Voici les extraits que j'ai tiré du bouquin concernant l'enquête d'ENFIELD pour le sexploiter.
J'espere que cela va vous donner a reflechir
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Introduction au chapitre I
Le moment est venu pour l'association CASAR de faire un travail de fond sur le cas poltergeist le plus documenté de la littérature paranormale .Des personnes habilitées et assermentées membre de la SPR ont enquêté et témoigné avoir vu de leurs yeux vu des phénomènes paranormaux à à effet physique. Nous ne pouvons que vous conseiller de vous procurer le livre qui contient une somme incroyable d'informations concises provenant de témoins de première main .Ce livre non réédité a ce jour est difficile a trouver .Vous pouvez le recevoir (numérisé au format word) en tant qu'adhérant de l'association (Carte de MEMBRE : 10 euros - Contact:
francisgatti@wanadoo.fr - Tel : 06 30 27 28 22 )
C'est grâce à la précieuse collaboration de Patrick Flamand (Spécialiste de la projections de pensée M163.htm ) que cette fabuleuse affaire d'ENFIEL à été reprise par CASAR
Les tergiversations interminables sur les forums de zététique au sujet de l'existence ou la non existence du PSI trouveront ici une réponse claire. Notre analyse poussée du travail HONNETE de Maurice Grosse et Guy Lyon Playfair permettra d'informer le grand public une bonne fois pour toute .Les chercheurs de diverses disciplines scientifiques pourront prendre conscience qu'ils sont pour la plupart complètement ignorants de l'existence de phénomènes psychiques puissants ayant des incidences physiques sur l'environnement immédiat . Ces éléments qu'on s'imagines sans intérêt et futiles engagent notre avenir beaucoup plus que nous pourrions le supposer car cce sont nos connaissances fondamentales qui seront bientôt bouleversées. ( en cours)
1°) CASAR relève le défi lancé par Guy Lyon Playfair
Extrait de la Page 313 :
Playfair: "Il est impossible d'expliquer tout ceci en s'en tenant aux connaissances acquises actuelles, ou nous le saurions déjà. Ceci explique sans doute pourquoi tant de personnes rejettent le genre de preuves que nous avons accumulées vous et moi. "
Grosse : " Nous tenons des faits et nous savons qu'ils sont vrais. En rendant ce cas public, j'espère que nous amènerons d'autres personnes à étudier d'autres cas un peu plus soigneusement; à l'avenir. >>
Playfair: Maintenant, aux vrais experts de jouer ! Le cas Enfield était peut-être terminé, mais la recherche de l'explication commençait à peine. J'espère que ce livre encouragera d'autres personnes à relever le défi.
Commentaire de CASAR
Nous avons fait un travail complémentaire (sur d'autres cas poltergeist ),qui confirme par recoupement la plupart des phénomènes apparu à ENFIELD. Nous apporterons dans ce livre des bases scientifiques plus solides et plus détaillées que celles avancées (page 78) par le Professeur John B. Hasted, directeur du département de physique à Birkbeck College. Les connaissances fondamentales ayant fortement progressé dans le domaine de la physique quantique depuis 1980
2°) Les faits
Extrait de la Page 305:
"Nos détracteurs diraient que nous avons trop tendance à extrapoler à partir de coïncidences parfaitement normales. Je ne me fais pas trop de soucis au sujet de nos détracteurs, dis-je.
c< Nous avons vu les faits, eux pas.
Et de toute façon qu'est-ce qu'une coïncidence normale ?
Comme le dit Kardec, la matière nous montre tous les jours que sa puissance dépasse ce que nos sens peuvent percevoir... < Ah les faits ! m'interrompit Maurice. << Ce sont les faits de ce cas que je suis prêt à discuter et rien d'autre, du moins en public. Je laisse aux autres le soin d'aligner leurs théories, bien qu'il soit évident que j'y pense aussi de mon côté. Je pense que vous et moi sommes d'accord pour reconnaître qu'il n'y a pas le moindre doute quant à la réalité des faits de ce cas. Nous les avons observés nous-mêmes, pendant plus d'un an : ces coups, ces bruits, nos bandes et nos photos, je crois que même aujourd'hui, ces meubles et autres objets se déplaçant de leur propre chef, ces choses s'évanouissant dans l'air et apparaissant de nulle part, traversant apparemment les murs et les plafonds ou, si vous préférez, pénétrant ou sortant d'autres dimensions de l'espace ; plus toutes ces flaques d'eau et d'autre chose, les feux, les enregistreurs et les appareils photo tombant en panne et, bien sûr, tous ces désordres psychologiques, si c'est bien de cela qu'il s'agit.
Ces faits, poursuivit-il, furent observés par trente personnes au moins ; les Harper, les Nottingham, et les Burcombe, trois familles tout ce qu'il y a de plus ordinaires et qui convaincraient, sans problème, n'importe quel juré, de leur honnêteté ; et plusieurs de leurs amis, voisins, proches et de nombreux témoins extérieurs, des policiers, des journalistes, des représentants de commerce, des assistantes sociales... Que souhaiter de plus ? Vous, moi et David Robertson avons vu de nos propres yeux des dizaines de choses qu'aucun d'entre nous ne peut expliquer. Nous en avons enregistré un bon nombre sur bande et Graham Morris s'est arrangé pour en filmer certaines. Voilà les faits du cas Enfield et ce qui me sidère toujours, ce n'est pas que nos détracteurs n'acceptent pas les diverses théories avancées, mais qu'ils n'acceptent pas les faits ! > Eh bien, dis-je ils sont durs à convaincre. Sans nos bandes et nos photos, je crois que même aujourd'hui, j'aurais du mal à avaler toute cette histoire. Vous voyez les gens sont tout disposés à accepter les phénomènes psychiques s'ils sont présentés comme une fiction ou une fantaisie ou faisant partie d'un système de croyances religieuses ; mais, dites-leur que c'est la vérité et ils auront tous la même réaction immédiate : affirmer que vous faites erreur ou encore que vous êtes malhonnête"
COMMENTAIRE DE CASAR
La position des sceptiques qui fait preuve d'une intolérance sans limites est inacceptable : Valeurtem.htm
(En cours)
3°) Qui sont les témoins ?
Extrait de la page 209 "Je n'étais certain que d'une chose : depuis près de quatre mois, la famille Harper avait supporté une série d'expériences totalement inexplicables au stade actuel des connaissances scientifiques. Des choses incroyables étaient arrivées ; Maurice Grosse et moi savions qu'elles appartenaient à la réalité, puisque nous les avions vues se produire sous nos yeux. Mais qu'est-ce que tout cela signifiait ? Il est regrettable que si peu de personnes se soient attachées à découvrir une solution pour cette affaire ; par contre, il est heureux que Grosse s'y soit intéressé avec un tel enthousiasme et qu'il ait surmonté tous les obstacles. S'il ne l'avait pas fait, je n'ose imaginer dans quel état seraient les Harper à l'heure actuelle. En revanche il ne fait aucun doute que si nous avions découvert une nouvelle espèce de cafards en soulevant les lattes du plancher, le monde scientifique aurait déroulé son tapis rouge jusqu'à notre porte pour nous remettre des chèques substantiels destinés à couvrir nos frais de recherches .Mais quand nous acquîmes la certitude de l'existence d'un autre monde, inaccessible aux cinq sens connus, qu'arriva-t-il ?"
Commentaire de CASAR
(En cours)
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4°)Matérialisations d'objets
Extrait Page 20 " Je ne fais rien ! Je n'ai rien lancé ! " " Tu vas voir si je t'attrape. " " C'est vrai Mam, ce n'est pas elle ! " Quelqu'un ou quelque chose lançait dans tous les sens les billes et les petites briques du jeu de Lego de Jimmy ou plus exactement les catapultait à travers la pièce. Ils montaient en flèche et rebondissaient sur les murs ou s'écrasaient sur le plancher comme s'ils tombaient tout droit du plafond. Aussitôt, Mme Harper retourna demander aide à ses voisins. Vic, Peggy et le père de Peggy, M. Richardsont vinrent voir ce qui se passait. Comme ce dernier se tenait dans la cuisine, deux billes passèrent près de lui à une vitesse terrifiante et allèrent frapper la porte de la salle de bains tout au bout du couloir. Il les ramassa et constata qu'elles étaient brûlantes
Extrait de la page 127 :"Un jour, le lourd réfrigérateur décolla du mur en titubant, sa porte s'ouvrit brusquement et s'écrasa sur la cuisinière à gaz si brutalement que la porte fut dégondée et enfoncée. A une autre occasion, l'imposant double lit se retourna, armature et literie comprises. En même temps, l'activité sensiblement moins violente mais tout aussi stupéfiante se poursuivait, avec quelques variantes. Le réservoir d'eau des toilettes se vidait tout seul, des pièces de monnaie tombaient du plafond comme si elles se matérialisaient au milieu des airs (l'une d'entre elles le fit en présence de Grosse) et en fin de compte, sans doute pour montrer qu'il connaissait"
Extrait de la page 154 :"Maurice Grosse et moi, qui savions qu'elles ne nous jouaient pas de tours, du moins pas tout le temps, remontâmes au feu le 12 décembre. Il y avait un certain nombre de choses que nous voulions apprendre à propos de Voix. Dès que tout le monde fut couché, une pièce d'un de penny descendit du plafond et heurta le sol très près mon enregistreur. Grosse était dans la pièce à ce moment et m'assura que personne ici présent ne l'avait jetée. Puis le lit de Rose fut secoué dans tous les sens alors que selon les apparences, elle dormait.
Extrait de la page 64:" De la cuisine, Sylvie poussa soudain un cri perçant et lâcha la bouilloire qu'elle tenait en main. Ce n'est que quelque temps après l'incident qu'elle réussit à se dominer pour décrire ce qui était arrivé. Je versais l'eau de la bouillire dans la théière,dit-elle, quand quelque chose apparut juste devant mes yeux et tomba sur le plan de travail en rebondissant
c'était une barre de plastique d'environ douze centimètres de long provenant d'un des jouets des enfants. J'avais les yeux baissés et quand je les relevai la chose était face à moi raconta-t-elle à Grosse quand il arriva un moment plus tard. Je criai, je hurlai, je sautai en arrière et après avoir reculé je vis la chose sauter et remonter encore. Grosse questionna Mme Burcombe très : consciencieusement à propos de cet incident. Il semblait qu'il s'agissait d'un cas authentique, un des plus rares dans le domaine psychique - la matérialisation. Personne n'avait jeté vers elle la barre de plastique insista-t-elle. Elle était < seulement apparue sous ses yeux, puis tombée. Chacun dans la maison reconnut qu'aucun d'entre eux ne pouvait l'avoir jetée.
EXTRAIT de la Page 217. Playfair::" Un autre soir, j'étais assis par terre en train de manger un sandwich aussi calmement que possible, quand soudain, une des Voix annonça qu'elle voulait un biscuit. Mme Harper regarda Janet, qui était bien blottie sous les couvertures, et à son grand amusement, un biscuit venu de nulle part, se planta dans sa bouche
Commentaire de CASAR
(En cours)
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5°) Dématérialisation d'OBJETS
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Extrait de la page 214: "Il y a un couteau qui me suis annonça-t-elle. Mme Harper ne fit ni une ni deux et monta rapidement à l'étage pour chercher le fameux couteau. Elle ne pensait
pas que Janet se payait sa tête : celle-ci avait l'air réellement paniqué. Elle alla dans toutes les chambres mais ne trouva rien. Puis, alors qu'elle redescendait bredouille, son regard se porta sur un couteau au pied de l'escalier. Le manche était en bois et la lame dentelée, il faisait partie de ceux qu'elle avait rangés dans le tiroir de la cuisine. L'histoire du couteau n'était pas une farce , me dit Mme Harper. < Parce que quand Janet est descendue l'expression d'horreur qu'elle avait sur le visage n'était pas feinte. Voici la version des faits que Janet donna : Je me suis réveillée vers 9 h 45 et j'ai attendu jusqu'à 10 heures, alors je suis descendue à pas de loup. Tout à coup, j'étais à la moitié de l'escalier, un couteau se dressa devant moi. C'était comme s'il dansait tout seul. J'ai aussitôt fait demi-tour et il m'a suivi. C'est-à-dire qu'il m'a suivie pendant que je remontais. Puis, je me suis précipitée en bas pour tout raconter à Mam. Janet n'avait pas l'habitude de monter en épingle ce qu'elle avait vécu ; je ne voyais pas pourquoi elle aurait menti."
Commentaire de CASAR
(En cours)
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6°) Effets d'inertie
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Extrait Page 20 :"M. Richardsont vinrent voir ce qui se passait. Comme ce dernier se tenait dans la cuisine, deux billes passèrent près de lui à une vitesse terrifiante et allèrent frapper la porte de la salle de bains tout au bout du couloir. Il les ramassa et constata qu'elles étaient brûlantes
Extrait de la page 94 : "D'un certain point de vue, c'était un incident parfait. La boîte était hors de portée de la personne la plus proche, Janet. Pour la lancer elle-même, elle aurait dû se lever, ce qu'elle n'avait pas fait. De plus, quand plus tard, nous essayâmes de répéter l'incident- c'était notre habitude - nous nous aperçûmes très vite que nous n'y parviendrions tout simplement pas. Nous ne pouvions pas lancer la boîte assez vite pour produire cet étrange sifflement. Nous ne fûmes pas les seuls, il en alla de même pour l'équipe de la BBC Nationwide qui, plus tard, filma une reconstitution de cet épisode. Même après neuf ou dix essais, ils ne parvinrent pas à faire voler la boîte de la façon dont Grosse l'avait vue faire à l'époque. Nous reconnûmes tous qu'il s'agissait là d'une manifestation paranormale authentique"
Extrait de la page 241 :"Tous deux, nous enregistrames plusieurs autres sons non-identifiables à maintes reprises, assortis de murmures, de grognements et de mots à demi formés, et aussi les intrigants cliquetis et les sifflements que nous entendions presque à chaque fois qu'un objet traversait les airs.
Extrait de la page 56: "Il y avait trois livres d'enfants posés sur le manteau de la cheminée, derrière le fauteuil. Mon magnétophone était sur le sol, près de la porte'. Tout exprès pour qu'il enregistre les éventuels craquements du plancher au cas où Janet se lèverait. Faute de quoi, elle ne pouvait atteindre les livres. Quelques minutes plus tard, quatre choses survinrent en même temps dont trois étaient parfaitement audibles sur la cassette. La petite chaise se renversa et le lit inoccupé s'éloigna très vite du mur vers Janet. Le mouvement fut si violent qu'un de ses pieds métalliques se tordit. En même temps, un des livres de la cheminée traversa la pièce et en sortit ; il alla s'écraser sur la porte close de la chambre principale avant de s'immobiliser ouvert et debout sur le plancher de < ma chambre. Il était intitulé : Fun and Gairces for Children . J'en restai coi. Sur la cassette, j'entendis le livre siffler en passant au-dessus de l'enregistreur à une vitesse vertigineuse, frappant d'abord la porte puis le sol. Il devait avoir frappé la première porte à un angle de trente degrés environ puis fait une demi-volte pour se diriger vers l'autre. Ceci défiait les quelques lois de physique que je connaissais. Néanmoins, c'était effectivement arrivé
Page 217 Lorsqu'elle déposa le fer à repasser et s'éloigna de la planche, sa mère vit l'appareil s'envoler dans les airs puis s'écraser au sol, cassant sa poignée en plastique. cc I1 m'a échappé des mains bien des fois me dit- elle. cc Mais il n'a jamais fait ça. Il a dû être projeté avec une force terrible.
Commentaire de CASAR
(En cours)
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7°) Trans-materialité
Extrait de la Page 170 "Janet était étendue sur le lit apparemment épuisée ce qui était inhabituel pour elle, en particulier si tôt dans la journée. (Il était à présent 11 h 30). Elle cherchait à reprendre son souffle et semblait quelque peu effrayée. cc Oh ! Mince ! J'ai traversé le mur... Peggy l'observait complètement ahurie.cc Je suis allée dans votre chambre , dit Janet sans se démonter. cc C'était tout blanc . La chambre de Peggy n'était pas peinte en blanc, les murs étaient tapissés de papier brillant ; tout son inté rieur était toujours sans tache et en bon ordre. cc Ça va répliqua Peggy sur le même ton calme,cc si tu penses que tu as été dans ma chambre, tu recommences. En principe, Peggy croyait ce que racontait Janet ; elle était sûre que la fillette lui disait la vérité mais ceci était un peu fort. Ils quittèrent la chambre. Peggy rentra immédiatement chez elle et monta jusqu'à sa chambre. Elle savait que Janet n'y était jamais allée auparavant. Elle ouvrit la porte s'attendant à moitié à être accueillie par Janet. Depuis le 31 août, elle avait été témoin de tant de choses extraordinaires qu'elle n'aurait pas été tellement surprise que cela arrive. Mais sa chambre était vide. Du moins, n'y avait-il personne là. Elle était sur le point de retourner à côté et de dire à Janet ce qu'elle pensait de ce genre de plaisanterie quand quelque chose attira son regard. Là, sur le plancher près du lit, il y avait un livre. Il n'appartenait pas à Peggy et en le ramassant, elle le reconnut sur le champ. C'était le livre Fun and Games for Children qu'elle et David avaient vu quelques minutes plus tôt sur le manteau de la cheminée dans la chambre de Janet. Il avait traversé le mur. Pendant que Peggy retournait au no 84, essayant de comprendre, Janet était cc repartie . David était résolu à obtenir des preuves du passage à travers la matière solide, les expériences de la nuit précédente n'ayant pas donné de résultats probants. En fait, les chaussons et l'oreiller avaient disparu mais les uns avaient été retrouvés sous le matelas et l'autre juste sous la fenêtre dans le jardin. Dans ce but, il s'empara d'un énorme coussin rouge d'un des fauteuils du living et le tendit à Janet. cc Vas-y lui dit-il cc voyons de quoi tu es capable.
Extrait page 274 : "Attendez" dït Grosse. Ecoute-moi bien. Tu es couchée sous les couvertures et puis, tu lévites dans les airs mais les couvertures, elles, ne te suivent pas. Serais- tu en train de me dire, par hasard, que tu passes à travers les couvertures !
c Je ne sais pas répliqua Janet.
< C'est ce qu'il me semble à moi, dit sa mère << le lit n'est pas défait.
C'était un peu fort. La lévitation nous pouvions y croire à présent, mais la lévitation à travers les couvertures ?
Commentaire de CASAR
(En cours)