D'autre part, les gens peut instruits ont très peur du changement. Se sont de très grand fan du status quo. Plutôt que de retourner les options dans leur tête, ce qu'ils sont parfois incaplable de faire, ils se résignent à ne rien vouloir changer. Dans un contexte où pour obtenir un référemdum gagnant sur une éventuelle séparation du québec, il faut pas loin de 100% de vote francophone en faveur de la sépartion, il faut de francophone qui n'ont pas peur de se mouiller. Dans chaque référendum, ce sont les indécis qui tranche, ceux là même qui ne savent de quel côté pencher. À mon avis, les indécis génère une épreuve statistique parfaite (autrement dit, on pourrait tirer leur vote à pile ou face et ça changerait pas grand chose...). Pour s'éloigner de la satistique, il faut que ces gens là apprennent à prendre des décisions. Et ça, ça passe par l'éducation, pas la formation.
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