont, ils ne semblent pas en avoir conscience.
jroche non plus d'ailleurs.
Il y a délit.
Ces neuneus n'ont rien à voir avec Charlie.

https://charliehebdo.fr/2025/10/societe ... plotistes/

Des débiles sans foi ni loi, irresponsables.
Car il s'agit bien de cela : l'irresponsabilité.
Les réseaux sociaux permettent et favorisent tous les excès. Sauf que...END OF THE GAME! On passe à la caisse!
Et les bas de plafond pleurent...
Dura lex sed lex.

[jroche]

Ce n'est pas parce que des milliers de pages ont été écrites que les faits sont avérés, tu le sais bien, surtout quand leur contenu repose sur du vide.

Des exemples concrets ? Parce que le vide et la rhétorique, pour le moment, je le vois encore plus dans tes gesticulations.

Et quoi qu'il en soit, tout ce que je dis est que, si c'est une rumeur inepte (quoique très élaborée, mais si tu ne veux pas le savoir...), la façon dont on prétend la contrer (et les Macron autant que toi-même) est encore plus inepte.

[Dominique18]

Et un beau chef d’escadrille de plus, un!

Pourquoi cette fausse info « marche-t-elle » aussi bien ?
Rudy Reichstadt : « Pour plusieurs raisons. – D’abord, cette rumeur a été forgée de toutes pièces par des gens mal intentionnés avec une volonté de nuire évidente. Xavier Poussard, à la tête de Faits et Documents, la feuille de chou dans laquelle apparaît cette fausse info, est un militant d’extrême-droite, qui se sert de cette rumeur en la politisant pour nuire au chef de l’État. Et Natacha Rey, la créatrice de cette fausse info, qui se présente comme journaliste indépendante et a quand même appelé au meurtre d’Emmanuel Macron et à la disparition de la République, est aussi marquée par l’extrême-droite. – Ensuite, à l’origine de cette fausse information, il y a bien sûr cette différence d’âge qui est vue comme une anomalie, qui gêne visiblement terriblement un certain nombre de gens quand elle est dans ce sens-là, que c’est la femme qui est plus âgée, et qui va contribuer à forger ce discours fictionnel malveillant. – De plus, ce type de rumeurs imaginant qu’une femme est en fait un homme ou un trans n’est pas inédit et est même fréquent envers les femmes au pouvoir ou associées au pouvoir : avant Brigitte Macron, Michelle Obama en a été victime, l’ancienne Première ministre néo-zélandaise Jacinda Ardern mais aussi Lady Gaga ou Beyoncé par exemple. – Enfin, cette fausse info qui est née dans un contexte très franco français s’est internationalisée en 2024 quand elle a été reprise par l’influenceuse américaine proche de Donald Trump, Candace Owens, ce qui a contribué à lui donner une résonance mondiale. »

Que faudrait-il faire pour que cette fausse info arrête de circuler ?
« C’est impossible. En fait avant Internet et les réseaux sociaux, on voyait la rumeur apparaître, vivre et disparaître. C’est le cas de la rumeur d’Orléans (née en 1969 à Orléans, cette rumeur transmise par le bouche-à-oreille expliquait que des jeunes femmes étaient enlevées dans les cabines d’essayage de plusieurs magasins de vêtements de la ville, tous tenus par des Juifs, en vue de les prostituer à l’étranger dans le cadre de la traite des Blanches) : cette rumeur est née a vécu puis s’est éteinte.

Depuis les réseaux sociaux, on a des rumeurs zombie qui refusent de mourir même si elles sont réfutées, que l’on a démontré mille fois par A + B qu’elles ne reposent sur rien. C’est lié à notre écosystème informationnel, qui donne une chance aux rumeurs et théories du complot. Et puis Internet est un média cumulatif, tout reste en ligne, avec des acteurs qui vont réactiver ces rumeurs en permanence, elles peuvent refluer mais reviennent de manière cyclique. Il n’y a pas de bons moyens d’y faire face : engager des procès pour provocation à la haine, diffamation ou cyberharcèlement est le seul moyen pour ceux de faire valoir ses droits dans ce type d’affaire, avec un débat contradictoire et un jugement qui va dire ce qui est fondé ou pas.

Mais se défendre face aux complotistes, c’est « face tu perds, pile je gagne ». Longtemps la complosphère disait « si c’est faux, ils n’ont qu’à porter plainte ». Ils ont porté plainte, la complosphère a dit « s’ils ont porté plainte, c’est qu’il doit y avoir quelque chose de réel ». Dans la procédure américaine, c’est au plaignant d’apporter la preuve à charge. Quand Brigitte Macron a porté plainte contre Candace Owens, elle a donc dû produire des éléments médicaux. Et les complotistes en ont conclu que si elle avait dû produire des preuves, c’est qu’il y avait anguille sous roche. »

https://www.lavoixdunord.fr/1640218/art ... impossible

[jroche]

Et un beau chef d’escadrille de plus, un!

Le numéro habituel. Des invectives et procès d'intention en cascade, mais rien de concret. Michelle Obama, Sheila, avaient répondu avec du concret, ça avait largement dégonflé leurs rumeurs. Les citer en exemple est contreproductif.

[Dominique18]

Et un beau chef d’escadrille de plus, un!

Le numéro habituel. Des invectives et procès d'intention en cascade, mais rien de concret. Michelle Obama, Sheila, avaient répondu avec du concret, ça avait largement dégonflé leurs rumeurs. Les citer en exemple est contreproductif.

Rien de concret?
En es-tu si certain ?
Comme c'est facile de réécrire l'histoire.
Ridicule jusqu'au trognon.

https://www.lefigaro.fr/actualite-franc ... e-20251028

Procès de la connerie ordinaire, bête et méchante.
Rien à sauver.

[jroche]

Rien de concret?
En es-tu si certain ?
Comme c'est facile de réécrire l'histoire.
Ridicule jusqu'au trognon.

https://www.lefigaro.fr/actualite-franc ... e-20251028

Aucun rapport avec ce que je disais. Qu'elle soit gravement perturbée est difficilement évitable, que la rumeur soit vraie ou fausse, mais ne prouve rien en soi.

[jroche]

S'agissant du procès, comme on pouvait s'y attendre, le jugement est mis en délibéré, jusqu'au 5 janvier prochain. En France, ça veut dire qu'on attend les directives (par exemple, des faucheurs d'OGM, qui croyaient avoir dominé les débats, acquis la compréhension du tribunal, ont été abasourdis de se voir infliger des peines plus lourdes que celles requises par l'accusation).

[thewild]

S'agissant du procès, comme on pouvait s'y attendre, le jugement est mis en délibéré, jusqu'au 5 janvier prochain. En France, ça veut dire qu'on attend les directives

N'importe quoi. C'est la procédure judiciaire normale.
Après l'audience de plaidoirie, on clôt les débats et on annonce la date du délibéré.
Comment voulez vous qu'on prenne au sérieux vos "je ne fais que poser des questions" avec ce genre de propos relevant de la bêtise la plus crasse...

[Dominique18]

Quelques précisions...

.....4 - Pourquoi plusieurs personnes sont-elles jugées ensemble ?
Le parquet a choisi de regrouper les auteurs présumés dans un seul dossier.
En effet, leurs publications concernent la même rumeur, la même période et la même victime.
Le tribunal évalue à la fois la responsabilité individuelle de chaque prévenu et l’impact collectif de la diffusion.

Les juges cherchent à comprendre qui a lancé la rumeur, qui l’a relayée et comment elle s’est propagée sur les réseaux sociaux.
Ce travail minutieux permet de retracer la chaîne de publication et de mesurer la gravité des faits.

5. Comment se déroule un procès pour cyberharcèlement ?
L’audience suit une structure précise :

Le tribunal vérifie l’identité des prévenus et lit les faits reprochés.
Chacun est invité à s’exprimer ou à exercer son droit au silence.
Les avocats des parties civiles décrivent le préjudice subi par la victime.
Le parquet formule ses réquisitions et propose des peines.
Les avocats de la défense plaident à leur tour.
Le jugement est rendu immédiatement ou mis en délibéré.

En pratique, la victime peut être absente. Son avocat la représente et peut demander des dommages et intérêts.
Le tribunal statue à la fois sur la culpabilité et sur la réparation civile.

6. Quelles preuves sont retenues par la justice ?
Les preuves doivent être précises et vérifiables.
Elles incluent notamment :

Des captures d’écran horodatées ;
Des constats de commissaire de justice ;
Des réquisitions techniques auprès des plateformes (adresses IP, historique de connexion) ;
Des témoignages sur la diffusion et ses effets ;
Des documents médicaux prouvant le préjudice moral ou psychologique.
Bon à savoir : la suppression d’un message ne fait pas disparaître la preuve. Les enquêteurs peuvent toujours retrouver la trace d’une publication si elle a été rendue publique.

7. Liberté d’expression et satire : où s’arrête la limite légale ?
Les prévenus invoquent souvent la liberté d’expression ou « l’esprit Charlie ».
La loi française protège la satire, mais cette liberté connaît des limites juridiques strictes.
Elle ne couvre pas les propos diffamatoires, injurieux ou discriminatoires.

Ainsi, un contenu moqueur peut être toléré, mais pas s’il porte atteinte à la dignité ou incite à la haine.
La frontière se situe dans la répétition, la nature et la portée des messages.

En conséquence, le tribunal examine le ton, le contexte et les effets concrets produits par chaque publication.

8. Quelles peines risquent les prévenus ?
Selon le Code pénal, les auteurs de cyberharcèlement encourent :

Jusqu’à 2 ans de prison et 30 000 € d’amende ;
Des peines complémentaires, comme le retrait des contenus, un suivi judiciaire, ou une interdiction d’entrer en contact avec la victime.
De plus, le tribunal peut ordonner la publication du jugement sur les comptes concernés, pour rappeler la portée légale de la décision......

https://trouvervotreavocat.com/actualit ... te-macron/

La justice n'est pas "aux ordres", et n'est pas "sélective".

[jroche]

N'importe quoi. C'est la procédure judiciaire normale.
Après l'audience de plaidoirie, on clôt les débats et on annonce la date du délibéré.
Comment voulez vous qu'on prenne au sérieux vos "je ne fais que poser des questions" avec ce genre de propos relevant de la bêtise la plus crasse...

Ben voyons...

[jroche]

La justice n'est pas "aux ordres", et n'est pas "sélective".

Bien sûr, comme les politiciens ne sont jamais corrompus.

Ce n'est d'ailleurs pas forcément un mal, l'arbitraire du système n'est pas forcément plus malhonnête a priori que celui d'un tribunal lambda. Mais indépendance totale en toute circonstance de la justice, à d'autres. Je veux bien qu'on soit naïf, mais il y a des limites.

Sur ce procès, je n'ai entendu parler que d'une mention de Jean-Michel Trogneux, dont le mystère qui l'entoure est à l'origine de tout (et qui lors d'un précédent procès où il était supposé partie prenante avait été représenté par une carte d'électeur). Quelqu'un a mieux ? Sa nièce Tiphaine aurait simplement déclaré : "Il va très bien, je l’ai eu il y a quelques mois". Et ce serait tout et on ne lui aurait rien demandé de plus, alors qu'il suffirait de le montrer durablement, qu'on sache réellement ce qu'il devient, pour casser l'essentiel de la rumeur.

[Dominique18]

Recentrons sur le contenu de ce procès.
Qui sont les victimes ?
Qui sont les accusés?
Quels sont les chefs d'inculpation?
Quel est le verdict ?

[jroche]

Recentrons sur le contenu de ce procès.
Qui sont les victimes ?

Madame Brigitte Macron.

Qui sont les accusés?

Des gens qui se sont exprimés sur des réseaux sociaux.

Quels sont les chefs d'inculpation?

Cyberharcèlement, concrètement persiflage et humour graveleux sur X ou ailleurs.

Quel est le verdict ?

Attends le 5 janvier au matin. Les réquisitions : https://www.franceinfo.fr/politique/emm ... 80996.html

[Dominique18]

Je répète...
Qui sont les accusés et pourquoi le sont-ils précisément?
Quels sont les chefs d'inculpation exacts?

[thewild]

N'importe quoi. C'est la procédure judiciaire normale.
Après l'audience de plaidoirie, on clôt les débats et on annonce la date du délibéré.
Comment voulez vous qu'on prenne au sérieux vos "je ne fais que poser des questions" avec ce genre de propos relevant de la bêtise la plus crasse...

Ben voyons...

Vous avez probablement une référence au code judiciaire à nous fournir ?