Si le principe moteur du monde physique agit bien, de manière immanente et par interrelation selon la détermination des éléments, et a-priori il n'y a pas d'autre possibilité, il y a une redéfinition possible des concepts initiaux de la physique. Il est question du postulat conceptuel, le plus fondamental possible, sur lequel pourrait reposer une théorie générale de l'Univers.
Cette définition de la physique théorique, ne convenait pas trop à ABC, mais je veux surtout mettre l'accent sur cette phrase :On peut définir la physique théorique comme étant l'approche, de la cohérence dans la structure et
le mouvement du monde physique, dans une connaissance des proportions quantitatives et selon un
certain formaliste mathématique : afin de modéliser ce comportement, dans des lois, pour pouvoir le
prédire. Les concepts premiers d'une théorie devant traduire cette cohérence, dans la structure et le
mouvement, du monde physique. C'est de cette manière là qu'une certaine vision du monde est
présente en physique. Si la philosophie découvre des principes, qui ont non seulement une valeur du
point de l'être et de la pure intelligibilité, mais aussi de l'efficience, une certaine rencontre pratique,
entre philosophie et physique, est peut-être possible (passage de l'analyse de l'être à celle des
phénomènes). Il reste à préciser de quelle manière et à quelles conditions.
Une voie scientifique propre pour la philosophie
Or :Les concepts premiers d'une théorie devant traduire cette cohérence, dans la structure et le
mouvement, du monde physique.
Vous voyez bien qu'a partir du postulat, concernant le mode d'action du principe moteur, on peut définir certains concepts initiaux. On retrouve donc l'exigence citée ci-dessus : « les concepts premiers d'une théorie devant traduire cette cohérence, dans la structure et le mouvement, du monde physique. »Mon analyse, philosophique du monde physique, tend à démontrer que le principe moteur du monde physique agit de manière immanente, et par interrelation, selon la détermination des éléments ( ). Ce qui n'a été que peu explicité, à ma connaissance, par la philosophie. Si on n'avait pas un principe moteur agissant de cette manière là, les corps seraient seulement juxtaposés les uns aux autres, et il n'y aurait plus d'unité de l'univers. Ce mode d'action du principe moteur de l'univers nous conduit, presque immanquablement, à une conception complètement relationnelle de l'espace-temps. Cette conception n'est pas entièrement compatible avec certaines conclusions de la relativité. La question, de la nature du principe moteur du monde physique, n'est pas du domaine de la physique. Par contre elle peut très bien, dans une vision générale du monde physique, tenir compte de ce mode d'action du principe moteur, en se plaçant dans le cadre d'une approche complètement relationnelle de l'espace-temps. De cette manière nous arrivons à une certaine rencontre pratique, entre philosophie et physique, où chacun des deux domaines apporte sa part de précision.
Une voie scientifique propre pour la philosophie
Je reprends un passage donné ci-dessus pour vous répondre :Dominique18 a écrit : 18 oct. 2024, 17:59 Certes, mais la charge de la preuve ne nous appartient pas.
Dutronc, aussi sympathique et "culte" doit-il, avec cette chanson, n'y changera rien.
J'ai opposé des faits. Une pirouette stylistique ne fait que les cautionner.
La physique est une chose, la théologie en est une autre.
Le concordisme a, jusqu'à présent, toujours été un échec.
Ce ne sont pas les tentatives qui manquent.
Le principe moteur du monde physique agit, de manière immanente et par interrelation selon la détermination des éléments, mais il n'est pas contenu par le monde physique. Il est donc au delà.La question, de la nature du principe moteur du monde physique, n'est pas du domaine de la physique. Par contre elle peut très bien, dans une vision générale du monde physique, tenir compte de ce mode d'action du principe moteur, en se plaçant dans le cadre d'une approche complètement relationnelle de l'espace-temps. De cette manière nous arrivons à une certaine rencontre pratique, entre philosophie et physique, où chacun des deux domaines apporte sa part de précision.
Cordialement
Philippe de Bellescize