Je vous répondrais qu'il a 10-25% de chance de se planter. Combien croyez-vous qu'il y a de jeunes femmes de 24 ans touchées par un problèmes de "paranoïa" (terme peut être inexact mais c'est pour abréger), combien avait-il de chance de tomber juste ? 1 sur 10 ? plus ou moins ? en tout cas pas 75-90%.
"On retrouve votre manière habituelle d'amener de nouvelles données à partir du moment ou votre histoire de base est démontrée peu concluante. Avant, c'était uniquement l'"application de substances issues de plantes à vos urines" qui avaient servi à dresser votre portrait psychologique, maintenant celles-ci font parti d'une batterie de tests."
??? Qu'est-ce que l'application de substances sur les urines sinon de tests pour savoir ce que contiennent ces urines ???
"Je pense pouvoir répondre pour elle: non seulement elle croit que oui, cette constatation a été faite de manière indirecte, mais elle croit aussi que toutes les constatations ont été faites de manière indirecte.Il n'y a rien dans la fumisterie phyto-analytique des urines qui a permis de dresser votre "portrait psychologique"."
Je suis d'accord pour la première phrase en ajoutant même que c'est une évidence. Pour la deuxième, c'est un jugement a priori fondé sur une fermeture à toute idée nouvelle. Les urines sont un excellent moyen de déceler des problèmes physique et pourquoi pas, d'une manière indirecte, psychologiques. Je pars du constat que le docteur a donné un bon diagnoctic dans deux cas (pour ce qui est des problèmes psychologiques en tout cas) et pour des profils différents, cela sans se tromper, et donc que sa méthode n'est pas a rejeter a priori sans chercher à en savoir plus, ce que je compte faire. Le scepticisme ne doit pas empêcher de faire des investigations. Si c'est le cas, ce n'est plus que du scepticisme, cela va plus loin.
|