Le gouvernement chinois en place a assuré la continuité.
Les laogais n'ont jamais disparu.
Un certain Gérard de Villiers m'a toujours intrigué.
Il "produisait" ses quatre "SAS" annuellement.
De la littérature dite de gare.
Il était connoté d'extrême-droite et jugé infréquentable. Il était plutôt anti-tout, un vrai réac, flambeur.
Le tirage de ses livres était quand même conséquent.
Par curiosité, comme on peut en trouver chez Emmaüs ou ailleurs, à prix très modique, j'en ai relu quelques-uns, portant sur des thématiques précises (Iran, Chine,...). Le contenu laisse songeur quant à ce qui a pu se dérouler historiquement, par la suite.
Les informations dont disposait de Villiers pour écrire ses récits ne reposaient pas que sur du vent. De mémoire, il ne se montrait pas tendre pour les chinois, en insistant sur les caractéristiques dictatoriales du régime en cours.
Le 30 janvier 2013, Gérard de Villiers, qui est largement ignoré sinon méprisé par la critique littéraire en France[22], se voit consacrer un long article à la une du New York Times. Dans cet article, l'auteur, journaliste confirmé spécialiste des relations internationales, explique la valeur et la fiabilité étonnantes des informations contenues dans les romans de Gérard de Villiers[23], au point que de nombreux diplomates lisent ses livres[24]. Selon un agent de la CIA, les romans contiennent « beaucoup d'informations. Il est en contact avec tous les services de sécurité et il en connaît tous les acteurs »[25]. Par l'entremise d'Alexandre de Marenches, il devient au début des années 1970 honorable correspondant du SDECE puis de la DST grâce à son ami le général Philippe Rondot, ce qui lui permet d'être bien informé dans ce domaine
https://fr.m.wikipedia.org/wiki/G%C3%A9rard_de_Villiers
A vérifier, cela reste troublant.