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Le texte sur les NDE (pour Denis)


Posted by GATTI , Feb 09,2002,09:37 Index  Forum

Slut DENIS,

VOICI LE TEXTE EN QUESTION; il n'a pas été relu mais je fais confiance a ma copine invisible du net qui a eu l'amabilité de faire la dactylo.Sa frappe est foudroyante.C'est surement aussi une Tyson

Ce dossier sera completé avec pas mal d'elements pertinents tu verra la semaine prochaine.
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N.D.E « Science et Avenir février 2002 » (pages 42 à 56)


Les travaux du professeur Van Lommel (Cardiologue à l’hôpital Rijnstate - Arnhem Pays-Bas), publiés dans la revue « The Lancet », permettent d’en savoir un peu plus sur les N.D.E. Les témoignages des patients ayant vécu une NDE ont été analysés et il ressort clairement que certains d’entre eux ont été capables de décrire avec précision le déroulement des faits pendant qu’ils étaient inconscients avec E.E.G plat. Ils semblaient assister à leur opération depuis un point situé hors de leur corps à la hauteur du plafond. Certains déclarent aussi avoir traversé le plafond et décrivent la disposition de l’étage supérieur. C’est le cas pour le témoignage de Christiane (p 50) qui déclare : « j’ai glissé latéralement puis je suis remontée le long de la paroi de la pièce jusqu’à atteindre le plafond. J’ai regardé en bas et j’ai vu trois personnes en blouse blanche qui s’activaient. Je me suis approchée encore plus près du plafond et hop ! je suis passée au travers sans difficulté et je me suis retrouvée à l’horizontal dans un coin très sombre. »

Nous avions relaté plusieurs fois ce type de témoignages dans la revue « Microscope ». Contrairement à ce que présupposent certains scientifiques, il y a bien ici une forme d’extériorisation de la conscience. Certains témoignages sont suffisamment précis pour que le doute ne soit plus permis.

Le professeur Jean-Pol Tassin du laboratoire de neuropharmacologie du collège de France fait preuve d’une grande légèreté en déclarant que tout est facilement explicable par le fait que le cerveau restituerait au moment du réveil toutes les informations que le patient aurait captées au moment de micro réveils. C’est-à-dire, des bribes de conversations échangées par l’équipe soignante, des visions fugitives d’objets ou de lieux. Le patient attraperait ces informations au vol lors de micro réveils (alors que l’E.E.G est plat ?)
Le Professeur Tassin n’a manifestement pas étudié le dossier des N.D.E car les déclarations de certains patients au sujet de l’extériorisation ou de la délocalisation de la conscience est claire, nette et sans appel. Depuis plus de dix ans, Casar n’a cessé de s’offusquer du manque de sérieux et de rigueur de ces scientifiques qui n’ont pas étudié les cas de patients donnant des informations concrètes que personne ne connaît, ni au sein de l’équipe soignante, ni par les équipes de secours ou la famille qui assiste à la réanimation ou à l’opération chirurgicale.
La vue à 360° depuis le haut demande une autre explication que les sornettes (faisant état de micro réveils) du Pr Tassin. Surtout que certains patients décrivent avec précision l’environnement de l’immeuble ou se déroule la réanimation, environnement qui s’avère exact après vérification (avec des détails inconnus de tous).

Nous nous élevons en faux contre les arguments de la Psychologue britannique Susan Blackmore qui donne une explication rationnelle aux N.D.E. Ses déclarations sont scandaleuses car elle affirme: « Nous savons dans le détail comment se déroulent toutes les étapes de l’E.M.I et rien dans les expériences qui sont menées ne nous suggère qu’autre chose se passe. » Quel culot ! Quel manque de rigueur scientifique ! Quelle tristesse de voir ici des sceptiques rationalistes bon teint affirmer, comme ils en ont l’habitude à chaque fois que l’on parle de paranormalité : « circulez, il n’y a rien à voir ! » Ces personnes sont les premières à exiger de la rigueur lorsqu’elles se confrontent aux chercheurs « marginaux » travaillant sur le paranormal qu’elles ne s’appliquent surtout pas à elles-mêmes ; et font preuve d’une légèreté époustouflante car des témoignages précis et concordants attestent clairement la vision des lieux où se déroule la réanimation et surtout de l’environnement immédiat que personne n’est censé connaître. Par quel mystère le patient aurait-il une vision précise des locaux voisins de la salle d’opération si on s’en tient à l’explication ridicule de Susan Blackmore : « Les informations captées par les sens encore en éveil, les connaissances préalables, les rêves ou les fantasmes et des déductions a priori permettent d’échafauder une histoire cohérente. »

Casar s’est toujours emporté sur cette question de la conscience qui semble bien extérieure au corps vis à vis des déclarations faites par des journalistes irresponsables qui déclarent tout de go que c’est le stress du cerveau qui induirait l’invention de scénarios plus ou moins cohérents (voir les « Microscopes » édités il y a une dizaine d’années qui répondaient à Jean-François Held du Figaro sur cette question). Nos investigations ne cherchent pas à démolir l’ensemble des arguments avancés mais uniquement à stigmatiser l’incomplétude, « l’oubli » qui nous semble une occultation volontaire de la vue sans les yeux. Quand on connaît l’incidence qu’aurait la preuve de l’existence de la vue sans les yeux vis à vis des nombreux dossiers paranormaux, nous ne sommes pas étonnés de l’entourloupe que cherche à faire ici Susan Blackmore et ses adeptes, les scientifiques « hors de tout soupçon ». Quand nous disons entourloupe, ce serait plutôt une cachotterie lourde de conséquences. Un oubli de cette taille est vraiment à mettre sur le dos de l’irresponsabilité et de l’incompétence.

Heureusement que le Docteur Sam PARNIA de l’Université de Southampton (G.B), beaucoup plus rigoureux, a décidé de placer des cibles dans la salle d’opération, que seule une entité s’élevant au dessus du bloc opératoire pourrait apercevoir. Nous ne pouvons que lui conseiller de placer aussi des cibles dans les locaux annexes de la salle d’opération, dans les étages supérieurs et aussi sur le toit de l’immeuble de l’hôpital.
Le témoignage de J.M (p52) doit être pris très au sérieux et ne pas être jeté comme quantité négligeable par des chercheurs qui devraient prendre en compte les réalités tangibles de témoignages : « J’ai eu envie d’aller contre le mur. Il ne résistait pas et je l’ai traversé. J’ai vu ce qu’il y avait de l’autre côté : un immense jardin, un garage à vélos. Les détails de ma vision narrée au chirurgien se sont avérés exacts. » Pour notre part, nous avons collecté d’anciens témoignages confirmant magistralement cette vision panoramique de l’environnement qui s’étend aux locaux annexes alors que les patients n’ont pas eu l’occasion de les visiter. Lors d’une opération, un patient a même déclaré avoir traversé le toit de l’hôpital et avoir alors remarqué une chaussure, de type basket, dans la gouttière. Après son réveil, une échelle a été mise sur le toit et la chaussure a été récupérée. Une femme aveugle a eu l’occasion de prouver l’existence de la vue sans les yeux. Comment aurait-elle pu faire autrement ? Elle a donné la couleur rouge du pull d’une cousine qui était dans la salle d’attente de l’hôpital au moment de la perte de conscience (alors que l’E.E.G était plat ). Que voulez-vous de mieux pour crédibiliser la vue sans les yeux que les dossiers de l’hypnose (ou somnambulisme) de l’affaire Pigeaire relatée par Bertrand Meheust et autres dossiers paranormaux majeurs sur lesquels nous allons revenir ?

La question que nous voudrions poser à Madame Blackmore est la suivante : « La chaussure découverte pendant l’opération dans la gouttière du toit de l’hôpital est-elle une connaissance préalable, un rêve, un fantasme ou une connaissance a posteriori ? » Le moins qu’on puisse dire c’est que les explications du Pr Tassin comme de Mme Blackmore laissent de côté la question de la délocalisation de la conscience alors que ce point est d’une importante capitale pour ouvrir la recherche sur une multitude de dossiers se situant à la frontière de la science officielle mais qui restent malgré cela du domaine de la psychologie Les recherches sur le fonctionnement du cerveau sont ici pleinement concernées et c’est pourquoi les réticences de ces scientifiques à prendre en compte la délocalisation de la conscience démontrent une étroitesse d’esprit peu commune. Celle-ci est liée au manque d’informations des gens spécialisés qui n’ont manifestement pas connaissance des dossiers paranormaux et de l’acharnement avec lequel les parapsychologues s’évertuent à démontrer l’existence de phénomènes qui eux aussi sont en relation avec la délocalisation de la conscience.

Avec la réussite des expériences menées par le Docteur PARNIA (p 50), ce dont nous ne doutons pas une seconde, nous entrons de plein pied dans la crédibilisation de la réalité de la vue sans les yeux. Nous ferons donc un grand pas en avant vers la preuve de la délocalisation de la conscience qui aura un retentissement énorme dans les sphères de la recherche autant en psychologie que dans d’autres secteurs très sérieux de la recherche officielle. Ce sera une véritable bombe qui révolutionnera de nombreux domaines. Mickaël SABOM et Karl JANSEN ont déjà franchi le pas en se rangeant du côté des gens qui admettent l’existence de l’âme. Même si nous n’en sommes pas encore là, le moment est venu de se poser la question des capacités cachées du cerveau humain qui dispose de moyens insoupçonnés pour acquérir de l’information indépendamment de ses cinq sens. Qu’il soit question d’hypnose ou de décorporation, il semble évident que le sujet en cause converse avec son cerveau en le considérant comme une entité à part entière.

La réussite de l’expérience de PARNIA ouvrira les vannes permettent à certains dossiers sensibles de la parapsychologie de prendre leur lettre de noblesse. Tout en calmant les ardeurs légendaires des sceptiques qui se bouchent les oreilles pour affirmer que rien d’extraordinaire n’existe mis à part les zozotériques farfelus qui dérangent la recherche officielle avec des fadaises. Il y aura même suffisamment d’éléments pour se moquer des parapsychologues timides qui se limitent à répéter indéfiniment des essais de télépathie sur des gens qui n’ont aucune disposition pour cela. Ici, avec les N.D.E, les sujets d’expérience donneront une réponse limpide qui ne sera pas sujette à caution.




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