Le déterminisme apparait "à la limite classique". Lorsqu'on peut appliquer le principe de causalité, etc. Mais en générale, on peut démontrer qu'à cette limite, le hasard est "invisile" (inmesurable), mais si on construit des modèles aléatoires, on retrouve les bon résultats. Autrement dit, les systèmes classiques sont composé de tellement de systèmes statistique, que l'erreur statistique sur les mesures tend vers zéro et est à toute fins pratiques nulle.
Donc le système mathématique-physique le plus générale pour décrire notre univers est un système basé sur le hasard. Alors qu'un système strictement détriministe ne réussit pas à tout décrire.
Là où je dis que ça devient philosophique, c'est lorsqu'on met en doute l'existance du hasard. Le hasard existe au sens physique, mais est-il vraiment aléatoire ? Je crois que oui, mais c'est plus où moins sans fondement et je l'admet et accepte comme tel. Le meilleur exemple d'illustration est les simulation Monte Carlo. Les générateurs de nombres aléatoire informatique. Si on utilise un générateur avec un germe donné, on ne peut pas prédire le résultat. Mais si on réutilise le même germe à chaque fois, on obtient toujours le même résultats. C'est pour ça qu'on appele les générateurs de nombres aléatoire des nombres pseudo-aléatoire. Lorsqu'on lance un dé, on ne peut pas prédire sur quel chiffre on va tomber, mais est-ce qu'en utilisant une machine qui réussit à contrôler *absoluement* toutes les variables physiques du lancement, est-ce qu'on tomberait chaque fois sur le même chiffre ? Si oui le hasard n'existe pas vraiment. Si non... Et à mon avis, le meilleur "dé" qui possède cette machine, c'est n'importe quel objet qui a des propriétés quantiques. Mais est-ce que le paralèlle fait entre la particule quantique et le dé est juste...
C'est philosophique, je pense.
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