J : Effectivement, et nul besoin de l’évolution. Il a suffit de constater que des protéines « homologues » existent d’une espèce à l’autre. Cette « homologie » est gratuitement attribuée à l’évolution. De façon logique, on peut l’attribué ces « ressemblances » au fait que les organismes pluricellulaires sont fait de cellules eucaryotes dont le fonctionnement est très semblable. Ce dernier fait peut lui être attribué au fait que les organismes vivants sont exposés à des conditions de vie semblables. Dans un contexte créationniste, il n’y a pas de raison pour que les différents organismes vivants soient chacun doté d’un ensemble de mécanismes fondamentaux de base très différent d’une espèce à l’autre.
Les ressemblances peuvent donc s’expliquer par plusieurs hypothèses mais il demeure que c’est le constat qui nous a permis de mettre au point la méthode par analyse des sites invariants.
Si les scientifiques n’étaient pas croyants de l’évolution mais plutôt de la création, la méthode aurait eu le nom CT (Creation Trace) et ça aurait été tout aussi erroné et biaisé.
Julien précédemment :
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Copié-collé du crétin-cancre :
J Mol Biol 2002 Feb 8;316(1):139-54
Structural clusters of evolutionary trace residues are statistically significant and common in proteins.
J : Est que Nonoé sait de quoi il parle, euh … de quoi il copie-colle ? Évidemment nooooooooon !
La technique vise a identifié les sites actifs des protéines. Habituellement, on fait muté le gène/protéine et mesure les effets. À même l’article dont le NOF fait mention, on affirme que c’est la meilleure méthode.
L’approche « ET » se base sur les similitudes entre les protéines correspondantes dans diverses espèces. Par exemple, le cytochrome C qui est une protéine de 104 à 111 acides aminées qui varie de 2 à 26% de différence d’une espèce à l’autre. On tente d’identifier la partie invariante de la protéine d’une espèce à l’autre pour en déduire le site actif. Aucun besoin de l’évolution !! La méthode se nomme Evolution Trace seulement parce que l’on attribue la présence de similitudes au niveau des protéines d’une espèce à l’autre au mythe de l’évolution !
Le constat qui sert réellement de base à la méthode est que diverses espèces ont des protéines similaires. Voilà.
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