Ce sujet avait été initié par une jeune fille qui voulait discuter de paranormal sans jugement et les commentaires qui suivirent furent assez ... disons étroits plutôt qu'ouverts. De plus, ils n'avaient aucun lien avec la demande de la jeune fille, le sujet divergea sur la pertinence de son "post" sur un site de sceptique. "Ici, les membres ne croient pas aux fantômes."
Ce qui m'a amené une réflexion que je voulais partagé avec vous. Je crois qu'être sceptique est une force. Demander des faits concrets pour baser son opinion est une preuve d'intelligence et nous évite de se tromper ou de se faire tromper. Toutefois, je crois que ce besoin de preuves pour fonder une certitude doit être lié à une ouverture d'esprit. Une ouverture à ce que TOUT soit possible tant qu'il n'y ait pas de preuves concrètes qui nous affirment sans l'ombre d'un doute le contraire et que RIEN n'est vrai tant qu'il n'y ait pas de preuves du contraire également. Cela nous amène à toujours se questionner et à éviter les fausses certitudes.
L'oxygène est essentiel à notre vie : certitude confirmée, preuves à l'appui
Les fantômes existent : fausse certitude, aucune preuve concrète
Les fantômes n'existent pas : fausse certitude, aucune preuve concrète
Donc, il faut y aller avec l'idée : il pourrait exister des fantômes. Trouvons comment avoir la certitude de leur existence ou inexistence. De là naît les questions : Que pourrait être ce qu'on appelle fantôme? Quelles sont les origines de ces histoires? Quels sont les points communs entre elles? Quels phénomènes naturels peuvent provoquer le même résultats? etc.
Ainsi, nous dirons que les fantômes n'existent pas que lorsque tous les phénomènes s'y rattachant seront démystifiés. Peut-être quand restant ouvert d'esprit, nous allons apprendre un peu plus de cet univers mystérieux qu'est le nôtre

Quand pensez-vous?