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GATTI: Décidément la communication par Internet pose problème ,si vous ne savez pas lire, faites
vous aider par un interprète !…Ou alors c'est que vous le faite exprès pour me jouer sans cesse le
sketch du plombier et du perroquet (Fernand RAYAUD) et vous répétez inlassablement: C'est le
plombier ! C'est le plombier ! à chacun de mes messages pour voir jusqu'où ma patience irait.
Relisez avec un peu d'attention mon message (N° 3444 - point n°6 ) et vous aurez toutes les réponses a vos
interrogations.
"Pour générer une gravitation plus intense que la pesanteur (au niveau du sol) l'ordre de grandeur de
la vitesse de défilement à la circonférence d'un rotor serait de l'ordre de grandeur de la vitesse de
libération (8 kms/sec). Il est impossible d'envisager ce type d'expérience au niveau du sol pour des
questions évidentes de résistance des matériaux; par contre en apesanteur la "fabrication" de la
densité de gravitation artificielle suffisante pour arriver au décrochement d'orbite est envisageable car
le niveau de vitesse de rotation du rotor serait tout à fait compatible avec la résistance des matériaux.
Le seul problème qui se poserait serait d'apporter à pied d'œuvre l'énergie nécessaire pour inculquer
au rotor une accélération soutenue pendant un temps suffisant afin de provoquer le décrochage
(changement d'orbite)."
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Pour mémoire voici la copie intégrale de votre message prouvant que vos quelques questions
destinées a mettre un peu de clarté étaient ridicules (Les réponses étant incluses dans le message que
vous analysez):
St GERMAIN: Si je comprend bien, Gatti veut vérifier si un corps, ayant une vitesse de rotation
élevée, modifie la force gravitationnelle entre lui et la terre. Pour mieux comprendre le problème, je
dois poser quelques questions. D'abord, est-ce que le corps tourne à vitesse constante ou non ?
Ensuite, quelle doit être cette accélération ou cette vitesse pour que la variation de gravitation soit
mesurable ?
Si Gatti peut m'arriver avec quelques réponses précises, je pense que ça mettra un peu de clarté
dans son projet.
Si la variation de gravitation est mesurable, pourquoi ne pas tout simplement rester sur terre et faire
tourner une grosse masse par rapport à un axe vertical. Ce n'est pas très compliqué et ça va coûter
pas mal moins qu'envoyer un satellite dans l'espace. Il ne suffit que de mettre la masse tournante sur
une "balance" précise et de vérifier la variation de poids.
La balance pourrait être composée de jauges de déformation appliquées sur la structure de base de
la masse tournante. Avec quelques filtres pour éliminer le bruit dû à la rotation et à l'environnement,
on pourrait avoir quelque chose de précis et à faible coût.
Malheureusement, avant de partir faire l'expérimentation, il faudrait un peu plus de détails sur la
théorie de notre ami Gatti. Alors j'attend un peu plus de détails.
Bonne journée à tous, Ben
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NB:
GATTI: Des recherches au sol comme celles que vous préconisez ont été faites en pure pertes par
une université japonaise il y a plus de 15 ans. Ces recherches se sont soldées par un échec pour les
raisons que j'expose dans l'extrait ci-dessus (de mon message N° 3444)
Pour éclairer les intervenants à ce forum il faut avoir en tête qu'il existera dans l'avenir trois secteurs
de recherche qui concernent des niveaux d'intensité gravitationnelle très différents sans commune
mesure entre eux. (Surtout au point de vue énergétique) :
-ETUDES DE TYPE 1: forces ou action gravitationnelle générée par tout mobile en mouvement
accéléré
- ETUDES DE TYPE 2: Champ gravitationnel isolé et indépendant généré par un astre (ou système
de référence gravitationnel artificiel )
-ETUDES DE TYPE 3: Ondes gravitationnelles
Mes (humbles) prétentions avec les quatre générations de RIGA se limitent à préconiser une étude
de TYPE 1 (sans attendre rien de personne - ni la notoriété ni la richesse - je travaille bénévolement
en investissant la totalité de mes disponibilités sans le moindre regret au service de mes convictions)
L'étude de TYPE 2 ne sera possible que si l'expérience RIGA donne des résultats , sur la base de
l'exploitations de ceux-ci pour la recherche de fabrication d'un système artificiel).
Les organismes de recherche doivent comprendre qu'actuellement les énormes capitaux investis
dans des recherches TYPE 3 sont du gaspillage (VIRGO est un exemple).
Francis GATTI
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