Re: CoronaVirus
Publié : 26 août 2020, 15:05
Plus de mille décès aux Etats-Unis, au Brésil et en Inde hier, mais tout va très bien selon juju le menteur ! 

Nooon...pas VOUSCartaphilus a écrit : 26 août 2020, 15:00 Salut à tous.
julien99 a écrit : 26 août 2020, 12:50 Tous les indicateurs indiquent la fin de la pandémie. POINT FINAL.
Courbe logarithmique du nombre cumulé de cas de CoviD-19 dans le monde : capture d'écran au 26 août 2020 sur le site de la John Hopkins University of Medicine.
Ahah.julien99 a écrit : 26 août 2020, 15:031 ) Officiellement, l'Allemagne est toujours en pandémie, comme en FranceTotolaristo a écrit : 26 août 2020, 14:01 Je sais pas pourquoi il nous fait une fixette sur l’Allemagne et le RKI. C’est étrange cette obsession.
Ça doit être une forme de country picking.
Que la pandémie se tasse par chez nous, on sera presque tous d’accord pour le dire.
Mais dire qu’elle est finie, il faut s’être mis de sacrées œillères![]()
2 ) Les chiffres du RKI sont les plus transparents
3 ) certains d'entre vous n'êtes pas foutus de faire la différence entre un nombre de testés positifs - chiffre en valeur absolue - et celui d'un nombre exprimé par mille tests effectués. Sinon vous auriez compris que la nuance est de taille et que seule cette manière de compter représente une indication correcte sur la progression épidémiologique.
4 ) Mon post précédent, ce magnifique graphique portait ni sur l’Allemagne ni la Tanzanie, mais sur la France. Question œillères, vous verriez mieux si vous vous décrottez les yeux le matin![]()
Ridicule, vous dites ? Il y a tout de même des épidémiologistes, infectiologues ou microbiologistes de renommée qui le disent. Question argument d’autorité, vous êtes très mal placé, mon vieux !Totolaristo a écrit : 26 août 2020, 15:40Ahah.julien99 a écrit : 26 août 2020, 15:031 ) Officiellement, l'Allemagne est toujours en pandémie, comme en FranceTotolaristo a écrit : 26 août 2020, 14:01 Je sais pas pourquoi il nous fait une fixette sur l’Allemagne et le RKI. C’est étrange cette obsession.
Ça doit être une forme de country picking.
Que la pandémie se tasse par chez nous, on sera presque tous d’accord pour le dire.
Mais dire qu’elle est finie, il faut s’être mis de sacrées œillères![]()
2 ) Les chiffres du RKI sont les plus transparents
3 ) certains d'entre vous n'êtes pas foutus de faire la différence entre un nombre de testés positifs - chiffre en valeur absolue - et celui d'un nombre exprimé par mille tests effectués. Sinon vous auriez compris que la nuance est de taille et que seule cette manière de compter représente une indication correcte sur la progression épidémiologique.
4 ) Mon post précédent, ce magnifique graphique portait ni sur l’Allemagne ni la Tanzanie, mais sur la France. Question œillères, vous verriez mieux si vous vous décrottez les yeux le matin![]()
Écoutez, déjà comprenez un peu comment fonctionne un poumon. Ensuite vous pourrez jouer aux sachants sur les internets
Votre histoire de « nombre par 100 000 tests » est tout aussi ridicule qu’une valeur absolue. Vu que c’est fonction de la politique de dépistage. Ça fait plusieurs fois que je le redis sur les différentes enfilades.
Quand on teste le tout venant ou seulement les personnes à risque, forcément qu’on a des résultats à interpréter de manière différentes.
Maintenant physiologie et statistiques même combat. Vous avez déjà prouvé que vous n’aviez aucune formation ou compétence en ces matières. Donc vos conseils outrés mériteraient de se transformer en simples conseils a défaut de vous taire.
julien99 a écrit : 26 août 2020, 12:50Tous les indicateurs indiquent la fin de la pandémie. POINT FINAL.
julien99 a écrit : 26 août 2020, 15:033 ) certains d'entre vous n'êtes pas foutus de faire la différence entre un nombre de testés positifs - chiffre en valeur absolue - et celui d'un nombre exprimé par mille tests effectués. Sinon vous auriez compris que la nuance est de taille et que seule cette manière de compter représente une indication correcte sur la progression épidémiologique.
Assez élémentairement, je me réfère à la définition du terme pandémie : épidémie mondiale, soit [e]xtension à une population, d’une maladie infectieuse à transmission interhumaine.
Non moi j’ai toujours dis que le nombre de cas positifs aujourd’hui n’avait pas la même valeur qu’au début de la pandémie.julien99 a écrit : 26 août 2020, 16:07Ridicule, vous dites ? Il y a tout de même des épidémiologistes, infectiologues ou microbiologistes de renommée qui le disent. Question argument d’autorité, vous êtes très mal placé, mon vieux !Totolaristo a écrit : 26 août 2020, 15:40Ahah.julien99 a écrit : 26 août 2020, 15:03
1 ) Officiellement, l'Allemagne est toujours en pandémie, comme en France
2 ) Les chiffres du RKI sont les plus transparents
3 ) certains d'entre vous n'êtes pas foutus de faire la différence entre un nombre de testés positifs - chiffre en valeur absolue - et celui d'un nombre exprimé par mille tests effectués. Sinon vous auriez compris que la nuance est de taille et que seule cette manière de compter représente une indication correcte sur la progression épidémiologique.
4 ) Mon post précédent, ce magnifique graphique portait ni sur l’Allemagne ni la Tanzanie, mais sur la France. Question œillères, vous verriez mieux si vous vous décrottez les yeux le matin![]()
Écoutez, déjà comprenez un peu comment fonctionne un poumon. Ensuite vous pourrez jouer aux sachants sur les internets
Votre histoire de « nombre par 100 000 tests » est tout aussi ridicule qu’une valeur absolue. Vu que c’est fonction de la politique de dépistage. Ça fait plusieurs fois que je le redis sur les différentes enfilades.
Quand on teste le tout venant ou seulement les personnes à risque, forcément qu’on a des résultats à interpréter de manière différentes.
Maintenant physiologie et statistiques même combat. Vous avez déjà prouvé que vous n’aviez aucune formation ou compétence en ces matières. Donc vos conseils outrés mériteraient de se transformer en simples conseils a défaut de vous taire.![]()
Sans avoir fait vos prestigieuse études - c'est bien de nous le rappeler - vous n'êtes même pas foutu de constater/comprendre qu’actuellement nous avons de moins de malades/décès tout en ayant augmenté le nombre de tests. Le tableau précédent, vous vous en foutez royalement.![]()
Votre diplôme vous a t-il été offert gracieusement ?![]()
Bien joué. Le fin du fin étant de jouer avec l'abscisse et l’ordonnée pour impressionner avec la courbe.Pour information : du 14 mai 2020 au 22 août 2020, taux de positivité des tests en France :
« Le taux de positivité quotidien correspond au pourcentage de personnes testées positives par rapport au nombre de tests total (positifs et négatifs), par jour ». Source, cliquer sur l'onglet synthèse.
Utiliser l’indicateur du nombre d’infectés sur 100.000 est tout aussi débile pour démontrer le risque de reprise.Non moi j’ai toujours dis que le nombre de cas positifs aujourd’hui n’avait pas la même valeur qu’au début de la pandémie.
Compter en nombre de positif par 100 000 test est tout aussi débile si on suit le raisonnement jusqu’au bout.
Si je test 100 000 personnes qui toussent ou 100 000 personnes prisent aléatoirement, vous comprenez bien que la valeur qu’on obtient n’a pas d’intérêt.
Ooops...Par Le Parisien avec AFP
Le 25 août 2020 à 19h11, modifié le 25 août 2020 à 19h15
Un kit de test du Covid-19 défectueux a entraîné 3 700 résultats faussement positifs
Et vous vous contredites quand vous dites :Sinon vous auriez compris que la nuance est de taille et que seule cette manière de compter représente une indication correcte sur la progression épidémiologique.
Utiliser l’indicateur du nombre d’infectés sur 100.000 est tout aussi débile pour démontrer le risque de reprise.
OK, on a compris.julien99 a écrit : 26 août 2020, 23:56 Bien joué. Le fin du fin étant de jouer avec l'abscisse et l’ordonnée pour impressionner avec la courbe.
Je remets ce petit cours sur les manipulations par les graphiques :
Le pourcentage allant de 0 à 4 % seulement donne l’impression qu’il y a nette progression, même s’il ne s’agit que d’un %. Selon si on aplatit ou élargit, selon l’échelle de pourcentage dans l’abscisse on aura l’impression d’une envolée de tests positifs.
03/8 : 142 nouveaux patients hospitalisés / 29 nouveaux patients en réanimationL'Ain, l'Ariège, l'Aude et le Gers font leur entrée dans la liste des départements en situation de "vulnérabilité modérée" de Santé publique France. Au total, 48 départements sont donc sur cette liste. Pour les départements en "vigilance modérée" il s'agit de : l'Ain, l'Ariège, l'Aude, les Alpes-Maritimes, les Alpes de Haute Provence, l'Aube, le Bas-Rhin, la Côte d'Or, la Drôme, l'Essonne, le Gard, le Gers, la Haute-Garonne, la Haute-Savoie, les Hautes Pyrénées, l'Ille-et-Vilaine, l'Isère, l'Eure-et-Loir, l'Indre et Loire, la Mayenne, la Mayotte, la Meurthe et Moselle, le Nord, l'Oise, les Pyrénées Atlantique, les Pyrénées Orientales, la Réunion, le Maine-et-Loire, la Martinique, la Guadeloupe et Saint Martin, Seine et Marne, Tarn, Tarn-et-Garonne, Val d'Oise, Var, Vaucluse, Yvelines. Les départements en "vigilance élevée", sont, comme hier : les Bouches-du-Rhône, la Gironde, la Guyane, les Hauts-de-Seine, l'Hérault, le Loiret, Paris, le Rhône, la Sarthe, les Seine-Saint-Denis, et le Val-de-Marne.
En 24 heures, la France a enregistré 5.429 nouveaux cas fait savoir Santé publique France, portant le total à 253.587 cas confirmés. Un nouveau record après les quelque 4.800 nouveaux cas enregistrés la semaine dernière.
Si j’étais susceptible ou paranoïaque, ou les deux, je pourrais subodorer que vous m'accusez de tricherie.... Passons.julien99 a écrit : 26 août 2020, 23:56 Bien joué. Le fin du fin étant de jouer avec l'abscisse et l’ordonnée pour impressionner avec la courbe.
Je remets ce petit cours sur les manipulations par les graphiques :
https://www.youtube.com/watch?list=PLOx ... qELr0BVxCE
Une fois encore, je pourrais vous demander les sources : diminution dunombre de malades, forme atténuée de la maladie, noms des experts que vous évoquez.julien99 a écrit : 26 août 2020, 23:56 Vous n’allez quand-même pas me contredire sur le fait qu’il y a de moins en moins de malades ou que la covid19 a pris une forme beaucoup plus bénigne comme le dirait beaucoup d’experts.
Vous ne croyez donc pas à cette mutation…![]()
C’est la définition révisée en 2009 juste avant la grippe A pour laquelle on a enlevé le concept de létalité. D’après cette définition, le moindre rhinovirus devrait faire l’objet du confinement général.Assez élémentairement, je me réfère à la définition du terme pandémie : épidémie mondiale, soit [e]xtension à une population, d’une maladie infectieuse à transmission interhumaine.
Quand il n’y aura plus de cas ? mais quelle utopie ! Des cas de cas quoi ? De positifs ou des cas de malades sévères ? En quoi la positivité est-elle un problème si l’infection n’est que théorique ?jean7 a écrit : 27 août 2020, 01:22La fin de la pandémie, ce sera quand il n'y aura plus de cas.julien99 a écrit : 26 août 2020, 23:56 Bien joué. Le fin du fin étant de jouer avec l'abscisse et l’ordonnée pour impressionner avec la courbe.
Je remets ce petit cours sur les manipulations par les graphiques :
Le pourcentage allant de 0 à 4 % seulement donne l’impression qu’il y a nette progression, même s’il ne s’agit que d’un %. Selon si on aplatit ou élargit, selon l’échelle de pourcentage dans l’abscisse on aura l’impression d’une envolée de tests positifs.
On a aucune idée de quand et comment ça se produira.
Mais ça n'est pas maintenant.
Il y a des pays qui s'en sortent mieux que d'autres.
Le problème étant que le nombre de porteurs du virus étant plus important, leur dissémination dans le monde étant plus étendue qu'en janvier et le virus n'ayant rien perdu de sa virulence, la situation n'est pas "point final" mais bien "points de suspension" et ceci partout où il y a une population.
Je n’arrête pas de dénoncer cette manière de compter. Je n’ai jamais cautionné ce taux de nombre de positifs par 100.000 habitants supposé régir toute notre vie en société.Non moi j’ai toujours dis que le nombre de cas positifs aujourd’hui n’avait pas la même valeur qu’au début de la pandémie.
Compter en nombre de positif par 100 000 test est tout aussi débile si on suit le raisonnement jusqu’au bout.
Si je test 100 000 personnes qui toussent ou 100 000 personnes prisent aléatoirement, vous comprenez bien que la valeur qu’on obtient n’a pas d’intérêt.
Mille et une excuses, mais c'est la définition retenue par l'Académie de médecine...julien99 a écrit : 27 août 2020, 11:08C’est la définition révisée en 2009 juste avant la grippe A pour laquelle on a enlevé le concept de létalité. D’après cette définition, le moindre rhinovirus devrait faire l’objet du confinement général.Cartaphilus a écrit : 26 août 2020, 16:16Assez élémentairement, je me réfère à la définition du terme pandémie : épidémie mondiale, soit [e]xtension à une population, d’une maladie infectieuse à transmission interhumaine.
Cette nouvelle définition n’a pas de sens et laisse la porte ouverte à toutes les dérives que l’on constate aujourd’hui.
On remarque que la définition ne contient pas la notion de gravité de la maladie.EPIDEMIC [from the Greek epi (upon), demos (people)] The occurrence in a community or region of cases of an illness, specific health-related behavior, or other health-related events clearly in excess of normal expectancy.
The community or region and the period in which the cases occur must be specifi ed precisely. The number of cases indicating the presence of an epidemic varies according to the agent, size, and type of population exposed; previous experience or lack of exposure to the disease; and time and place of occurrence. Epidemicity is thus relative to usual frequency of the disease in the same area, among the specifi ed population, at the same season of the year. [...]
Qui a jamais prétendu qu'une pandémie implique la nécessité d'un confinement ????julien99 a écrit : 27 août 2020, 11:08C’est la définition révisée en 2009 juste avant la grippe A pour laquelle on a enlevé le concept de létalité. D’après cette définition, le moindre rhinovirus devrait faire l’objet du confinement général.Assez élémentairement, je me réfère à la définition du terme pandémie : épidémie mondiale, soit [e]xtension à une population, d’une maladie infectieuse à transmission interhumaine.
Théorique ? Une infection théorique, c'est quoi ?julien99 a écrit : 26 août 2020, 23:56Quand il n’y aura plus de cas ? mais quelle utopie ! Des cas de cas quoi ? De positifs ou des cas de malades sévères ? En quoi la positivité est-elle un problème si l’infection n’est que théorique ?La fin de la pandémie, ce sera quand il n'y aura plus de cas.
On a aucune idée de quand et comment ça se produira.
Mais ça n'est pas maintenant.
Rien du tout. Une des conséquences de l'immunité collective peut être que les cas aillent en se raréfiant. Quand le virus ne sera plus présent partout sur la planète comme c'est le cas actuellement, il n'y aura techniquement plus de pandémie et merci l'immunité collective. Donc tes études peuvent donner de l'optimisme. Pas plus. C'est un doigt mouillé de plus levé dans les courants d'air pour tenter de prophétiser.julien99 a écrit : 26 août 2020, 23:56Que faites-vous de toutes les études concernant l’immunité collective que j’ai mises en lien ?
Rien du tout.julien99 a écrit : 26 août 2020, 23:56Que faites-vous de tous les indicateurs qui démontrent que le SARS-vov2 a muté vers une forme peu sévère ?
Ben, si tu rassemble des gens venus d'un peu partout, qu'ils repartent chez eux et que 15 j après certains sont malades, pourquoi ça ferait un cluster ?julien99 a écrit : 26 août 2020, 23:56 Pourquoi ignorez-vous le fait qu’après toutes les grandes manifestations il n’y a jamais de cluster ?
J'ai vu des pays qui ont dit "on fait rien y'a pas de problèmes" et après ont du piteusement avoir recours à des confinements pour tenter de s'en sortir. J'ai vu des courbes identiques, décalées dans le temps, et montrant la progression du virus quand on le laisse faire.julien99 a écrit : 26 août 2020, 23:56
Pourquoi ignorez-vous tout bonnement les courbes identiques pour les pays qui n’ont pas pris toutes les mesures draconiennes ?
Je ne me préoccupe que très rarement de qui dit quoi. J'applique en la matière la stratégie du poisson rouge.julien99 a écrit : 26 août 2020, 23:56
Pourquoi n’écoutez-vous que ceux qui, en 2009 et 2020 n’arrêtent pas de se rétamer avec leurs prévisions ?
Je l'ai mis en gras pour Julien.Totolaristo a écrit : 27 août 2020, 12:07 Pour le reste, la PCR peut servir en masse pour écarter les positifs asymptomatiques. Même si des faux positifs existent, le bénéfice à isoler par précaution dépasse à mon avis le risque de confiner à tort.
Ça permet de lutter directement contre le virus puisque le diagnostic de l’infection entraîne la mise en place de mesures spécifiques (confinement, enquêtes contacts) sensée réduire la diffusion de l’épidémie.
Il me semble qu’on avait déjà parlé de ça. Vous ne voyez que l’aspect passif du diagnostic PCR alors qu’il a un rôle actif dans la stratégie de lutte.
MENTEUR !julien99 a écrit : 26 août 2020, 12:50 Surveillance épidémiologiques en Allemagne...
Tous les indicateurs indiquent la fin de la pandémie. POINT FINAL.
L'Allemagne va durcir les restrictions imposées à sa population face à la pandémie de coronavirus, avec notamment des amendes accrues en cas de non-port du masque, selon un projet d'accord entre régions et gouvernement obtenu par l'AFP. Les autorités vont en outre renforcer leurs contrôles pour s'assurer que les périodes de quarantaine sont bien respectées et imposeront des amendes si ce n'est pas le cas, selon ce texte négocié par le gouvernement d'Angela Merkel et les 16 régions allemandes, qui prévoit en outre de limiter désormais à 25 le nombre de participants à un rassemblement privé. Des amendes d'au moins 50 euros seront infligées en cas de non-respect du port du masque dans les lieux où il est obligatoire.
Même si la propagation du virus est "actuellement encore nettement plus faible qu'au pic atteint en mars et avril", les autorités pointent le fait que "ces dernières semaines, le nombre d'infections a de nouveau augmenté". Le pays enregistre environ 1.500 nouveaux cas quotidiennement, au plus haut depuis la fin du mois d'avril. Le record est à 6.000 début avril.
L'Allemagne va aussi prolonger jusqu'à la fin de l'année l'interdiction de public dans les stades, lieux culturels, festivals ou foires, stipule le projet d'accord, dont l'AFP a obtenu copie. Il s'agit d'un coup dur pour les club de football du pays, qui espéraient pouvoir commencer à faire partiellement revenir leurs supporteurs dans les stades avec la nouvelle saison sur le point de démarrer. "Des exceptions" seront toutefois admises dans les régions où le taux d'infection est bas depuis au moins une semaine et "si l'on s'assure que les participants proviennent exclusivement de cette région ou de régions voisines" où la propagation du virus serait aussi contenue.
Ce n‘est pas vous qui avez fait ce tableau. Je tenais juste à rappeler de quelle manière on peut manipuler l’opinion avec des tableaux. Je vous remets la leçon de Lazarus en lien, juste pour le plaisir :Si j’étais susceptible ou paranoïaque, ou les deux, je pourrais subodorer que vous m'accusez de tricherie.... Passons.
Sources ? RKI, Gouv.com par exemple. Le nombre d’hospitalisations pour Covid19 n’est-il pas un indicateur de la sévérité et de la fréquence de la maladie ? Pour la France, il n’y a pas de terme malade, seulement hospitalisation, réanimation, décès. Dommage.Une fois encore, je pourrais vous demander les sources : diminution du nombre de malades, forme atténuée de la maladie, noms des experts que vous évoquez.
Voici une étude en ce sens :Quant à la mutation, il serait bon de savoir à laquelle vous faites allusion ; par exemple, au variant G614, plus infectieux in vitro, qui se répand à l'échelle mondiale, sans aggraver — semble-t-il — le tableau clinique ?
Tiens donc, l’OMS n’avait donc pas la même définition en 2008 !Prenons le Dictionary of Epidemiology, Miquel Porta editor, Oxford University Press, 5e edition, 2008, p.79.
On remarque que la définition ne contient pas la notion de gravité de la maladie.
Glossaire : santé Définition du terme Infection : " Une infection est une invasion de l' organisme par un agent étranger, comme une bactérie ou un virus, provoquant un état pathologique par lésion des cellules locales, libération de substances toxiques ou par réaction intracellulaire germe- anticorps..Théorique ? Une infection théorique, c'est quoi ?
Je ne sais pas où vous mouillez votre doigt, mais je me suis donné la peine d’argumenter avec des éléments factuels comme des études. Difficile de faire plus ! Vous élèveriez quelque peu le débat si vous évitiez de commenter comme au comptoir du PMU après le dixième pastis.Une des conséquences de l'immunité collective peut être que les cas aillent en se raréfiant. Quand le virus ne sera plus présent partout sur la planète comme c'est le cas actuellement, il n'y aura techniquement plus de pandémie et merci l'immunité collective. Donc tes études peuvent donner de l'optimisme. Pas plus. C'est un doigt mouillé de plus levé dans les courants d'air pour tenter de prophétiser.
Hahahaha ! Venant du plus gros manipulateur et menteur de ce forum, c'est hilarant !julien99 a écrit : 27 août 2020, 19:58 Vous élèveriez quelque peu le débat si vous évitiez de commenter comme au comptoir du PMU après le dixième pastis.
Merci d'avoir fourni ce lien ; toutefois, la diffusion de ce variant et son éventuel moindre pouvoir pathogène restent à établir :julien99 a écrit : 27 août 2020, 19:58Voici une étude en ce sens :Quant à la mutation, il serait bon de savoir à laquelle vous faites allusion ; par exemple, au variant G614, plus infectieux in vitro, qui se répand à l'échelle mondiale, sans aggraver — semble-t-il — le tableau clinique ?
https://www.researchgate.net/publicatio ... on_in_nsp1
Pour la définition d'une pandémie :Dans la conclusion de cet article, le collectif d"auteurs a écrit :It would be of interest to monitor over time and confirm the spreading of this particular viral strain, and potentially of strains with other deletions in the nsp1 protein, in the population of asymptomatic and pauci-symptomatic subjects and to correlate these changes in nsp1 with a possible decreased viral pathogenicity.
Vous remarquez que les définitions données par votre modeste serviteur contiennent le terme de maladie (celle de l' Académie de médecine) , et illness (celle du Dictionary of Epidemiology de Porta).julien99 a écrit : 27 août 2020, 19:58 Je vous pose de formuler la question un peu différemment : si la sévérité des symptômes n’est pas un critère, pourquoi ne pas déclarer un rhume d’origine virale en tant que pandémie ? Ou bien même avec cette quantité innombrable de virus sans le moindre caractère pathogène ! D’après la définition que vous avancez nous serions donc en pandémie depuis la nuit des temps 365 jours sur 365. Alors quel intérêt de laisser de côté le contexte de gravité ? Quel sens que donnez-vous à une pandémie sans malades ?![]()
Vous admettez donc que nous sommes dans un état de pandémie systématique, ne serait-ce que pour des raisons de surveillance de souches ?Il ne s'agit donc pas d'une « pandémie sans malades » ; en outre, l'existence d'une maladie bénigne à l'échelle mondiale justifie la surveillance de l'apparition d’éventuels variants plus pathogènes.
Pour ma part, je n'ai aucune réticence à dire qu'il y a probablement (encore que je sois incapable de les citer), à l'heure actuelle, d'autres pandémies que Covid-19.julien99 a écrit : 27 août 2020, 22:55Vous admettez donc que nous sommes dans un état de pandémie systématique, ne serait-ce que pour des raisons de surveillance de souches ?Il ne s'agit donc pas d'une « pandémie sans malades » ; en outre, l'existence d'une maladie bénigne à l'échelle mondiale justifie la surveillance de l'apparition d’éventuels variants plus pathogènes.