Dans un autre message, tu dis: "Tu t'imagine qu'une réponse mi choux mi chèvre comme celle de JMLL est suffisante pour que je renonce dans mes recherches sur les poltergeists !"
Quel genre de réponse JMLL aurait-il pu te faire qui t'aurait fait renoncer à tes recherches sur les poltergeists? Aucune réponse n'aurait pu t'y faire renoncer, ni de lui, ni de nous, ni de personne, ni de rien.
Je me trompe de beaucoup?
Ton ami Jimmy Guieu était assurément un écrivain de science-fiction de grand talent. Et remarquablement prolifique.
http://www.home.ch/~spaw9981/auteurs/guieu.html
Mais l'histoire de la claque sur la nuque et de la volée de billes est trop incroyable (sans erreur ni tricherie de personne) pour que je la croie. Ce serait un miracle, une suspension du normal. Une violation des lois de la nature, leur remplacement par la magie.
Tu vas m'objecter que ça ne viole que les lois connues et que c'est tout à fait explicable par des lois inconnues, qu'on connaîtra peut-être un jour si on étudie mieux le paranormal. Tu suggères la mécanique quantique, comme piste, sans en dire beaucoup plus. Ce n'est pas suffisant pour sauter l'étape de la vérification rigoureuse, sur le terrain.
Tu dis que la communauté scientifique devrait se précipiter chez Pantel. Pas facile si on n'y croit pas et si le type est farouche. J'en veux un peu à Pantel d'être si peu transparent, si dépourvu d'initiative dans la révélation publique de son exceptionnalité. Il a certainement ses raisons. Elles sont probablement valables de son point de vue.
Quant au texte manuscrit de Bernard Bidauld, j'ai essayé de le lire à
http://www.multimania.com/casar/BID1.GIF (et suivants) mais je me suis vite épuisé. Je n'ose te demander d'en composer une version typographiée car tu sais autant que moi que ça ne suffirait pas à convaincre les sceptiques obtus.
On n'en sort pas. Jusqu'à preuve du contraire, les poltergeists, les fantômes, les icônes qui suintent et les clés qui se tordent, ça n'arrive que dans les contes de fées. Le monde est déjà bien assez intéressant comme il est sans avoir besoin d'en rajouter.
Cordialités,
Denis
|