Conclusion: Khayman confond l'imperfection des sens avec la nature de la réalité objective: comme si des lunettes roses peignaient le monde en rose. Il nous met du Platon pour cacher tout ça (la caverne, les ombres) sans s'apercevoir que les «idées» platoniciennes sont encore plus imparfaites, individuelles et changeantes que les sens.
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