Mais en ne tenant pas compte d'études sérieuses sur le sujet, en gardant comme seule référence une vieillerie qui ne fait foi (le terme est important) que pour jroche.jroche a écrit : 17 sept. 2024, 23:00Je parle d'un événement concret, perceptible, en tout cas allégué, néanmoins non reproductible. C'est pourquoi j'ai évoqué le cas des guérisons anormales.Mirages a écrit : 17 sept. 2024, 22:45 Si on sort du champs d'étude de la science, ce n'est plus du savoir ou de la connaissance.
Jroche pratique allègrement le confusionnisme débridé entre science (qui lui évoque très vaguement quelque chose), croyance et foi.
Ce qu'on retrouve dans tous les domaines pseudoscientifiques et les mouvements sectaires, les deux entretenant souvent des rapports proches.
Il est très difficile voire impossible de discuter avec un individu empêtré dans ses croyances, car il croit dur comme fer qu'il sait et que les autres se trompent.
Généralement, la quantité d'échanges produit qui tourne en boucle en constitue une preuve, ces individus ne se remettant jamais en question.
A cet égard, il est étonnant que pour des thématiques abordées, le recyclage de pseudo-arguments tenus il y a une décennie, sur ce forum, soit toujours opérationnel.
Il suffit, pour vérifier, d'utiliser le moteur de recherche.
Pas la peine de lui parler de biochimie, c'est un domaine qu'il ne comprend pas.
Sommairement, un être vivant ne saurait se résumer à la somme physique de ses constituants. (cf. niveaux d'organisation du vivant *). Mais si on en enlève un seul, plus rien ne fonctionne.
Jroche semble incapable de le concevoir. Pour lui, il existe forcément "autre chose". Il ne sait toujours pas quoi, depuis le temps, mais il s'y accroche.
Un genre d'attitude qu'on peut retrouver chez des fondamentalistes, par exemple des individus de confession musulmane avec leur étendard, le coran. Ils considèrent que tout, y compris les progrès scientifiques, est inscrit dans le Coran.
En cas d'opposition, tout ce qu'ils sont capables de faire, c'est de réciter, en prenant à témoin, des kilomètres de sourates absconses.
* cas de greffes, par exemple, et de phénomènes de rejets: faire "admettre" par un organisme un élément extérieur, "étranger", qui remplace l'organe défaillant.
Un bon terrain d'étude et d'application concrète, réaliste, de la "conscience". Ce n'est pas une opération uniquement mécanique dans le cas de greffes.
Si on n'a pas en référence ces multiples exemples qui renvoient à la complexité du vivant, on a toute les chances de parler pour ne rien dire. Et ce n'est pas parce qu'on développe un peu de connaissance sur le sujet qu'on "sait" pour autant. Les spécialistes se gardent de fanfaronner, parce que l'erreur, ou l'exception, les guette, dans leurs approches.