En donnant aux phénomènes ou aux objets naturels tels ou tels qualités nous ne pouvons pas de ne pas comprendre de l'artificiel de nos constructions.Ce que nous définissons comme la loi de la nature, existe - mais seulement dans notre imagination. Les organismes de la perception de la personne ne sont qu’une composition des installations perceptantes, autrement dit - des détecteurs. Des fonctions de ces detecteurs comprennent exceptionnellement à l’enregistrement des signaux. L’interpretation de l’information recue est le travail de la consciance.
Technologiquement cela se presente l’identification /ou la reconnaissance / des images avec leurs classification suivante. Pars la suite s’effectue la recherche de leurs place dans le modèle de l'espace existant dans l’imagination. C’est ainsi que notre imagination est caractérisé d’une fonction de l’interpretation de la realite. Et pas de sa reflection.
Parfois la pathologie cerebrale mene a la violation de la reconnaissance des images. Le malade decrit l'encemble des signaux, non identifiés par la conscience, avec n'importe quel degré de l'exactitude. Mais avec cela le groupement des signaux perçus à l'image concrète ne s’effectue pas. L’integration des signaux - c’est une fonction de la conscience, la première étape de sa participation active en train de la perception. A la deuxième étape se passe la classification de l'image perçue. A la troisième - la recherxhe de sa place dans le modèle de l'espace , déjà formé dans l'imagination humaine.
Comme nous voyons, la réalité joue dans ce procès le rôle du mécanisme de mise en marche - et seulement à la première étape de ce procès. Par la suite la conscience manipule des objets exceptionnellement imaginés. Il fallait faire quelques conclusions simples.
1. La perception représente la fonction à plusieurs degrés, en train de la réalisation de laquelle la conscience produit le travail défini avec l'information perçue.
2. Le degré de l'identité des objets réels et perçus dépend de la propreté du signal perçu et des qualités du travail de l'organisme percevant.
3. L'image perçue de l'objet et l'objet réel sont identiques en général, mais ils ne sont jamais égaux. Le degré de l'identité est défini par les caractéristiques de la conscience percevante
4. Les réactions de la personne sont toujours dirigés non pour l'objet réel, mais pour son analogue imaginé. C'est pourquoi le degré de l'erreur (ou d'exactitude) de la réaction dépend des caractéristiques de l'imagination percevant.
5. En tentant d'étudier les qualités du monde réel l'homme étudie toujours les qualités du modèle propre de ce monde, c'est-à-dire l'objet imaginé, en lui donnant l'attribut de la réalité.
.
|