Re: L'extreme-droite au pouvoir aux prochaines éléctions présidentielles françaises ?
Publié : 14 juin 2024, 17:14
La "peur du fâââchisme" , ressort éculé. Fallait ouvrir les yeux à temps et agir à temps ! 

Débattons sans nous battre !
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Magnifique démonstration de mauvaise foi d'une personne qui n'a pas lu le bonhomme. Théodore Dalrymple a travaillé avec toute sortes de patients, rien que dans cet essai, il donne l'exemple de jeunes filles d'ascendances pakistanaises promis au mariages forcés par leurs familles. Ou dans cet autre essai, comment l'intelligentsia diffuse justement une culture de l'échec au sein des classes les plus modestes. Mais surtout la meilleur c'est que tu reproche ici à Théodore Dalrymple d'avoir travaillé sur le terrain, justement avec les habitants les plus pauvres, Théodore Dalrymple ayant également bossé en Afrique soit dit en passant. Ce médecin psychiatre a pu faire une véritable ethnographie de la misère et de la culture de ce qu'en anglais on nomme «l’underclass». Et la meilleure c'est que tu mets en doute ces témoignage de ces patients qui se plaignent que la police ne les protègent pas des délinquants, ah oui c'est bien connu l'insécurité des personnes fragiles dans les quartiers dangereux n'est qu'un sentiment. Bref tu dénigres gratuitement le travail et les écrits d'une personne ayant une riche expérience de terrains avec justement les classes et éléments les plus fragiles de nos sociétés, sans autre arguments.LoutredeMer a écrit : 14 juin 2024, 15:10Des patients psychiatriques (bis repetita) ... Bel échantillon d'étude...
Notons une première altercation avec des gaillards qui se sont invité à la fête et qui avaient déjà des couteaux, même si la première fois ils avaient du les laisser à la sécurité. Ce simple fait suffit à démontrer que dès le départ ces gaillards des cités n'étaient pas nets pour rester poli.
Je ne comprends pas cette obsession de la non-stigmatisation, des gens qui usent de couteaux pour tenter de tuer des villageois dans une expédition punitive, ont fait le choix par définition, d'être des racailles ou de la vermine. On ne les stigmatise pas pour ce qu'ils sont de naissance, ni en raison de leur origines sociales, on les nomme ainsi parce qu'ils choisissent sciemment d'être des petites merdes nuisibles. Porter un jugement négatifs sur des gens qui sont odieux et nuisibles de leurs propres chefs est non seulement légitime, c'est même très sains, le mépris si mérité est une bonne chose, certaines personnes méritent d'être jugées négativement.Dominique18 a écrit : 14 juin 2024, 09:38Ce n'est pas parce que j'avais choisi de ne pas te répondre directement que je n'en pensais pas moins. Ma position au sujet de cette affaire n'a pas changé d'un iota. Par contre, je n'emploie pas le termes de racailles ou d'autres termes pour stigmatiser les individus de ce groupe en fonction de leur lieux de résidence, de leurs origines familiales.
Oui et c'est pour cela que je pense que cette immigration aurait dû être stopper il y a bien longtemps. À l'origine l'immigration en provenance d'Afrique du Nord fut une immigration de travail, puis, probablement sous la pression d'un patronat désireuse d'une main d’œuvre corvéable à merci et d'idéalistes sans-frontiéristes, vas-y que l'on a mis en place le regroupement familiale, tout cela sans se poser la question des conséquences sociales, culturelles, mais aussi économiques à long terme, d'une immigration peu qualifiée. Surtout qu'avec la désindustrialisation, cette immigration et sa descendance était destinée a alimenté massivement le rang des chômeurs. Et aujourd'hui c'est pire, il n'y a plus ni d'outils, ni de volonté politiques de s'opposer concrètement à des flux migratoires en roue libre. L'État est même impuissant ou coupable d'un laxisme, laissant des criminels étrangers sous OQTF se balader dans la nature sans jamais les expulser, alors à ce stade parler de l'intégration sociale, économique et culturels, des immigrés légaux et de leurs descendants français n'en parlons-même pas. L'État français a laissé, et laisse pourrir la situation si bien qu'aujourd'hui l'immigration et ses conséquences profondes, menacent véritablement la sécurité et la paix sociale du pays.Dominique18 a écrit : 14 juin 2024, 09:38Le constat, implacable, est qu'elles sont submergées, déficientes, insuffisantes, inopérantes, les manques, carences, égarements, gabegies,... de l'état sont ahurissants.
On peut mais ça nécessite de reprendre la maîtrise des frontière. Le Danemark a commencé à montrer l'exemple. Un politique stricte, est indispensable, or la France fait exactement le contraire, à savoir laxisme et non-maîtrise totale de la question migratoire et culturelle.Dominique18 a écrit : 14 juin 2024, 09:38C'est de la théorie systémique: soit on continue d'entretenir le problème en le nourrissant, soit on essaie de sortir de la dynamique ce ce problème en agissant avec des leviers créés à cet effet à l'extérieur de cette dynamique pour faire évoluer positivement la situation.
On peut oui, mais parfois les différences qui nous séparent nécessitent une séparation physique c'est-à-dire géographiques. Il y a des populations qui n'adhèrent pas à nos valeurs et ne voudront jamais y adhérer, ces personnes n'ont rien à venir faire chez nous, je dis bien rien. La France n'a pas les moyens, d'acculturer tous les candidats à l'immigration en recherche d'une vie meilleure, c'est ainsi. Maintenant la priorité de l'État français, serait de travailler sur les migrants et descendants d'immigrés encore non-intégrés, et ne plus en accueillir de nouveaux, tant que ces problèmes non-traités n'ont pas été résolu. Sinon cela ne pourra que mal finir. La perspective humaniste c'est bien, mais elle ne doit pas nous faire oublier le pragmatisme, et le réalisme, obéir à de seuls idéaux déconnectés des contraintes du réel, se termine toujours en désastre.Dominique18 a écrit : 14 juin 2024, 09:38Reste à savoir si on veut continuer à rester humains, dignes, faire preuve d'humanité, ou si on choisit de s'orienter vers la brutalité, la carotte et le bâton à coups de matraques ou de maillet.
Je continue de m'inscrire dans une perspective humaniste, avec la reconnaissance et le respect de l'autre, quel qu'il soit, en dépit des différences qui peuvent nous séparer.
Des éléments sont pertinents et d'autres nettement plus sujets à caution voire à opposition (les drogues, le sevrage de l'héroïne. Là, c'est n'importe quoi, de l'ultracrėpidarianisme)Thèmes qui se retrouvent régulièrement dans les articles de Daniels[11] (Dalrymple)
Une grande partie de la souffrance contemporaine dans les pays occidentaux — dont la criminalité, la violence domestique, la toxicomanie, les jeunes agressifs, le hooliganisme, les familles brisées — trouve sa cause dans la conduite nihiliste, décadente, et auto-destructive de personnes qui ne savent pas comment vivre. La normalisation culturelle de cette conduite et la médicalisation de ces problèmes sont tout simplement des formes d’indifférence. Quelqu'un doit dire à ces personnes, patiemment et au cas par cas, qu'il faut vivre différemment[12].
La pauvreté n'explique pas en elle-même les conduites agressives, criminelles et auto-destructices. Dans un bidonville africain, on trouve en abondance dignité et bonnes mœurs parmi les très pauvres vivant dans des conditions pénibles. En revanche, cette dignité et ces bonnes mœurs font défaut dans une banlieue typique d'Angleterre, bien que ses habitants soient beaucoup plus riches[13].
La gratitude et le sens du devoir ont été remplacés par la conscience de jouir de "droits", sans responsabilité. Cela conduit alors à du ressentiment lorsque ces droits perçus se trouvent enfreints par les parents, les autorités, les bureaucraties et la société en général[14].
L'un des aspects qui rend l'islam (ou plus exactement l'islamisme) attractif pour les jeunes hommes musulmans élevés en Occident est la possibilité que cela leur donne d'exercer une domination sur les femmes[15].
Les solutions technocratiques ou bureaucratiques aux problèmes de l'humanité conduisent au désastre dans les cas où la racine de ces problèmes est la nature même de l'homme.
Il est un mythe qu'en se sevrant d'une drogue comme l'héroïne, les symptômes de manque soient presque insupportables ; en fait, ils ne sont pas pire que ceux d'une grippe[16],[17].
La criminalité est plus souvent la cause de l'assuétude aux drogues que sa conséquence.
Le sentimentalisme, solidement implanté dans la société britannique, est "le progéniteur, le parrain, l'accoucheur de la brutalité"[18].
La haute culture et les goûts esthétiques raffinés valent qu'on les défende et, malgré les protestations de relativistes qui disent que tous les modes d'expression se valent, ils sont supérieurs à la culture populaire[19],[20],[21].
L'idéologie de l'État-providence est utilisée pour diluer les responsabilités personnelles. L'érosion des responsabilités personnelles rend les individus dépendants des institutions et favorise l'existence d'un sous-prolétariat menaçant et vulnérable.
Le relativisme moral peut aisément se révéler un truc d'égocentrique pour faire taire ainsi la voix de la conscience[22].
Le multiculturalisme et le relativisme culturel ne s'accordent pas avec le bon sens[23].
La bonne conduite — la maîtrise de soi, la modestie, le zèle, l'humilité, l'ironie, le détachement — est en déclin. Cela détruit la vie sociale et personnelle[24].
La source de notre pauvreté culturelle contemporaine est la mauvaise foi intellectuelle. Les intellectuels (en particulier ceux de gauche) ont d'abord détruit les fondations de la culture et refusent à présent de le reconnaître en se retranchant derrière les arcanes de la bien-pensance.
Plus que toutes les autres nations du monde, la Grande-Bretagne est le lieu où tous les maux résumés ci-dessus se manifestent le plus[25].
Ah non pour le multiculturalisme ses propos sont parfaitement pertinents. Encore une fois cet essai, basé sur le réel, le démontre amplement. Le multiculturalisme se casse les dents sur le fait que toutes les cultures, c'est-à-dire valeurs, modèles familiaux, et mœurs, ne sont pas compatibles les unes avec les autres.
Au fait, tant qu'à se référer à Paul Watzlawick (je suppose avec les ultrasolutions ?) il y a aussi : "(...) Et l'effet est garanti aussi longtemps que l'étudiant s'en tient à deux règles simples. Premièrement, une seule solution est possible, raisonnable, autorisée, logique ; si elle n'a pas encore produit l'effet désiré, c'est qu'il faut redoubler d'effort et de détermination dans son application. Deuxièmement, il ne faut en aucun cas remettre en question l'idée qu'il n'existe qu'une solution et une seule. c'est sa mise en pratique qui doit laisser à désirer et peut être encore améliorée." (Faites vous-même votre malheur, https://bouquinsblog.blog4ever.com/fait ... watzlawickDominique18 a écrit : 13 juin 2024, 17:08 Mais ce n'est pas pour cela que je vais participer à la meute, à la curée et me mettre à hurler avec les loups qui sortent toujours de leur attirail des ultrasolutions.
Alors ne viens pas poster sur un forum sceptique! C'est factuel : ces écrits sont anecdotiques. Il ne s'agit pas d'expérience de terrain dans ceux que je rapporte. Sais-tu que parmi les patients psychiatriques il y a des psychotiques paranoïaques, des - phobes de toutes sortes, des dépressifs? alors évidemment qu'ils ont peur. Ils ont peur de tout!uno a écrit : 14 juin 2024, 17:25Magnifique démonstration de mauvaise foi d'une personne qui n'a pas lu le bonhomme. Théodore Dalrymple a travaillé avec toute sortes de patients, rien que dans cet essai, il donne l'exemple de jeunes filles d'ascendances pakistanaises promis au mariages forcés par leurs familles. Ou dans cet autre essai, comment l'intelligentsia diffuse justement une culture de l'échec au sein des classes les plus modestes. Mais surtout la meilleur c'est que tu reproche ici à Théodore Dalrymple d'avoir travaillé sur le terrain, justement avec les habitants les plus pauvres, Théodore Dalrymple ayant également bossé en Afrique soit dit en passant. Ce médecin psychiatre a pu faire une véritable ethnographie de la misère et de la culture de ce qu'en anglais on nomme «l’underclass». Et la meilleure c'est que tu mets en doute ces témoignage de ces patients qui se plaignent que la police ne les protègent pas des délinquants, ah oui c'est bien connu l'insécurité des personnes fragiles dans les quartiers dangereux n'est qu'un sentiment. Bref tu dénigres gratuitement le travail et les écrits d'une personne ayant une riche expérience de terrains avec justement les classes et éléments les plus fragiles de nos sociétés, sans autre arguments.LoutredeMer a écrit : 14 juin 2024, 15:10Des patients psychiatriques (bis repetita) ... Bel échantillon d'étude...
Après, il faut reconnaitre un intérêt à ses écrits. Mais hors de son domaine (la psychiatrie et dans une certaine mesure le monde pénitentiaire), ce sont des avis personnels à forte tendance conservatrice et il ne fait guère consensus.LoutredeMer a écrit : 14 juin 2024, 15:10Theodore Dalrymple est un médecin psychiatre...uno a écrit :Theodore Dalrymple "qui sait tout sur l'histoire, la politique et la société"
C'est tout à fait ce que je viens de dire.Inso a écrit : 14 juin 2024, 18:48(...) Mais hors de son domaine (la psychiatrie et dans une certaine mesure le monde pénitentiaire), ce sont des avis personnels à forte tendance conservatrice et il ne fait guère consensus.LoutredeMer a écrit : 14 juin 2024, 15:10Theodore Dalrymple est un médecin psychiatre...uno a écrit :Theodore Dalrymple "qui sait tout sur l'histoire, la politique et la société"
Absolument.Une forte nostalgie ressort
Je ne suis pas allée jusque là mais c'est complètement logique.Il regrette quand même ouvertement le temps béni de la colonisation où chaque peuple était à sa place (les blancs dans les villas et les noirs dans les bidonvilles) et ou les noirs se "tenaient bien".
Bonjour LoutredeMerLoutredeMer a écrit : 12 juin 2024, 19:26 Tu es comme ton Guilluy qui dit "Insécurité sociale, insécurité face à l’immigration forment un bloc : on est d'autant plus sensible à la question migratoire quand on est fragile socialement. " Non! la plupart touchons des salaires de merde et cela date de plusieurs décennies. A l'époque, les immigrés creusaient des tranchées dans la rue ou travaillaient en usine. Moi je travaillais dans d'autres secteurs et je n'ai jamais pensé stupidement que "c'est la faute des immigrés". :roll
Ca fait trois ans que je braille ici sur le pouvoir d'achat et l'abîme qui nous guette. J'avais raison.
Ah ?LoutredeMer a écrit : 14 juin 2024, 18:53 J'ai quand même lu son wikipedia. Une bonne partie de ses "opinions" est à jeter.
Mon grand je suis désolé mais nous n'allons pas satisfaire tes velléités totalitaires et dégager cette référence et d'autres pour ton bon plaisir.LoutredeMer a écrit : 14 juin 2024, 18:48Alors ne viens pas poster sur un forum sceptique! C'est factuel : ces écrits sont anecdotiques. Il ne s'agit pas d'expérience de terrain dans ceux que je rapporte. Sais-tu que parmi les patients psychiatriques il y a des psychotiques paranoïaques, des - phobes de toutes sortes, des dépressifs? alors évidemment qu'ils ont peur. Ils ont peur de tout!
Ton théodore machin s'est discrédité en un paragraphe! C'est factuel.
A dégager!
Magnifique critique en deux lignes d'un livre que vous n'avez pas lu. D'ailleurs si vous vous étiez renseigner, le livre que tu cites ici a été traduit en Français sous le titre "Culture du Vide", dont on trouve des chapitres audio en ligne. Le déclin moral, l'anomie sociale, l'omniprésence de la drogue au sein de la société britannique sont avérés. Déclin moral également du fait des autorités elles-mêmes comme en témoigne le scandale des grooming-gangs. Bref comme toujours vous conchiez ce que vous n'avez pas lu et n'adresse aucunement les faits décrit par l'auteur.
Mais mon petit, cela fait un moment que je lis sur "l'Occident" qui reste à définir, "l'occidentalisation" qui est un concept différent, et "le déclin de "l'occident?" et ses causes" ...uno a écrit : 14 juin 2024, 19:08Mon grand je suis désolé mais nous n'allons pas satisfaire tes velléités totalitaires et dégager cette référence et d'autres pour ton bon plaisir.LoutredeMer a écrit : 14 juin 2024, 18:48Alors ne viens pas poster sur un forum sceptique! C'est factuel : ces écrits sont anecdotiques. Il ne s'agit pas d'expérience de terrain dans ceux que je rapporte. Sais-tu que parmi les patients psychiatriques il y a des psychotiques paranoïaques, des - phobes de toutes sortes, des dépressifs? alors évidemment qu'ils ont peur. Ils ont peur de tout!
Ton théodore machin s'est discrédité en un paragraphe! C'est factuel.
A dégager!![]()
Par ailleurs oui il s'agit d'expériences de terrain d'un professionnel qui plus est et qui n'a jamais été confondu comme étant un menteur ou un charlatan. En revanche de ton côté tu es un petit malhonnête qui cherche simplement à ne pas avoir à tenir compte de faits et réflexions offensant ses dogmes et laisse ainsi s'exprimer ses désirs de censure. Bref tu es l'antithèse d'un sceptique et comme toujours je pèse mes mots.![]()
L'idée d'un déclin de l'Occident, et plus largement de nos sociétés modernes (car on retrouve des similitudes sur certains points dans les sociétés asiatiques par exemple), se défend largement. Divers facteurs et faits, explosion des divorces, chute de la natalité, explosion de l'obesité, insécurité et violences gratuites, atomisation sociale, etc, etc... appuient cela. La hausse de l'anxiété et des pensées suicidaires (il faut que je remette la main sur un récent sondage en la matière pour la France) ont bien une raison. Et il est éventuellement nécessaire d'admettre que nos sociétés ne sont pas forcément sur la voie du progrès et que certains points (pas forcément tous mais certains) souligné par les "réactionnaires" sont pertinents pour comprendre ces maux contemporains. :doigt d'honneur:LoutredeMer a écrit : 14 juin 2024, 19:19Mais mon petit, cela fait un petit moment que je lis sur "l'Occident" qui reste à définir, "l'occidentalisation" qui est un concept différent, et "le déclin de "l'occident?" et ses causes.
Ça fait toujours une ligne de plus que le "ta source c'est de la merde" que tu affectionnes tant.uno a écrit : 14 juin 2024, 19:16 Magnifique critique en deux lignes d'un livre que vous n'avez pas lu.
Hihi. Il a dû prendre l'option psychanalyse dans sa formation.Inso a écrit : 14 juin 2024, 19:07Ah ?LoutredeMer a écrit : 14 juin 2024, 18:53 J'ai quand même lu son wikipedia. Une bonne partie de ses "opinions" est à jeter.![]()
Mois j'ai bien aimé (entre autres) "Le sentimentalisme, solidement implanté dans la société britannique, est "le progéniteur, le parrain, l'accoucheur de la brutalité"![]()
C'est fou le temps qu'il a à perdre en lisant des livres qui n'en valent pas la peine...
C'est sûr que lorsque je discute avec des creationnistes se référant à answeringenesis.com je me sentais libre de dire que c'est de la merde, surtout que la dite source je l'avais lu et je pouvais démontrer objectivement que c'était de la merde.Inso a écrit : 14 juin 2024, 19:40Ça fait toujours une ligne de plus que le "ta source c'est de la merde" que tu affectionnes tant.
Celle-là je vais l'encadrer comme une des plus belles pépites de minus habens qu'il m'ait été donné de lire.LoutredeMer a écrit : 14 juin 2024, 19:53C'est fou le temps qu'il a à perdre en lisant des livres qui n'en valent pas la peine.
Oui oui, encadre, mon lapin.uno a écrit : 14 juin 2024, 20:01Celle-là je vais l'encadrer comme une des plus belles pépites de minus habens qu'il m'ait été donné de lire.LoutredeMer a écrit : 14 juin 2024, 19:53C'est fou le temps qu'il a à perdre en lisant des livres qui n'en valent pas la peine.![]()
Quelle marade à droite !La décision, rendue par la juridiction des référés du tribunal judiciaire de Paris, ordonne la suspension des effets des deux décisions d'exclusion prononcées à l'encontre d'Éric Ciotti les 12 et 14 juin à condition que la défense d'Éric Ciotti saisisse dans les huit jours la juridiction sur le fond du dossier.