Vous dites :
Plutôt que d'un libre-arbitre nébuleux, semi-juridique semi-philosophique semi-sagesse populaire (ça fait 3 moitiés, ça...), vous devriez défendre votre point de vue avec le droit à la liberté de pensée et d'expression.
Je ne défends aucunement le libre-arbitre. D'ailleurs, je suis surpris que vous n'ayez pas fait la nuance dans la lecture de mes interventions précédentes.
Mon point de vue sur l'être humain rejoint celui d'Henri Laborit - L'homme est une structure biologique et toute structure biologique ne recherche qu'une seule chose : conserver sa structure. Dans ce cadre, le libre-arbitre ne me semble être que le nom que l'on donne à notre incapacité à calculer et recencer la série de réflexes innés et acquis qui ont peu-à-peu construit notre comportement, réflexes ayant comme seul commandement la conservation de la structure.
Mais, pour le moment, force est de constater que la société est basée, faute de mieux, sur l'existence de ce libre-arbitre. Même si je crois cette prémisse fausse, je n'en ai pas la preuve et je dois vivre dans cette société. Alors, j'essaie malgré tout d'établir une logique sur cette fausse prémisse.
Qu'en pensez-vous ?
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