J'en oublie sûrement, mais dans l'ensemble c'est le degré de précision minimum (et jamais atteint à ma connaissance) qu'il faudrait. Et, je répète: cela ne prouverait pas la décorporalisation. Par contre, une seule étude sérieuse rendrait de l'intérêt à ce phénomène qui, pour l'instant, ressemble plus à une mode qu'à un phénomène réel.
En fait, à cause de divers facteurs (moyens humains*, déontologie médicale, etc.), un tel protocole est presque utopique. Généralement, les "enquèteurs" se contentent d'un survol hâtif des lieux et de la scène, en faisant ressortir les convergences (même superficielles) et rarement les divergences.
Jean-François
* Faut pas oublier que dans plus de 80% des opérations, il n'y a pas de témoignages de décorporalisation.
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