Prenons plutôt la croyance en un dieu quelconque: il n'existe aucun indice de son existence, mais sa non-existence n'est pas démontrable non plus. Il est parfaitement possible, et on le rencontre souvent, d'y croire mais de le laisser "au vestiaire" dès lors que l'on discute du monde réel. Il y a par exemple énormément de médecins croyants, mais seule une minuscule proportion fait intervenir le facteur religieux lorsqu'il s'agit d'exercer leur art.
Ceci étant, l'affectif est certainement une raison essentielle de s'accrocher à une croyance (depuis la religion jusqu'aux débilités paranormales les plus tartignolles, en passant par les complots du milk marketing board et la collusion entre CIA et petits hommes verts).
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